• [supprimé]

Pour un physicien tu fais preuve d'une bien faible capacité d'abstraction, pour ne considérer l'intelligence que par ce qui peut être exprimable via notre language à nous.

Le degré d'intelligence des animaux n'a aucune espèce d'importance(*): ils ne sont pas membres de notre espèce, par définition.

(*) Nonobstant que l'on nage toujours dans l'ultra-relativisme absolu tournant autour de deux points.

Primo, il n'y a un continuum d'intelligence dans le règne animal entre la paramécie et l'homme, c'est une évidence. Genre il y a le chimpanzé juste "un peu moins" intelligent, puis le dauphin encore un peu moins, etc...

Il y a clairement une distinction entre nous et le reste du règne animal.

Certains utilisent des outils... mais aucun n'est capable de fabriquer des machines aussi complexes.

Etc, etc, etc...

Secundo, c'est absurde de vouloir argumenter sur la base d'exceptions. L'être humain, ce n'est pas essentiellement des handicapés mentaux, les animaux, ce ne sont pas essentiellement des dauphins ou des gorilles.

  • [supprimé]

un être humain qui n'est pas un sociopathe en puissance sera plus attaché à son espèce.

Parole d'evangile, certainement.

Nous avons donc un vainqueur: Greg1075 préfère son animal de compagnie à ses enfants.

Allez donc expliquer cela à un médecin et revenez nous dire ce qu'il en pense.

Vous pensez que j'ai besoin d'un article de Nature pour pouvoir affirmer qu'un type qui place la vie d'une mouffette sur le même plan que la vie d'un être humain est complètement cintré?

Une blanche egale deux noires, quoi.

Les blancs et les noirs sont de la même espèce au cas où vous ne seriez pas au courant.

Vous considérez que manger une vache est équivalent à de l'anthropophagie, je suppose? Ou qu'exterminer un nid de cafards est un génocide? A quand un procès de Nuremberg pour les exterminateurs d'insectes?

Nous sommes des prédateurs, au sommet de la chaîne alimentaire, mais là où notre espèce arrive à se dépasser, c'est sacrifier des animaux non pas pour assouvir un besoin élémentaire comme l'alimentation, mais à les sacrifier pour sauver des milliers, des millions d'êtres humains.

A mon sens, c'est beaucoup plus noble.

Après, je ne doute pas qu'il existe des post-humains suffisamment atteint pour penser que la vie d'un castor à la même valeur que la vie d'un enfant, ou que les abattoirs sont des camps de la mort.

L'empathie (du grec ancien ἐν, dans, à l'intérieur et πάθoς, souffrance, ce qui est éprouvé) est une notion désignant la « compréhension » des sentiments et des émotions d'un autre individu voire, dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances (il est alors plus spécifiquement question d'« empathie cognitive »). En langage courant, ce phénomène est souvent rendu par l'expression « se mettre à la place de » l'autre.

Sans rire?

Votre argument, c'est meme pas quelque chose du genre "oui, c'est malheureux d'avoir a experimenter sur des animaux, mais c'est pour le bien de l'etre humain". Ca, au moins, c'est une position qui pourrait se comprendre et aurait du merite. Non, vous, c'est du sarcasme meprisant "rien a foutre des pov' toutous". Et apres ca vient donner des lecons d'empathie.

On va y mettre le temps mais on y arrivera. :

Il y a clairement une distinction entre nous et le reste du règne animal.

Therefore kestananafout des clebs.

Nous avons donc un vainqueur: Greg1075 préfère son animal de compagnie à ses enfants.

