Je ne sais pas si il est trop confortable, je n'en sait même rien parce que je n'ai jamais pris le risque de m'y installer.
Pour moi, le chômage est assuré par mes cotisations et comme toute assurance elle ne doit servir que de secours extrême.
A part une fois, j'ai toujours choisi moi même de changer d'entreprise.
Une carrière professionnelle c'est avant tout des efforts pour des récompenses. Il faut d'abord faire ses preuves.
Je l'ai toujours dit, ne jamais se dire "je fais une pause et après je chercherai" JAMAIS !!!
Autant un employeur vous écoutera quand vous débarquez dans son bureau en lui disant "j'ai plus de taf, il m'en faut un de suite !!!" autant si vous débarquez après plusieurs mois de chômage, il prendra le temps de réfléchir.
Et, à l'époque de dingue à laquelle il vie, si il s'accorde le temps, les chances sont gravement entamées.
Après, il faut être prêt à des concessions. On a jamais l'emploi idéal à l'endroit idéal avec le salaire idéal, mais l'essentiel, c'est de rester sur le marché en activité.
Bon ! je tempère ma méthode à ceux qui débutent et ceux qui arrivent à un âge avancé. Critères anormalement handicapant.
Autre Bémol, cette façon de pousser les portes n'est valable que dans les PME, PMI.
Dans les multinationales vous ne rencontrez en général que la vingtième roue de la charrette et le temps que votre motivation remonte les étages, c'est aussi grandement compromis, mais pas de votre fait.
De toute façon, il ne faut pas bosser pour ces énergumènes qui ne voient en vous qu'une ligne de coût.
Enfin, c'est mon expérience de trente ans de vie active.