En Espagne, le Conseil des ministres a approuvé (après cinq tentatives ratées) ce vendredi la réforme de la loi sur l’avortement. Le nouveau texte s’appellera « loi organique de protection de la vie de la personne conçue et des droits de la femme enceinte ». Si le texte est adopté par le parlement, il s’agira d’un extraordinaire retour en arrière de 30 ans. La grossesse ne pourra être interrompue volontairement que dans deux cas : si elle présente un grave danger pour la santé physique et psychique de la mère constaté par (le délai est de 22 semaines) ou si elle est le fruit d’un viol (il faut qu’il fasse l’objet d’une plainte et le délai est alors de 12 semaines) Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement. « Il n’y a pas de première ou seconde catégorie », selon le gouvernement. La loi autorise en revanche l’objection de conscience pour les médecins du secteur public qui refuseraient de pratiquer l’intervention pour des raisons idéologiques. Les mineures de 16 et 17 ans n’auront plus la possibilité de passer outre la volonté parentale et devront avoir leur accord pour demander une interruption de grossesse. Un retour en arrière de 30 ans L’avortement ne sera donc plus un droit de la femme mais un « délit régulé ». Cette régression était une promesse électorale du gouvernement conservateur du premier ministre Mariano Rajoy. Jusqu’à présent, une femme en Espagne pouvait demander l’interruption de sa grossesse jusqu’à quatorze semaines sans avoir à justifier sa décision. « La vie de l’enfant à venir et pas encore né représente une valeur fondamentale, » a expliqué le ministre de la Justice Alberto Ruiz-Gallardon. « Et l’Etat est obligé de la défendre. » Pour lui, ce projet de loi permet de rééquilibrer les droits de la femme et ceux de l’enfant à venir. Les mouvements de gauche et féministes se préparent à une mobilisation exceptionnelle avant le débat devant le parlement pu le parti populaire au pouvoir détient la majorité absolue. Si elle est votée, la loi « la plus restrictive depuis le retour de la démocratie “selon El Pais, renverra l’Espagne 30 ans en arrière. Dans une déclaration qui enflamme déjà les progressistes espagnols, le ministre de la Justice a dit : ‘La femme n’est jamais coupable, la femme est toujours victime.’ http://www.rue89.com/2013/12/20/avortem ... gne-248502

Très bonne décision. Même si pour le viol ça peut se discuter.

En Espagne, le Conseil des ministres a approuvé (après cinq tentatives ratées) ce vendredi la réforme de la loi sur l’avortement. Le nouveau texte s’appellera « loi organique de protection de la vie de la personne conçue et des droits de la femme enceinte ». Si le texte est adopté par le parlement, il s’agira d’un extraordinaire retour en arrière de 30 ans. La grossesse ne pourra être interrompue volontairement que dans deux cas : si elle présente un grave danger pour la santé physique et psychique de la mère constaté par (le délai est de 22 semaines) ou si elle est le fruit d’un viol (il faut qu’il fasse l’objet d’une plainte et le délai est alors de 12 semaines) Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement. « Il n’y a pas de première ou seconde catégorie », selon le gouvernement. La loi autorise en revanche l’objection de conscience pour les médecins du secteur public qui refuseraient de pratiquer l’intervention pour des raisons idéologiques. Les mineures de 16 et 17 ans n’auront plus la possibilité de passer outre la volonté parentale et devront avoir leur accord pour demander une interruption de grossesse. Un retour en arrière de 30 ans L’avortement ne sera donc plus un droit de la femme mais un « délit régulé ». Cette régression était une promesse électorale du gouvernement conservateur du premier ministre Mariano Rajoy. Jusqu’à présent, une femme en Espagne pouvait demander l’interruption de sa grossesse jusqu’à quatorze semaines sans avoir à justifier sa décision. « La vie de l’enfant à venir et pas encore né représente une valeur fondamentale, » a expliqué le ministre de la Justice Alberto Ruiz-Gallardon. « Et l’Etat est obligé de la défendre. » Pour lui, ce projet de loi permet de rééquilibrer les droits de la femme et ceux de l’enfant à venir. Les mouvements de gauche et féministes se préparent à une mobilisation exceptionnelle avant le débat devant le parlement pu le parti populaire au pouvoir détient la majorité absolue. Si elle est votée, la loi « la plus restrictive depuis le retour de la démocratie “selon El Pais, renverra l’Espagne 30 ans en arrière. Dans une déclaration qui enflamme déjà les progressistes espagnols, le ministre de la Justice a dit : ‘La femme n’est jamais coupable, la femme est toujours victime.’ http://www.rue89.com/2013/12/20/avortem ... gne-248502 Je ne suis pas choqué par la décision sauf pour : Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement

IL n'y a que des hommes pour être d'accord avec ça, bien entendu ... J'espère que cette loi ne passera pas.