J'ai pas d'enfants. Si j'en avais, je ne doute nullement que je les préférerais a mes animaux de compagnie. Mais le sujet, c'est pas mes gosses - ni les votres d'ailleurs. Trois fois que vous nous en parlez - ca y est, on a compris. Vos aimez vos gamins, normal. Z'avez mis la 'tite graine et boum, 9 mois plus tard vous etes pere. C'est beau. Vos gosses passent en premier pour vous, ok. Le probleme, il est pas la. Pour commencer, newsflash, la race humaine ne se limite pas a vos enfants; alors si on veut parler de la vie d'un animal vs. celle d'un humain, il faut se montrer un peu moins biaise. Mais bon, acceptons pendant un instant que n'importe quelle vie humaine > vie animale. Le problème, il est toujours pas vraiment la. Le problème, c'est le dédain que vous affichez clairement pour les bêtes. Vous n’en avez “rien a foutre” des experimentation sur les “clebs”. J'invente rien. Seulement, si l'empathie se refere premierement aux membres de son espece ou de son groupe, ca ne veut nullement dire qu'elle ne s'applique pas aux autres. Alors quand vous affichez, non pas une simple preference pour la vie humaine, mais un mépris total pour celles de bestioles sur lesquelles on experimente, vous repasserez pour nous faire la lecon. Alors pour la enieme fois pour les plus lents:

Votre argument, c'est meme pas quelque chose du genre "oui, c'est malheureux d'avoir a experimenter sur des animaux, mais c'est pour le bien de l'etre humain". Ca, au moins, c'est une position qui pourrait se comprendre et aurait du merite. Non, vous, c'est du sarcasme meprisant "rien a foutre des pov' toutous". Et apres ca vient donner des lecons d'empathie.

Et puis l’affirmation qui voudrait qu’une personne qui est plus attachée a son chien qu’a son espèce serait sociopathe, ce n’est rien de plus que du sensationnalisme pseudo-scientifique a la noix. Aucune base. Des etudes ont d’ailleurs deja démontre que les gens avaient plus d’empathie pour leurs chiens que pour les humains. La conclusion, c’était pas qu’ils étaient sociopathes, Dr Phil. Faut arrêter votre délire. Vous perdez votre animal de longue date Dimanche soir. Lundi sur le chemin du boulot, vous passez a cote des accident de la route. Deux morts. Des étrangers pour vous. Vous avez plus de peine pour eux que pour votre bête? Arretez d’essayer de berner les gens 2 mn. Michel Dupont aime ses gosses, normal. Mais Paul Durand, il peut très bien en avoir rien a cirer des gosses de Dupont. D’ailleurs, il prefere son epagneul Breton, c’est pour dire. Le relativisme en question n’est pas dépourvu de sens. il est au coeur du débat. L’empathie, ca ne se juge pas sur une échelle de valeurs externe, objective et mesurable - comme si la vie d’une espèce en “valait” plus qu’une autre - comme l’ordre dans la chaine alimentaire, les capacités intellectuelles, cognitives ou les capacités d’expression verbale. Quel tas d’inepties anthropocentriques. On n’ose meme pas imaginer ce que ca serait si le garcon était religieux. Ouf!

  • [supprimé]

Sans rire?

Vous êtes en train d'essayer de sodomiser des coléoptères dans tous vos messages de ce fil. Et je dis bien "essayer".

Ce que j'ai écrit:

Oh mon dieu, faire des expérimentations sur des pauvres toutous pour trouver des traitements pour des êtres humains?

Rien à f...

Votre réponse:

Il faut vous tenir une conférence pour comprendre que les traitements pour les êtres humains participent à son bien être?

Et sur ce, vous avez enchaîné sur mon absence d'empathie avec les animaux de labo. Ben oui, j'ai plus d'empathie envers les autres êtres humains qu'envers les animaux. J'écris "plus" mais la différence de degré est tellement titanesque que je peux dire que j'ai de l'empathie pour les autres êtres humains, et aucune pour les animaux.

Ce que vous ne comprenez toujours pas, même avec la définition de l'empathie sous le nez d'ailleurs, alors que c'est juste une évidence: prétendre se mettre à la place d'un chien, ou d'un rat, ou d'un hamster, est complètement absurde, en dehors des émotions élémentaires.

On va y mettre le temps mais on y arrivera. :

De comprendre que vous n'avez rien à dire qui ne relève pas de l'insanité? On y est arrivé avec vos propos de votre message précédent, que vous vous êtes bien gardé de reprendre.

