Si cela se rejoint dans 99% des cas donnez nous donc une étude de terrain qui atteste que votre théorie fonctionne dans la vraie vie ...
PS : je passe même sur l'énomité que vous venez de nous sortir ....
Heureusement que les scientifiques ne partent pas de ce principe et tentent de mettre leurs théorie à l'épreuve de la réalite :)
Vous ne répondez toujours pas à la question : oui ou non un contrat de travail octroie-t-il une meilleure protection qu'à un(e) travailleu(se)r sans contrat ? Oui ou non a-t-elle le droit à un salaire, à des avantages sociaux, d'agir devant les prudhommes si le contrat n'est pas respecté, etc. ? Ce ne sont pas des illusions, ce sont de REALITES. Et vos soi-disant statistiques n'apportent rien de plus.
Je ne répondrais pas à cette question car elle relève d'une théorie manifestement inapplicable à la réalité de la prostitution, études de terrain à l'appui.
fournissez nous donc une étude qui étaye votre théorie dans le contexte de la prostitution.
EDIT : ce n'est pas la réalité du terrain que tu décris ...
En quoi serait-ce inapplicable à la réalité ? Une femme de ménage engagée par un palace peut exercer un recours contre son employeur. Si c'est une prostituée sous contrat de travail, en quoi ne pourrait-elle pas exercer ce recours ?
Le contexte de la prostitution n'est pas, en soi, différent de celui d'autres travailleuses. Et contrairement à ce que vous affirmez, le proxénétisme profite du manque d'encadrement légal, car ces filles n'ont aucun recours légal contre leurs abuseurs.
Vos "études" "de terrain", c'est du vent, c'est de l'onanisme intellectuel pour sociologues mal dégrossis en quête de job...
La réalité du terrain, c'est celle qui, juridiquement, accorde des droits qu'il est possible d'exercer, concrètement, dans ce domaine-là comme dans tous les autres. Il n'y a aucune spécificité liée à la prostitution par rapport, p. ex., à un métier de femme de ménage...