IL n'y a que des hommes pour être d'accord avec ça, bien entendu ... Ou des vieilles biques.... Il est certain que de voir toutes ces personnes non concernées par l'enfantement qui veulent absolument se mêler des affaires des femmes en âge d'avoir des enfants, cela fout les boules. Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement. « Il n’y a pas de première ou seconde catégorie », selon le gouvernement. Il ne reste plus qu'à savoir si ce gouvernement aidera les parents dans la prise en charge de leurs enfants déficients, sinon les infanticides et autres suicides collectifs remplaceront les avortements. La loi autorise en revanche l’objection de conscience pour les médecins du secteur public qui refuseraient de pratiquer l’intervention pour des raisons idéologiques. Et pourquoi pas dans les deux sens et laisser faire ceux que cela ne gène pas ? J'espère que cette loi ne passera pas. J'espère surtout qu'ils savent que cela n'empêchera strictement rien à part le fait de faire empirer les choses.

Une civilisation doit s'appuyer sur une éthique. L'Hédonisme est un retour à l'état de singes. Faut savoir ce qu'on veut. Ni faire l'Ange, ni faire la bête. On fait comment ?

J'espère surtout qu'ils savent que cela n'empêchera strictement rien à part le fait de faire empirer les choses. Ben oui, on reviendra aux faiseuses d'anges, comme on disait dans le temps, avec tous les risques d'hémorragies aggravées qui en découlera ... Magnifique ... ça, sans compter toutes les mères célibataires qui seront rejetées ... et les enfants qui seront vachement heureux dans cet environnement. Au moins dans le temps quand on mettait une femme en cloque, elle ne pouvait pas avorter, mais le mec avait l'obligation de se marier avec ... Là ... pfff ... Ni faire l'Ange, ni faire la bête. On fait comment ? Ben justement LUCIDE, si on enlève le droit à l'avortement, qu'on fasse dans ce cas une loi pour que l'homme assume ses conneries derrière. Ce serait déjà plus juste ...

J'espère surtout qu'ils savent que cela n'empêchera strictement rien à part le fait de faire empirer les choses. Ben oui, on reviendra aux faiseuses d'anges, comme on disait dans le temps, avec tous les risques d'hémorragies aggravées qui en découlera ... Magnifique ... ça, sans compter toutes les mères célibataires qui seront rejetées ... C'est toujours MIEUX d'être DEUX pourv élever un enfant.. Un gamin a besoin d'un Père et d'une Mère.. Et, non pas d'une femme seule, vaniteuse, égoïste et prétentieuse ( souvent à charge de la collectivité..) qui se la joue "paternelle" , alors que la "nature" ne lui a pas fourni les hormones correspondantes, pour ça.

Ben justement LUCIDE, si on enlève le droit à l'avortement, qu'on fasse dans ce cas une loi pour que l'homme assume ses conneries derrière. Ce serait déjà plus juste ... Je crois que ça existe déjà ! ;)

Très bonne décision. Même si pour le viol ça peut se discuter. Je plussoie

IL n'y a que des hommes pour être d'accord avec ça, bien entendu ... J'espère que cette loi ne passera pas. Je défends toujours la vie surtout celle du plus faible qui ne peut pas se défendre ... je suis donc pour la loi qui défend le plus innocent des innocents

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Avortement : l'Espagne retourne au Moyen-Age

hibernatus

Ceux qui défendent l'avortement sont tous déjà nés...

Personnellement, le fait de penser que je n'aurais jamais existé ne me fait pas peur. Gamin, je n'ai pas été malheureux (enfin... bref), mais franchement, au fond de mon esprit (puisque l'âme n'existe pas), je sais que je n'ai rien demandé.

Rares partis eux, ceux qui pensent qu'ils auraient dû être avortés. Et ceux qui le pensent ont l'option du suicide.

C'est parce que tu ne fréquentes pas le même monde que moi. Parmi les personnes handicapées ou en déshérence ou pour lesquels la vie n'a pas fait de cadeau, le nombre de gens qui souhaiteraient n'avoir jamais existé est largement majoritaire.

Foutaises, les 3/4 des avortements concernent des lendemain de jambes en l'air non assumés.

james-saint-angel

Foutaises, les 3/4 des avortements concernent des lendemain de jambes en l'air non assumés.