Vous voulez bien me réexpliquer que quelqu'un plus attaché aux animaux qu'aux êtres humains n'est pas dérangé?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Personnal ... ntisociale

Ou bien oser dérouler la suite logique de l'idée vraiment de mettre sur un pied d'égalité les animaux et les êtres humains?

Quelqu'un qui se fait traiter parce qu'il a un ténia, c'est un meurtre?

Pour un physicien tu fais preuve d'une bien faible capacité d'abstraction, pour ne considérer l'intelligence que par ce qui peut être exprimable via notre language à nous.

Le degré d'intelligence des animaux n'a aucune espèce d'importance(*): ils ne sont pas membres de notre espèce, par définition.

(*) Nonobstant que l'on nage toujours dans l'ultra-relativisme absolu tournant autour de deux points.

Primo, il n'y a un continuum d'intelligence dans le règne animal entre la paramécie et l'homme, c'est une évidence. Genre il y a le chimpanzé juste "un peu moins" intelligent, puis le dauphin encore un peu moins, etc...

Il y a clairement une distinction entre nous et le reste du règne animal.

Certains utilisent des outils... mais aucun n'est capable de fabriquer des machines aussi complexes.

Etc, etc, etc...

Secundo, c'est absurde de vouloir argumenter sur la base d'exceptions. L'être humain, ce n'est pas essentiellement des handicapés mentaux, les animaux, ce ne sont pas essentiellement des dauphins ou des gorilles.

Les cas limites, proche des frontières des capacités de chaque espèce témoignent justement de l'absence de discontinuité franche entre l'espèce humaine et quelques cousins animaux.

Et ce sentiment de supériorité absolue que beaucoup de gens partagent avec toi vient beaucoup du fait que nous ne savons pas faire abstraction du language pour estimer l'intelligence de l'autre, et effectivement c'est extrêmement difficile voire impossible.

Mais dans les faits ils doit bien y avoir 5% de la population sous les 80 de QI, le genre de personnes qui n'arrivera pas à reconstituer un puzzle simple que beaucoup de singes pas trop cons et un tantinet stimulés arriveront à reconstituer sans problème.

Un jour il est permis de croire qu'on pourra expérimenter sur des huitres, moules et autres bulots. J'attends cet avènement avec quiétude

J'ai pris le car hier.

Suivant cette analyse je suis prêt à ce que la moitié de celui-ci soit envoyé dans des labos pharmaceutiques pour des tests radicaux.

Vous êtes en train d'essayer de sodomiser des coléoptères dans tous vos messages de ce fil.

Lol. Vous pouvez dire "enculer des mouches". Lâche-toi, on est entre amis...

Ce que j'ai écrit:

Mais j'ai bien compris ce que vous avez ecrit. "Rien a foutre des expérimentations médicales sur les clebs." On a aussi compris que c'est en faveur de l'être humain - c'est implicite.

On en revient cependant toujours bien au même point de vue anthropocentrique vaniteux : L’Homme a un dominion sur les autres espèces. Alors parce que vous n'avez toujours pas l'air de capter :

Votre argument, c'est même pas quelque chose du genre "oui, c'est malheureux d'avoir à expérimenter sur des animaux , mais c'est pour le bien de l'être humain". Ca, au moins, c'est une position qui pourrait se comprendre et aurait du mérite . Non, vous, c'est du sarcasme méprisant "Oh les pov' toutous…rien à foutre".

Si vous voyez pas la différence entre les deux points de vue, c'est triste.

(...) je peux dire que j'ai de l'empathie pour les autres êtres humains, et aucune pour les animaux.

Non, jure!! : Merci, on avait compris... :

Ce que vous ne comprenez toujours pas, même avec la définition de l'empathie sous le nez d'ailleurs, alors que c'est juste une évidence: prétendre se mettre à la place d'un chien, ou d'un rat, ou d'un hamster, est complètement absurde, en dehors des émotions élémentaires.

