Mais j'ai bien compris ce que vous avez ecrit...
Déjà répondu. Apparemment, vous avez du mal à lire et/ou établir les liens entre deux phrases consécutives.
On en revient cependant toujours bien au même point de vue anthropocentrique vaniteux : L’Homme a un dominion sur les autres espèces
Ce que vous n'arrivez pas à admettre, c'est tout simplement la réalité. Est-ce qu'il existe une seule autre espèce se préoccupant des autres espèces?
Si nous n'avons aucun dominion, faut aller au bout de votre logique: on ne s'en préoccupe pas, mais pas du tout alors. Préservation de la biosphère, conservation des espèces: aux chiottes.
Si vous voyez pas la différence entre les deux points de vue, c'est triste.
La différence, c'est votre sentimentalisme risible, que je vais devoir briser en devant vous apprendre une nouvelle: nous bouffons d'autres animaux.
Or, comme je l'ai déjà écrit:
Nous sommes des prédateurs, au sommet de la chaîne alimentaire, mais là où notre espèce arrive à se dépasser, c'est sacrifier des animaux non pas pour assouvir un besoin élémentaire comme l'alimentation, mais à les sacrifier pour sauver des milliers, des millions d'êtres humains.
A mon sens, c'est beaucoup plus noble.
Tout le monde n'est pas obligé de penser qu'il faut verser une larme pour chaque vache, veau et mouton se rendant à l'abattoir: "c'est triste... mais nécessaire", et vas y que je me resserve un steack.
Je ne pleure déjà pas sur les animaux qui sont sacrifiés uniquement dans mon intérêt alimentaire/personnel, alors ce n'est pas pour verser des larmes de crocodiles sur ceux qui sont sacrifiés dans l'intérêt de la communauté.
La peur et la tristesse provenus de souffrances physiques, c'est ne sont pas des émotions de base, peut-être?
Vous avez trouvé cela tout seul ou vous vous appuyez sur une référence pour le dire? A force de passer votre temps à enfoncer des portes ouvertes, vous êtes juste passé à côté du point que je soulevais (comme d'habitude en fait): il est plus facile pour un être humain d'appréhender l'état psychologique d'un autre être humain que d'appréhender l'état pyschologique d'un hamster ou d'un hérisson.
Et il y a évidemment un énorme biais culturel et anthropologique dans ce que vous décrivez: la plupart des animaux présentent quasiment tous des réactions d'auto-conservation qui peuvent être interprétées comme de la peur ou de la souffrance. Mais étrangement, les gens y seront beaucoup moins sensibles quand il s'agit d'animaux "moches" (pour faire simple).
Enfin, les expérimentations animales à des fins médicales se résument à cette question: est-ce que la souffrance animale à la même valeur que la souffrance humaine?
Je réponds non, sans hésiter. Ce que vous me reprochez, c'est... de ne pas hésiter. Bref, absurde de A à Z.
Aucun commentaire sur les études qui ont montré que les gens ont plus d'empathie pour les animaux que les autre humains, sans pour autant que ça fasse d'eux des sociopathes... Pas grave, c'est cadeau.
Désolé, moi, je ne vous suis pas à la trace...
Et vu votre performance dans le message auquel vous faites allusion, je préfère vous dire que votre capacité à vous contredire à quelques lignes d'intervalle, je ne considère pas spécialement cela comme un cadeau, c'est plutôt une souffrance.
Trop d'empathie de ma part, je suppose.
LOL. Et où l'article dit-il qu'un degré d'empathie plus élevé envers des animaux qu'envers l'homme relèverait de la sociopathie? Réponse pour ceux qui veulent gagner du temps: absolument nulle part.
Si une personne ressent plus d'empathie pour des animaux que pour les Hommes, de deux choses l'une:
(1) Il a une empathie dans la norme envers ses congénères, et une sorte d'empathie++ pour les animaux.
(2) Il a une empathie dans la norme envers les animaux, et donc moindre envers ses congénères.
Et là où cela devient (très) fort, c'est que les sociologues auteurs de l'étude que vous avez cités, disent peu ou prou la même chose que le (2): une empathie moindre envers ses congénères peut s'expliquer par une à la violence envers les êtres humains.
Décidément, vous avez bien fait de la citer celle-là, elle est bien intéressante.
Bien que le trouble ne puisse être diagnostiqué formellement avant l'âge adulte, il existe trois signes précurseurs du trouble, connus sous le nom de triade Macdonald, qui peuvent être détectés chez certains enfants. Ces signes sont des périodes inhabituellement longues d'énurésie, la cruauté envers les animaux, et la pyromanie.
Alors bon, ne me faites pas dire ce que je ne dis pas: Je ne suis pas en train de raconter...
Si vous compreniez ce que vous lisiez, vous ne raconteriez rien du tout.
Un, les sociologues de "votre" étude disent bien que si animaux>hommes = quelque chose de pas net = insensibilisation à la violence.
Deux, définition: cruauté. Vous avez vu une expression de plaisir où exactement?
Le plaisir que j'ai d'utiliser l'étude que vous avez cités ne compte pas, ca vise un être humain.
Quel trait commun ont des sociopathes comme Dahmer, Ramirez ou Bundy? Est-ce que cela serait un degré d'empathie élevé pour les animaux?
Je n'ai jamais parlé de personnes ayant un degré d'empathie élevé pour les animaux, mais de personnes ayant un degré d'empathie plus élevé .
Ca commence à devenir récurrent votre incapacité à comprendre correctement une idée exprimée juste en deux lignes. Vous me direz, il n'y aurait pas ca, vous ne seriez pas intervenus dans ce fil.
Bon, c'est pas tout ca, mais je suis quand même très décu que votre très subtil parallèle entre spécisme et racisme ait disparu des écrans radar.