Voila une opinion bien tranchée, basée sur une analyse profonde et étayée par une enquête minutieuse. Je ne peux que m"incliner face à la qualité du propos.

pascale

C est vrai que c est une partie de plaisir un avortement...

katou

bonjour, je vais subir mon 3ème avortement, les 2 premières fois c'était par aspiration et cette fois ci c'est par médicament, j'aimerais savoir si j'aurai des difficultés à retomber enceinte par la suite??

merci de votre réponse

j'ai subi une ivg il y a exactement 1ans et là je suis retombée enceinte, je suis jeune et je ne peux pas le garder...

je voudrais savoir svp, si d'avorter 2 fois aura des conséquences, si plus tard je veux être maman

svp aidez moi, je suis vraiment pas bien...

bonjour,

oui on peut recourir plusieurs fois à l'IVG, j'en ai subi quatre sans dommage physique mais le souvenir est toujours douloureux aussi je conseille toujours une contraception efficace et en cas de doute une analyse (une grossesse a démarré alors que je portais un stérilet).

Bon courage

je suis enceinte alors que ce n'est pas le moment mon copain n'est pas prêt alors que je le désire plus que tout c'est tellement magnifique!!!mais c'est pas mon genre de faire un gosse derrière le dos de mon copain alors comment le convaincre?j'ai déjà subi 3 IVG et une fausse couche autrement dis la totale quoi!!!pas de quoi en être fière et oui folie de la jeunesse mais aujourd'hui j'ai 26ans et 1 garçon de 6ans donc la honte pour moi d'aller refaire une IVG! Ma santé c'est le plus important je souhaite pas prendre le risque

etc ...

Et après on va nous dire que l'IVG n'est pas un moyen de contraception ....

paul-duke

techniquement la contraception c est avant la fécondation.

L IVG en elle même se situe après la fécondation.

bobbysix

Bah le stérilet c'est après la fécondation aussi.

paul-duke

heu.. pas exactement.. je parle de la fécondation de l'ovule. pas du Mr qui s'agite frénétiquement sur Mme afin de découvrir le point G de celle-ci.

d'ailleurs ce point G n'existe pas.. il peut toujours chercher..

tell

QUESTION

Comment peut on être favorable à l'extermination de masse et sans discernement de l'innocence et opposé à l'exécution d'un criminel condamné individuellement ? En fait il y a bien une logique et elle est effrayante !

REPONSE

Tout simplement parce que les défenseurs du libre choix ne sont pas des gens qui promotionnent l'avortement mais qui font tout pour éviter que l'usage en soit clandestin et que les personnes qui y ont recours ne se retrouvent dans une situation dramatique.

En défendant une IVG maitrisé et médicalisé, je fais un choix humaniste comme celui d'être opposé à la peine capitale !

Excellente remarque Tell

Effectivement, cela m'a permis de répondre à une question que j'attendais avec impatience.

Merci, Tell...

Ce serait donc le refus du sordide des moyens employés et des conséquences collatérales (avortement do-it-yourself) qui légitimiserait le libre-choix de l'extermination chirurgicale (avortement médicalisé).

Comme cette logique "humaniste" est intéressante. Pourquoi ne pas être "humaniste" de la sorte face aux autres faits sordides?

Pourquoi ne pas légaliser le libre-choix du meurtre par des moyens "propres" (l'exécution du voisin ou du conjoint casse-pieds, à l'aide de polonium ou d'une arme à feu) pour éviter l'assassinat artisanal et sordide (le gaz de la cuisinière, les ciseaux dans la gorge... qui risquent de se retourner contre l'auteur ou d'autres victimes collatérales). Voilà une belle avancée "humaniste" de la propreté, de l'hygiénisme et de la santé, n'est-ce pas?

Vous n'êtes plus en faveur du libre-choix "humaniste"?... Évidemment, vous ne risquez pas de vous faire avorter. Par contre pour ce qui est de la question des conjoints ou des voisins, la problématique se présente sous un autre angle... Finalement on ne devrait pas légaliser le choix "humaniste" du meurtre selon les moyens employés pour contenir le sordide. N'est-ce pas?

Votre "humanisme" finalement, il dépend de l'âge et l'identité de la victime. Tant que cela ne me concerne pas personnellement, au diable les innocents, n'est-ce pas? C'est bien cela votre humanisme??!

der-richter

Tu prends la pilule, Katou ?

Si comme selon ses dires la vie commence à la conception la question fait sens.

katou

techniquement la contraception c est avant la fécondation.

L IVG en elle même se situe après la fécondation.

Exact mais le fait de rembourser à 100% une IVG pourquoi se soucier de l'avant puisque "après" l'IVG permet d'éliminer "l'appendice" gênant ?

katou

Votre "humanisme" finalement, il dépend de l'âge et l'identité de la victime. Tant que cela ne me concerne pas personnellement, au diable les innocents, n'est-ce pas? C'est bien cela votre humanisme??!

Il n'y a évidemment aucun humanisme en étant pro IVG, au contraire même car l'IVG permet d'éliminer une partie de l'humanité.

tiresias

Où l'on retrouve la distinction entre les "bien-nés" et les autres, qui peuvent être avortés ou euthanasiés au bon vouloir des premiers... :

bobbysix

heu.. pas exactement.. je parle de la fécondation de l'ovule. pas du Mr qui s'agite frénétiquement sur Mme afin de découvrir le point G de celle-ci.

d'ailleurs ce point G n'existe pas.. il peut toujours chercher..