La peur et la tristesse provenus de souffrances physiques, c'est ne sont pas des émotions de base, peut-être? Y a-t-il plus élémentaire que ça? Ils connaissent la joie, oui? La tristesse, oui? La peur, oui? La surprise, oui? La colère, oui? Le courant évolutionniste de la psychologie des émotions trouve ses origines dans un bouquin de Darwin. Le titre: The expression of the Emotions in Man and Animals .

Aucun commentaire sur les études qui ont montré que les gens ont plus d'empathie pour les animaux que les autre humains, sans pour autant que ça fasse d'eux des sociopathes... Pas grave, c'est cadeau.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Personnalit%C3%A9_antisociale

LOL. Et où l'article dit-il qu'un degré d'empathie plus élevé envers des animaux qu'envers l'homme relèverait de la sociopathie? Réponse pour ceux qui veulent gagner du temps: absolument nulle part.

Je cite: .

Et cette définition s'applique a quelqu'un qui préfère Médor...comment, déjà? Elle ne s'applique non plus ni à moi, ni aux autres dans ce fil qui montrent de la compassion pour les bêtes, d'ailleurs.

Mais continuons. Je cite:

(NDR: d'une personnalité antisociale)

Bien que le trouble ne puisse être diagnostiqué formellement avant l'âge adulte, il existe trois signes précurseurs du trouble, connus sous le nom de triade Macdonald, qui peuvent être détectés chez certains enfants. Ces signes sont des périodes inhabituellement longues d'énurésie, la cruauté envers les animaux, et la pyromanie.

Alors bon, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas: Je ne suis pas en train de raconter que vous aimez maltraiter les animaux. Ceci étant dit, si il y a une position qui se rapproche plus de la sociopathie, entre « degré élevé d’empathie pour les animaux « ou même « plus d’empathie pour les animaux que pour l’homme » d’un cote, et « total manque d’empathie pour la souffrance des animaux » (que ce soit pour le bien de l’homme ou pas) de l’autre, c’est clairement bien la dernière.

Devinette. Quel trait commun ont des sociopathes comme Dahmer, Ramirez ou Bundy? Est-ce que cela serait un degré d'empathie pour les animaux? Tout le contraire: un manque total d'empathie. Tous ont mutilé des animaux quand ils étaient gamins avant de passer aux êtres humains. Une répétition en costume, quoi. Alors encore une fois, vous repasserez pour donner des leçons en matière d'empathie...ou de sociopathie par la même occasion.

  • [supprimé]

Les cas limites, proche des frontières des capacités de chaque espèce témoignent justement de l'absence de discontinuité franche entre l'espèce humaine et quelques cousins animaux.

Les performances individuelles ne représentent pas grand chose rapportées aux réalisations d'une espèce entière.

Et les réalisations de notre espèce en 150 000 ans dépassent tout.

Oh mon dieu, faire des expérimentations sur des pauvres toutous pour trouver des traitements pour des êtres humains?

Rien à f...

Pourquoi la vie d'un chien ou d'un chat aurait-elle moins de valeur que celle d'un homme?

Pourquoi ne pas faire directement les expériences sur des "hommes" qui ont perdu tout droit à être considérés comme des humains (par ex. les pédophiles, les terroristes,...) ?

D'ailleurs les hommes descendent indubitablement des singes.

Donc les expérimentations sur des salopards de criminels psychopathes de naissance, seraient bien plus idoines que sur des petits singes qui n'ont jamais rien fait à personne.

Dans quel monde perturbé, vivons-nous ?

Les cas limites, proche des frontières des capacités de chaque espèce témoignent justement de l'absence de discontinuité franche entre l'espèce humaine et quelques cousins animaux.

Les performances individuelles ne représentent pas grand chose rapportées aux réalisations d'une espèce entière.

Et les réalisations de notre espèce en 150 000 ans dépassent tout.

Qu'avons-nous fait de "propre" en réalité ?

A part transformer ce qui existe déjà à l'état de "nature" ?

Et si nous avons transformé ce paradis originel, corrompu,ensuite par les actes des hommes, pour en faire maintenant un ENFER où tout un chacun éprouve de plus en plus de mal à y vivre, c'est dans quel but exactement.

