la philosophie est inapte à produire une quelconque connaissance.juste des opinions étayées par du bavardage verbeux.
Mais rien ne produit de connaissance.
la philosophie est inapte à produire une quelconque connaissance.juste des opinions étayées par du bavardage verbeux.
Mais rien ne produit de connaissance.
on en tient un bon :
La philo, ça pue.
on en tient un bon :
Et qu'est-ce qui en produit d'après vous?
N'oublie pas de mentionner que ton élève "littéraire" s'est pris un 7,5 (un 7 ou un 8) en Lettres.
Ce qui ne relève pas de l'absence de culture scientifique.
Qu'il rattrapera par un 24 en EPS ou en TPE.
Sur la question que porte le titre de ce fil : le langage comme outil, il ne produira rien que des choses nulles (quelles que soient les initiatives de son prof de philo pour l'inviter à y réfléchir).
Le langage est un outil, point barre. Outil pour avoir des notes flatteuses au bac ou pour se prévaloir d'un titre alors qu'on est infoutu de parler anglais correctement si l'occasion se présente.
Il n'aura pas la moindre chance de pondre quelque chose d'intéressant, parce qu'il ne peut pas comprendre la question elle-même.
Comme ça, à l'improvisade, je souligne l'intérêt philosophique de la question : je me sers du langage, je l'utilise, par exemple "je me sers" d'une langue , parce que l'on suppose qu'il y a une autre finalité que seulement parler (ou écrire, ou lire), elle n'est donc qu'un outil - ce qui nous reconduit à la question de l'utilitarisme qui prévaut dans ses filières.
Bref, on se sert, on utilise, on manipule, on maîtrise une langue.
Cela présente donc tous les dehors de l'utilitarisme, de la langue comme instrumentum, donc de la technique, etc. (Le sujet suppose l'utilisation du philosophème moyen/fin, il n'y a aucune chance ou presque qu'un candidat le voie).
Mais si on renversait le rapport, et, pour le prendre de la manière la plus frontale (sans doute pas la plus subtile), si je ne me servais pas de (ou dans) le langage, mais si j'étais au contraire utilisé par lui? Si par exemple, je ne disais pas simplement un truc que j'aurais voulu dire en me servant des mots (comme j'utilise à présent mon clavier), mais si c'était les mots qui m'utilisaient, mon clavier qui me gouvernait ?
Prenons le cas d'Alexis (au hasard, excuse, Alexis, je répugne à prendre des cas plus cruels). Qui commande ? Lui, ou le clavier ? C'est lui qui a décidé de se faire exclure toutes les trois semaines ?
Qui parle ? Le signataire, le pseudo ?
Et dans ceux qui répondent, ils parlent, ou bien ils sont parlés eux-mêmes ?
Réponse édifiante, merci.
Réponse édifiante, merci.
que les littéraires en fassent, comme une langue morte, pourquoi pas.La philo, ça pue.
ça fait partie des humanités.
mais coller ça à des élèves qui ont fait volontairement des choix de série non littéraires, c'est inepte.
ça ne peut conduire qu'à un bachotage stérile.
Les S en ont rien à foutre de la philo, cela doit être coeff 2.
Ils s'en tapent autant qu'un L des matières scientifiques.
coeff 3, autant qu'une LV1.
Réponse édifiante, merci.
Vous me la refaites encore une fois?
Les S en ont rien à foutre de la philo, cela doit être coeff 2.Ils s'en tapent autant qu'un L des matières scientifiques.
J'ai eu 13 en paraphrasant un passage de pour le commentaire. 8)
...la rationalité a triomphé.
Si seulement.
coeff 3, autant qu'une LV1.http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/bac-s.html
Les S s'en branlent également, de la LV1.
Ils misent tout sur leur spé coeff 9.
***On arrête maintenant - Rem***
De mon temps, si la spé était math, c'était coeff 10 (6 en bio et 6 en physique).
Et quand on vise une mention, on ne s'en fout pas.
***Réponse à post modéré - Rem***
De mon temps, si la spé était math, c'était coeff 10 (6 en bio et 6 en physique).Et quand on vise une mention, on ne s'en fout pas.
A mon époque c'était coefficient 9 (tandis que la spécialisation en physique-chimie ou biologie-géologie ne le faisait monter qu'à 8.)
Les S s'en branlent également, de la LV1.
Et que dire de la LV2 (5 en allemand, mon dernier contact avec la langue.)