La triste réalité que l'on peut prouver par les hadiths et les écrits coraniques.
mahomet volait les caravanes de marchands désarmés, pillait et décimait des tribus juives, le coran est un appel au meurtre contre les mécréants ....
Chers katou.
Voilà un résumer pour les caravanes et le reste.
1 - Persécutions des musulmans à la Mecque
2 - Tentative d'assassinat sur le prophète (sws)
3 - Émigration à Médine des musulmans
4 - Les Qurayshites menacent tous les médinois de "violer leurs femmes" et de les piller s'ils ne rendent pas Muhammad (sws)
5 - Ils violent les propriétés privés des musulmans qui étaient à la Mecque, volent leurs biens et décident de les vendre
6 - Les Qurayshites pratiquent une pression économique sur Médine
7 - Révélation du verset "Autorisation de combattre est donnée à ceux qui sont attaqués"
8 - Déclaration de guerre entre Médine et La Mecque
9 - Le prophète (sws) décide de récupérer les biens spoliés par la cité Mecquoise en attaquant uniquement les caravanes mecquoises.
Voilà voilà.
Pour la tribut juives, ce n'est pas Muhammad (saws), mais Sa'd Ibn Mu'adh..
Mais aussi ...
... A cette époque Mahomet garde les juifs de Médinee en haute estime. il s’attendait à ce que ceux-ci fussent les premiers à accueillir favorablement son message monothéiste; mais il fut rapidement déçu par leur méfiance et leur frilosité. En effet, les juifs ne le recevaient pas comme leur prophète et ils critiquaient même les libertés qu’il prenait avec le récit biblique.
Au comble de l’amertume, il se détourna du judaïsme et développa une religion qui tira désormais sa source mystique dIsmaël fils d’Abraham, et non plus de Moïse.
Le 11 février 624, une révélation divine (sourate 2, 138) enjoint à Mahomet et à ses disciples que la prière rituelle se ferait désormais en se tournant non plus vers Jérusalem mais vers la pierre noire de la Kaaba, le sanctuaire des idolâtres de La Mecque. (en fait les chroniques occidentales indiquent que ce changement se serait fait bien plus tard). La rupture avec les juifs avait commencé.
Parallèlement, Mahomet fit peu à peu assassiner, avec l’accord d’Allah, tous ceux qui lui étaient opposés ou qui l’avaient critiqué
Ainsi Abu Afak, un juif centenaire avait osé composer une satire lyrique du Prophète (Kitab al Tabaqat al Kabir, Volume 2, par Ibn Sa’d, page 32). Mahomet s'est exclamé: "Qui me vengera sur cette crapule?" et Salim ibn Umayr est parti le tuer dans son sommeil.
Puis la poétesse Asma bint Marwan, mère de 5 petits enfants, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mahomet assassiner un vieil homme. Apprenant ses dires, Mahomet questionna : "N’y aurait-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ?" Umayr ibn Adi, un musulman (aveugle ?) se porta volontaire et poignarda la malheureuse dans son lit, alors qu’elle donnait la tétée à son plus jeune enfant.(Sirat Rasul Allah).
Lorsque, pris de remord, Umayr exprima ses craintes d'être puni de ce meurtre par Allah, Mahomet le rassura en lui disant que "Même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela.". Il dit aussi : "Oh sois témoin, aucune revanche n'est payable pour son sang !" (Aba Dawud Livre 38, 4348)
En 624, le Prophète attaqua victorieusement une caravane Mecquoise au puits de Badr (avec l'appui d'anges invisibles !). En souvenir, ce mois devint le Ramadan.
Parmi les prisonniers se trouvait le médecin Al Nadr (Al-Nasar Harith). Celui-ci était un cousin du Prophète et il s’était autrefois moqué de lui à la Mecque en disant que les sourates n'étaient que des fables et qu'elles étaient moins divertissantes et instructives que celles des texte persans. Ivre de vengeance, Mahomet en profita pour l’exécuter.
Mahomet dit à ses hommes: "Quiconque d'entre vous rencontrera Abou-Djahl, qu'il ait soin de ne pas le laisser échapper. Si vous ne le rencontrez pas, cherchez le parmi les morts ; car Dieu m'a promis qu'il serait tué aujourd'hui. Si vous ne le reconnaissez pas à son visage qui pourrait être couvert de poussière, vous pourrez le distinguer à une cicatrice qu'il a au pied ;... tranchez lui la tête et amenez la moi. !"... ce qui fut fait.