A part quelques élucubrations ubuesques des soi disant "savants Cosinus Alpha" ?

En première approximation, quel que ce soit leurs capacités, ce ne sont des animaux, pas de notre espèce.

Effectivement, je suis d'accord...

  • [supprimé]

J'ai pas d'enfants. Si j'en avais, je ne doute nullement que je les préférerais a mes animaux de compagnie. Mais le sujet, c'est pas mes gosses - ni les votres d'ailleurs.

Ca s'appelle une démonstration par l'absurde, voyez donc à quelle question je réponds quand je l'évoque.

Et c'est dans le sujet à partir du moment où les enfants sont des êtres humains.

Pour commencer, newsflash, la race humaine ne se limite pas a vos enfants; alors si on veut parler de la vie d'un animal vs. celle d'un humain, il faut se montrer un peu moins biaise.

Il n'y a pas biais, puisque j'argue justement que ce que je considère comme valide pour mes enfants est valide pour tous les autres êtres humains, même ceux pour lesquels je n'ai pas d'attachement sentimental. C'est dans le cas contraire qu'il y a un biais: refuser de généraliser à tous, les droits que l'on souhaiterait pour ses proches.

Le problème, il est toujours pas vraiment la.

Ce n'est pas "le" problème, c'est le votre, comme vos difficultés de comprenette.

Je confirme, mais sans couper mes propos: des expériences sur des clebs... , rien à cirer.

Si, si, c'est écrit explictement là:

L'absence de biais, c'est de comparer des choses comparables: l'animal de Mr. X avec ses proches (et pas les enfants de Mr.X avec le chien de Mr. Y, que Mr. X ne connait pas et vit à 10 000 km de chez lui). Et je réitère donc: si Mr. X nous explique qu'il ressent plus d'empathie pour son chien que pour ses proches, je lui dis qu'il a sérieusement la tôle qui ondule.

Et vu que mes yeux quitte parfois mon nombril, je me dis que ce qui est valable pour moi l'est pour les autres, et que si je place mes proches avant les animaux, les autres (sains d'esprit) feront de même.

L’empathie, ca ne se juge pas sur une échelle de valeurs externe, objective et mesurable...

Zéro cohérence version 2.0.

Si ca ne se mesure pas, faudra nous expliquer la valeur des études l'empathie.

Quel tas d’inepties anthropocentriques.

Parce que nous causez uniquement des animaux que l'homme considère comme mignon pour appuyer votre argumentaire, ce n'est pas de l'anthropocentrisme peut-être? Essayez de nous refaire la même chose, mais avec des cafards ou des dragons de Komodo...

  • [supprimé]

Et si nous avons transformé ce paradis originel...

Il n'y a que dans votre tête qu'il a existé un paradis où que ce soit.

C’est peu connu, mais une partie des dons versés au Téléthon finance la recherche sur des chiens. Reportage dans le chenil où ont lieu les expérimentations.

http://www.rue89.com/2013/12/03/experimentation-animale-les-chiens-myopathes-cobayes-face-cachee-telethon-248080

avec Pascale et Joanni, si demain matin, il manque de l'argent dans les caisses du Téléthon, on pourra dire: encore un coup monté par le lobby sioniste et le lobby anti- musulman : : :

  • [supprimé]

Mais j'ai bien compris ce que vous avez ecrit...

Déjà répondu. Apparemment, vous avez du mal à lire et/ou établir les liens entre deux phrases consécutives.

On en revient cependant toujours bien au même point de vue anthropocentrique vaniteux : L’Homme a un dominion sur les autres espèces

Ce que vous n'arrivez pas à admettre, c'est tout simplement la réalité. Est-ce qu'il existe une seule autre espèce se préoccupant des autres espèces?

Si nous n'avons aucun dominion, faut aller au bout de votre logique: on ne s'en préoccupe pas, mais pas du tout alors. Préservation de la biosphère, conservation des espèces: aux chiottes.

Si vous voyez pas la différence entre les deux points de vue, c'est triste.