Le stérilet empêche la nidification de l'embryon, la fécondation a déjà eu lieu.

De fait la plupart des contraceptions agissent comme des pilules du lendemain automatisées, à part la plus courante l'éjaculation faciale.

james-saint-angel

Derrière votre discours partisan où vous ressassez toujours les mêmes arguments, vous ne vous ne rendez même pas compte (ou vous ne voulez pas vous rendre compte) que la fin de l'avortement légal et médicalisé n'arrêtera rien et n'empêchera rien, si ce n'est de le rendre clandestin avec toutes les conséquences que cela comprend !

C'est bien gentil de parler de meurtres pour un faire un parallèle autant démonstratif qu'idéologique mais, concrètement pour empêcher les avortements, en cas de prohibition, que proposez vous ?

bobbysix

Bah ne pas les légaliser c'est peut être un bon début non ?

Des tas de gens outrepassent le cadre légal chaque jour, ça n'est pas pour cela qu'on invalide la loi en question.

Et bien entendu : sanction sur l'auteur.

tiresias

Il vaudrait mieux favoriser l'adoption par des familles en manque d'enfants.

james-saint-angel

Il vaudrait mieux favoriser l'adoption par des familles en manque d'enfants.

J'y avais pensé et j'ai souvent posé la question à des femmes allant ou ayant pratiquer une IVG (délicat car je n'étais concerné en aucune manière) et elles pouvaient parfaitement m'envoyer balader. Au lieu de ça, la plupart m'ont répondues qu'elles préféraient ne pas garder un embryon plutôt que d'abandonner un enfant né et cela paraissait pour elle, plus dur, plus difficile.

En fait, je crois avoir compris : l'IVG est anonyme et rapide, et ce n'est pas le cas pour une grossesse de 9 mois. De plus, un abandon sous X demande des démarches et des discussions à n'en plus finir avec des gens qui vont encore vous juger.

Tirésias (je le reconnais là) a touché un point fort du problème : si on lissait un peu mieux les procédures d'abandon en aidant physiquement, matériellement et moralement certaines femmes avec des grossesses non désirées (notamment seules), on pourrait peut-être inverser la courbe de l'iIVG, ce que, personnellement, j'ai toujours souhaité !

bobbysix

Un joyeux Noël à tous les pitits fœtus qui blobottent dans le ventre de leur maman d'amour

tell

Derrière votre discours partisan où vous ressassez toujours les mêmes arguments, vous ne vous ne rendez même pas compte (ou vous ne voulez pas vous rendre compte) que la fin de l'avortement légal et médicalisé n'arrêtera rien et n'empêchera rien, si ce n'est de le rendre clandestin avec toutes les conséquences que cela comprend !

C'est bien gentil de parler de meurtres pour un faire un parallèle autant démonstratif qu'idéologique mais, concrètement pour empêcher les avortements, en cas de prohibition, que proposez vous ?

Ah. Voilà enfin une question constructive.

Le partisan (sic!) du droit de vivre plutôt que de celui de la libre extermination d'autrui est enchanté par ce signe apparent d'ouverture.

En plus des pistes avancées pour favoriser l'adoption (combien sont en attente pendant qu'on extermine à tour de bras ou plutôt à coup d'aspirateur?) et engager pleinement la responsabilité financière du père avant de s'en remettre à la main publique, voici quelques pistes exploitant les institutions existantes.

L'application des principes institutionnels de protection de la vie:

- appliquer le principe de nécessité à l'avortement légal (proportionnalité du sacrifice exigé au bien à protéger: du coup, s'en est terminé avec les avortements du "j'ai raté la pilule" ou "j'ai d'autres projets dans l'immédiat que de m'occuper/me sacrifier pour un mouflet");

- poursuivre et sanctionner efficacement les infractions qu'elles soient commises ici où lors d'un déplacement à l'étranger afin d'empêcher la récidive et dissuader la société de le pratiquer illégalement (l'avortée en taule et/ou stérilisée; l'avorteur en taule - prblmt la perpette - les complices, y compris le père s'il ne s'y oppose pas, sont également poursuivis); et

- pour les actes commis à l'étranger (et dont l'autorité prend connaissance), c'est pareil au retour des intéressés au pays (comme pour les meurtres et excisions et autres crimes graves commis à l'étranger et non poursuivis au lieu de commission).

Vous voyez. Lorsqu'on veut réellement lutter contre un phénomène, les outils existent. Il suffit de faire preuve de bonne volonté, et surtout entendre l'innocence.

no-pass

*le troll est un peu trop gros ...*dd

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