Mahomet dit à Uqba bin Abi Mu`ayt : "Je fais à Dieu le voeux que si je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête !"
Les textes disent ensuite :
Deux jours après, à mi-chemin vers Médine, Uqba, un autre prisonnier, avait été ordonné à l’exécution. Il tenta de protester et demanda pourquoi il devait être traité avec plus de rigueur que les autres captifs. «En raison de ton inimité avec Allah et son prophète», répondit Mahomet. «Et ma petite fille ! cria Uqba dans l’amertume de son âme, qui prendra soin d’elle ?». «Les feux de l’enfer !» s’exclama le Prophète. Et à cet instant, la victime fut fendue jusqu’aux pieds. «Misérable que tu es !» continua-t-il, «Et persécuteur ! Mécréant qui ne crois ni en Allah, ni en son prophète, ni en son livre ! Je remercie le seigneur qui t’as tué, et ainsi a consolé mes yeux !». (bn Hisham, Sirat de Mahomet)
Uqba n’était n'avait pourtant pas persécuté les premiers musulmans : Il mourut pour la simple et bonne raison qu’il refusa l’Islam, fidèlement à ses convictions personnelles.
Mahomet ordonna également le meurtre du poète juif Ka'b ibn al-Ashraf, parcequ'il avait récité à la Mecque un ode funèbre pour les Mecquois tués par les musulmans (et aussi parcequ'il taquinait les musulmans en adressant des vers d'amour à leurs femmes).
Le Prophète dit : «Qui me débarrasserait d'Ibn Al-Ashraf?»
Muhammad b. Masiamah répondit : «Moi, ô Envoyé d'Allah, je m'en chargerai, je le tuerai.»
L'Envoyé de Dieu lui dit : «Fais-le si tu peux. »
Ibn Masiamah dit : «0 Envoyé d'Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses.»
L'Envoyé d'Allah répondit : «Dites ce que vous voulez : cela vous est permis.»
Ibn Ishâq a raconté l'assassinat (p. 18 à 25) :
Plusieurs hommes de la tribu de Aws s'étaient associés pour tuer Ka'b ibn al-Ashraf. La nuit ils se promenèrent avec le poète près d’une cascade, aprés l'avoir traitreusement attiré hors de sa forteresse. Abû Nâ'ilah se montrait fort gentil avec Ka'b ibn al-Ashraf. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : "Je n'ai jamais senti un meilleur parfum." Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ'ilah saisit les cheveux de la tête de Ka'b ibn al-Ashraf en disant : "Frappez cet ennemi de Dieu !" (Il était pourtant son frère adoptif). Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Ka'b ibn al-Ashraf ne pouvaient cependant l'achever. Muhammad b. Masiamah dit : "Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d'un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l'enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu'à ce que j'atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre."
Quand Abû Nâ'ilah jeta la tête coupée de Ka'b ibn al-Ashraf aux pieds de Mahomet, celui-ci s’écria : «Cela m’est plus agréable que le plus beau chameau de toute l’Arabie.» Puis il le félicita et lui fit don d'un bâton sur quoi s'appuyer dans le paradis.
(Le récit de cet acte sera justifié par Ibn Ishâq en citant ces vers de Hassan b. Thâbit : «Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique.)
Le lendemain ce fut au tour de Ibn Sunayna d'être assassiné par son ami musulman Muhayyisa ben Masud parcequ'il était juif lui aussi. Le frêre de Muhayyisa s’écria alors que «Une religion qui pousse à faire cela est certainement merveilleuse !».
Ces assassinats troublèrent cependant quelques âmes sensibles et le Prophète trouva le moyen de se justifier par une nouvelle sourate bien opportune (!) : « Il n’appartient pas au prophète de faire des captifs, tant que, sur Terre, il n’a pas complètement vaincu les incrédules.» (sourate 8,67).
Peu après la bataille de Badr, un incident mit le feu aux poudres. Une musulmane ayant été molestée au marché par des juifs de la tribu des Banû-Qaynuqâ', des batailles entre musulmans et juifs s'ensuivent. La tribu mise en cause se trouva bientôt assiégée par les musulmans puis fut expulsée de Médine et ses biens confisqués.