La différence, c'est votre sentimentalisme risible, que je vais devoir briser en devant vous apprendre une nouvelle: nous bouffons d'autres animaux.

Or, comme je l'ai déjà écrit:

Nous sommes des prédateurs, au sommet de la chaîne alimentaire, mais là où notre espèce arrive à se dépasser, c'est sacrifier des animaux non pas pour assouvir un besoin élémentaire comme l'alimentation, mais à les sacrifier pour sauver des milliers, des millions d'êtres humains.

A mon sens, c'est beaucoup plus noble.

Tout le monde n'est pas obligé de penser qu'il faut verser une larme pour chaque vache, veau et mouton se rendant à l'abattoir: "c'est triste... mais nécessaire", et vas y que je me resserve un steack.

Je ne pleure déjà pas sur les animaux qui sont sacrifiés uniquement dans mon intérêt alimentaire/personnel, alors ce n'est pas pour verser des larmes de crocodiles sur ceux qui sont sacrifiés dans l'intérêt de la communauté.

La peur et la tristesse provenus de souffrances physiques, c'est ne sont pas des émotions de base, peut-être?

Vous avez trouvé cela tout seul ou vous vous appuyez sur une référence pour le dire? A force de passer votre temps à enfoncer des portes ouvertes, vous êtes juste passé à côté du point que je soulevais (comme d'habitude en fait): il est plus facile pour un être humain d'appréhender l'état psychologique d'un autre être humain que d'appréhender l'état pyschologique d'un hamster ou d'un hérisson.

Et il y a évidemment un énorme biais culturel et anthropologique dans ce que vous décrivez: la plupart des animaux présentent quasiment tous des réactions d'auto-conservation qui peuvent être interprétées comme de la peur ou de la souffrance. Mais étrangement, les gens y seront beaucoup moins sensibles quand il s'agit d'animaux "moches" (pour faire simple).

Enfin, les expérimentations animales à des fins médicales se résument à cette question: est-ce que la souffrance animale à la même valeur que la souffrance humaine?

Je réponds non, sans hésiter. Ce que vous me reprochez, c'est... de ne pas hésiter. Bref, absurde de A à Z.

Aucun commentaire sur les études qui ont montré que les gens ont plus d'empathie pour les animaux que les autre humains, sans pour autant que ça fasse d'eux des sociopathes... Pas grave, c'est cadeau.

Désolé, moi, je ne vous suis pas à la trace...

Et vu votre performance dans le message auquel vous faites allusion, je préfère vous dire que votre capacité à vous contredire à quelques lignes d'intervalle, je ne considère pas spécialement cela comme un cadeau, c'est plutôt une souffrance.

Trop d'empathie de ma part, je suppose.

LOL. Et où l'article dit-il qu'un degré d'empathie plus élevé envers des animaux qu'envers l'homme relèverait de la sociopathie? Réponse pour ceux qui veulent gagner du temps: absolument nulle part.

Si une personne ressent plus d'empathie pour des animaux que pour les Hommes, de deux choses l'une:

(1) Il a une empathie dans la norme envers ses congénères, et une sorte d'empathie++ pour les animaux.

(2) Il a une empathie dans la norme envers les animaux, et donc moindre envers ses congénères.

Et là où cela devient (très) fort, c'est que les sociologues auteurs de l'étude que vous avez cités, disent peu ou prou la même chose que le (2): une empathie moindre envers ses congénères peut s'expliquer par une à la violence envers les êtres humains.

Décidément, vous avez bien fait de la citer celle-là, elle est bien intéressante.

Bien que le trouble ne puisse être diagnostiqué formellement avant l'âge adulte, il existe trois signes précurseurs du trouble, connus sous le nom de triade Macdonald, qui peuvent être détectés chez certains enfants. Ces signes sont des périodes inhabituellement longues d'énurésie, la cruauté envers les animaux, et la pyromanie.

Alors bon, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas: Je ne suis pas en train de raconter...

Si vous compreniez ce que vous lisiez, vous ne raconteriez rien du tout.

