L'antisémitisme n'est ni plus ni moins qu'un racisme que les instances juives ont réussi à mettre en exergue. Demain, avec une communauté ayant des moyens de pression identiques, et une histoire des plus tragiques, on pourra tout aussi bien condamner la négrophobie sous prétexte que l'esclavage a fait des millions de victimes : l'anti-négrophobisme.
Quelle stupidité de toujours se retrancher derrière ce mot race qui n'est jamais qu'un fourre-tout sémantique.
Quoi qu'ils nous ont bien créé le mot féminicide pour mettre en exergue les violences dans le couple, ils sont bien capables de nous inventer toutes sortes de mots dès l'instant où il y a derrière la volonté de servir une cause ou d’asservir un peuple au dictat philosophico-idéologiques des dirigeants français et des réseaux d'influence, communautaires en premier lieu, quelle que soit la communauté.
Notre si brave président à lui-même amalgamé récemment antisémitisme et antisionisme, ce qui pourra possiblement demain devenir un projet de loi. Nous pourrions donc en France critiquer à loisirs la politique russe, mais pas la politique israélienne.
La France, ce pays de la liberté d'expression.