En 625, la deuxième tribu juive, celle des Banû-Nadhîr, fut accusée de pactiser avec les habitants de La Mecque (Allah aurait révélé qu'ils voulaient assassiner son Prophète). Ils durent s'enfuir à Quaybar après une violente bataille, Mahomet ayant fait couper et brûler toutes leurs palmeraies : «Ce que vous coupez de souple ou que vous laissez debout sur sa tige, c'est sur l'ordre d'Allah et pour confondre les mécréants.»
Le prophète fit tuer aussi Kab, chef des Banû-Nadhîr et poête satiriste, ainsi que sa femme, car ils s'étaient moqué de lui.
Le Prophète donna la permission d'aller tuer le juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar car il était son ennemi. Alors cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se firent passer pour des acheteurs :
La femme d'Al-Huqayq demanda : "Qui êtes-vous ?" Ils répliquèrent : "Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l'approvisionnement en grains." La femme dit : "Voilà votre homme, entrez chez lui." Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l'attaquèrent alors qu'il était sur son lit. L'ayant déjà poignardé, Abd Allah b. 'Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu'elle ressortit de l'autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l'informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l'avoir tué. Alors l'Envoyé d'Allah dit :
"Apportez-moi vos épées." Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référant à l'épée de 'Abd Allah b. Unays il dit : Celle-ci l'a tué car j'y vois la trace de la nourriture."
Mahomet était devenu le maître de Médine. Il devint riche et puissant grâce au butin des razzias et du tribut qu’il exigeait des vaincus. Il s'était associé aux pillards Banou Damréh ainsi qu'à Abouzar de la tribu des brigands de Ghafar. La tribu des Banou Madlidj qui était idolâtre s'est alliée aussi au Prophète uniquement dans l'intention de s'emparer des butins obtenus dans les attaques aux caravanes.Mahomet a mené ainsi soixante trois razzias en tout (contre une seule guerre défensive). Ses victoires devaient démontrer à ses fidèles la pertinence de son message.
Les Mecquois, excédés par le pillage de leurs caravanes, montèrent une expédition avec Abu Sufyan contre Mahomet. Ils le battirent d’abord à Uhud le 21 mars, puis entreprirent le siège de Médine en 627 pendant 15 jours ("bataille du fossé"). Mais Mahomet ayant fait creuser un fossé défensif autour de la ville, les Mecquois durent lever le siège.
Le Prophète en profita pour accuser ("O vous, singes et cochons...") et attaquer la dernière tribu juive de Médine : les Banu Qurayza (qui pourtant avaient participé à la défense). Aprés un siège d'un mois, il leurs fait dire qu'ils ont le choix entre se convertir à l'islam ou bien de mourir. Malgré leur rédition, Mahomet décide de massacrer, sur ordre d’Allah, tous les membres mâles de la tribu (600 à 800 hommes). Ils furent horriblement torta?urés, pour qu'ils avouent où ils avaient cachés leurs trésors, puis, emmenés par groupe de cinq, ils furent tous égorgés et jetés dans des fosses communes creusées prés de la place du marché de Médine. Les femmes et les enfants furent vendus comme esclaves. Après le carnage, Mahomet pris pour concubine la belle Rayhana bint umru bin hanafa, veuve de l’un des suppliciés.
Le Hadith, Sahih Bukhari 5,59,362 dit à ce sujet :
"Il a alors tué leurs hommes et a distribué leurs femmes, leurs enfants et leurs propriétés parmi les musulmans, mais certains d'entre eux sont venus vers le prophète et il leur a accordé la sécurité, et ils ont embrassé l'islam. Il a exilé tous les juifs de Médine. Ils y avait des juifs de Bani Haritha et tous les autres juifs de Médine"
Ibn Ishaq a écrit à la page 466 du Sirat Rasulallah ::"Alors l'apôtre a divisé la propriété, des épouses, et des enfants des Banu Qurayza entre les musulmans, il a fait connaître à ce jour les parts concernant les chevaux et les hommes, et en a pris le cinquième ",(Mahomet et sa famille ont obtenu un cinquième des prises de guerre). Puis l'apôtre a envoyé Sa'd. . . avec certaines des femmes captives des Banu Qurayza à Najd pour qu'il les vende contre des chevaux et des armes."