Un, les sociologues de "votre" étude disent bien que si animaux>hommes = quelque chose de pas net = insensibilisation à la violence.

Deux, définition: cruauté. Vous avez vu une expression de plaisir où exactement?

Le plaisir que j'ai d'utiliser l'étude que vous avez cités ne compte pas, ca vise un être humain.

Quel trait commun ont des sociopathes comme Dahmer, Ramirez ou Bundy? Est-ce que cela serait un degré d'empathie élevé pour les animaux?

Je n'ai jamais parlé de personnes ayant un degré d'empathie élevé pour les animaux, mais de personnes ayant un degré d'empathie plus élevé .

Ca commence à devenir récurrent votre incapacité à comprendre correctement une idée exprimée juste en deux lignes. Vous me direz, il n'y aurait pas ca, vous ne seriez pas intervenus dans ce fil.

Bon, c'est pas tout ca, mais je suis quand même très décu que votre très subtil parallèle entre spécisme et racisme ait disparu des écrans radar.

Ca me rappelle l'excellente Pub, lancée par l'acteur Michel Creton, où un enfant handicapé cérébral ( autiste ?) disait " j'aurais mieux fait d'être un bébé phoque".

J'avais trouvé le slogan juste et génial, mais il parait que cela avait choqué beaucoup de monde. Surtout que les phoques sont des animaux nuisibles qui déciment les bancs de poisson et qu'il faut en élliminer le plus possible.

4 jours plus tard

Vous pouvez me parler de pseudo-science sensationnaliste à la noix, alors que vous vous êtes précipités sur le web pour tomber sur l'article du Boston Magazine, dont le titre est, malheureusement pour vous, trompeur.

. Valeur de cet argument : 0 pointé.

Et vu que mes yeux quitte parfois mon nombril, je me dis que ce qui est valable pour moi l'est pour les autres

Dire qu’on est pas nombriliste et affirmer dans la foulee que « ce qui est vrai pour moi est vrai pour tout le monde », c’est quand meme tres, tres fort...

Ce que vous n'arrivez pas à admettre, c'est tout simplement la réalité. Est-ce qu'il existe une seule autre espèce se préoccupant des autres espèces?

LOL. Dauphins guidant les marins? Chiens defendant leurs maitres contre d’autres chiens? Des centaines d’exemples d’animaux ayant adopte des membres d’autres especes ? Bon, on s’arrete la…

Vous avez trouvé cela tout seul ou vous vous appuyez sur une référence pour le dire? A force de passer votre temps à enfoncer des portes ouvertes, vous êtes juste passé à côté du point que je soulevais (comme d'habitude en fait): il est plus facile pour un être humain d'appréhender l'état psychologique d'un autre être humain que d'appréhender l'état pyschologique d'un hamster ou d'un hérisson.

LOL, de plus en plus poilant. Ben si le fait que leurs soufrances engendrent des emotions de base est une telle evidence, votre argument se casse miserablement la gueule. Je le reprend:

je peux dire que aucune (empathie) pour les animaux prétendre se mettre à la place d'un chien, ou d'un rat, ou d'un hamster, est complètement absurde, en dehors des émotions élémentaires.

Ma reponse : La peur et la tristesse provenant des souffrances physiques infligees sur les animaux de labos SONT émotions de base. Ergo, il n’est donc PAS absurde de se mettre a la place de ces animaux. CQFD. [smilie=icon_smile053.gif

Enfin, les expérimentations animales à des fins médicales se résument à cette question: est-ce que la souffrance animale à la même valeur que la souffrance humaine? Je réponds non, sans hésiter. Ce que vous me reprochez, c'est... de ne pas hésiter

Voui z’avez raison l’ami...c’est en effet un simple probleme d’hesitation. Certainement pas d’empathie : Empathie qu’il est normal d’eprouver d’apres votre propre raisonnement d’ailleurs, puisque les soufrances infligees sur les animaux de labos engendrent bien des emotions de base. Ah, ironie, quand tu nous tiens...