Le Hadith 669 dit :
Quelques gens de la tribu d'Uraina sont venus au Prophète et il leur a dit qu'ils pourraient aller aux chameaux de Sadaqa et boire leur lait et urine (utilisée à guérir des certaines maladies). D’abord tout était bien mais alors ils se sont abattus sur les bergers et les ont tués, sont devenus des apostats de l’Islam et ont enlevé les chameaux de Muhammad. Il a envoyé des hommes pour les rentrer. Le Prophète Sacré a ordonné leurs mains coupées, leurs pieds coupés, leurs yeux éteints et les avait jeté sur la terre rocailleuse jusqu'à ce qu'ils soient morts.
Le Hadith, Sahih Bukhari 8, 82, 794 dit :
Anas a relaté : Certains de la tribu d'Ukl sont venues chez le Prophète et ont embrassé L'islam. Le climat de Médine ne leur convenait pas, alors le prophète leur a ordonné de boire l'urine et le lait des chameau pour se soigner. Ils l'ont fait et ont récupérés de leur mal. Mais ils se sont détourné de l'islam et ont tué le berger des chameaux et sont partis avec les chameaux. Le Prophète envoya certains à leur poursuite et ainsi ils les ont attrapés et rapportés, et le Prophète a commandé que leurs mains et jambes devaient être tranchées et que leurs yeux devraient être marqués au fer rouge et que leurs mains et leurs jambes coupées ne soient pas cautérisées, et ceci jusqu'à ce qu'ils meurent. (... "et il furent jetés à Al-Harra et ils moururent de soif".)
Abu Dawud 38A357 a écrit :
Quand l'Apôtre de Allah a coupé les mains et pieds de ceux qui avaient volé ses chameaux et apostasié, et il a ordonné que leurs yeux soient éteint par feu, Allah l'a réprimandé et a révélé: "La punition de ceux qui font la guerre contre Allah et Son Apôtre et s'efforcent de toutes leurs forces pour la méchanceté à travers la terre est l’exécution ou la crucifixion."
A partir de 627 le Prophète lanca une politique d'agression systématique des autres tribus.
Il attaqua les tribus des Bani Mousa?talik et les juifs de Wadil Qora, enleva les femmes et les enfants de la tribu des Moshjarik, pilla des caravanes, prit l'oasis juive de Fadak (qui devint bien personnel de Mahomet) et dit aux juifs Beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre !"
Puis il lanca une expédition contre les juifs de Quaybar. Il commenca par inviter leur chef à un pourparler et en profita pour le faire assassiner avec toute sa suite en cour de route.
Dans la "Vie de Mahomet", page 515, il est écrit :
"Il a attaqué la ville juive de Quaybar où il a pris un des chefs juifs (Kinânah) et l'a torturé pour le forcer à dire où était enterrée son argent. Après que l'homme ait refusé de parler, et comme il était presque mort du fait de la torture, Mahomet a ordonné que sa tête soit tranchée."
"Al-Zubayr se mit à brûler avec un briquet sa poitrine, jusqu'à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l'Envoyé d'Allah le livra à Muhammad b. Masiamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Masiamah."
Puis Mahomet fit de Safiyya bint Hayi bin Akhtab (17 ans) son esclave par les droits de la guerre et l'obligea à partager sa couche. (Elle était l'épouse de Kinânah que le Prophète avait fait torturer). Mahomet n'eut même pas la patience d'attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces a veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : «Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C'est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple.»
Safia elle même déclarait, selon les hadiths, que "Personne ne lui paraissait plus détestable que Mahomet".
Lors du banquet qui s'ensuivi, La belle Zaïnab de Quaybar, tenta d'empoisonner Mahomet avec un plat de viande empoisonné, mais le prophète vomit le poison et guérit. Lorsqu'il demanda à Zaïnab la raison de son geste, elle répondit : "Tu as causé à mon peuple de grands maux et j'ai pensé : si tu n'es qu'un simple chef d'armée, je sauverai mon peuple en causant ta mort, mais si vraiment tu es prophète, Dieu t'avertira de mon projet et tu survivras." Mahomet fit immédiatement mettre à mort l’héroïne juive.) ...
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