La sociopathie est considérée comme un trouble de la personnalité dont le critère principal d'identification est la capacité limitée, pour les personnes montrant les symptômes du trouble, à ressentir les émotions humaines, aussi bien à l'égard d'autrui qu'à leur propre égard. C'est ce qui peut expliquer leur manque d'empathie quand ils sont confrontés à la souffrance des autres...

Super de nous citer wiki, mais malheureusement pour vous, ca ne s’applique toujours au gens qui ont plus d’empathie pour les animaux ou aux sujets de cette etudes. Il n’est d'ailleurs dit nulle part que l’insensibilisation en question provient d’un trouble de la personnalite. Il n’est aussi nullement affirme que les sujets sont incapables ou ont une capacite limitee a ressentir des emotions pour tous les etres autour d'eux, y-compris eux-memes - cela etant la reelle definition de la sociopathie. 240 sujets, etudiants non sociopathiques jusqu’à preuve du contraire – qui sont d’ailleurs certainement representatifs de la population en general. Alors quoi, si ces resultats sont plus tard extrapoles a l’etre humain (d’autres etudes ont d’ailleurs demontrees que les gens ont bien autant ou plus d’empathie pour les animaux), ca veut dire quoi, que l’Homme en general est sociopathe? Bonjour le raisonnement bidon

Si une personne ressent plus d'empathie pour des animaux que pour les Hommes, de deux choses l'une:

(1) Il a une empathie dans la norme envers ses congénères, et une sorte d'empathie++ pour les animaux.

(2) Il a une empathie dans la norme envers les animaux, et donc moindre envers ses congénères.

Et là où cela devient (très) fort, c'est que les sociologues auteurs de l'étude que vous avez cités, disent peu ou prou la même chose que le (2): une empathie moindre envers ses congénères peut s'expliquer par une à la violence envers les êtres humains.

Encore une fois, cela demontre que ces gens sont des sociopathes…comment, déjà?

Cette etude - ou n’importe qu’elle autre – avance t-elle l’hypothese que ces sujets sont des sociopathes, oui ou non?. L’insensibilisation en question est le symptome d’autres facteurs. Qui plus est, un sociopathe ne fait pas aucune distinction entre adultes, enfants ou animaux, lui.

Entre l’ensemble des symptomes lies a la sociopathie et une sensibilite amoindrie pour des adultes (et je dis bien DES adultes, parce que si vous remplacez un etranger qui se fait tabasser par un proche, vous verrez un changement de resultats) qu’on percoit comme etant plus capables de se defendre qu’un animal ou un bebe (un des facteurs de la desensibilisation), il y a un fosse de la taille du grand canyon… Lol. Bonjour la tronche du diagnostique.

Les sociopathes n’ont pas une empathie amoindrie pour leurs congeneres d’un cote, et plus pour les animaux de l’autre. Il n’en ont aucune, ni pour les uns ou pour les autres. Déjà demontres dans des les cliniques de grands sociopathes connus. Ergo, dans aucun cas de figure une personne qui a plus d’empathie pour un animal qu’un homme peut etre consideree comme etant sociopathe.

Ce qui est marrant aussi, c’est cette distinction tardive entre votre (1) et (2) qui n’était bizarrement pas sur l'ecran radar jour quand vous affirmiez categoriquement que:

il n'y a pas photo: un être humain qui n'est pas un sociopathe en puissance sera plus attaché à son espèce.

Ou encore que

un type qui place la vie d'une mouffette sur le même plan que la vie d'un être humain est complètement cintré

C’est joli d’essayer de temperer son raisonnement grossier tardivement.... Enfin bon, mieux vaut tard que jamais, hein?

Soit vous nous demontrez par A + B que empathie pour animaux>hommes releve de la sociopathie, soit mettez-la en veilleuse et passez a autre chose.

Surtout que les phoques sont des animaux nuisibles (...) et qu'il faut en élliminer le plus possible.

Vous faites preuve d'une homophobie particulièrement virulente ! :

d'où vient cette réputation. Quand enfant, je regardais les documentaires animaliers sur les phoques, on n'en parlait jamais.