Dans l’académie d’Orléans-Tours, un barème leur recommande de noter l’épreuve de français sur 24 points et non sur 20. En raison des piètres résultats de leurs élèves au bac 2012, les professeurs de lettres de l’académie d’Orléans-Tours sont appelés à surnoter l’édition 2013… Quitte à trafiquer le barème en notant l’épreuve orale de français sur vingt-quatre points au lieu de vingt. Des enseignants ne décolèrent pas à ce sujet, leur agacement se ravivant à l’approche de l’épreuve de français de première programmée mercredi. Dûment chapitrés dans leurs lycées par leurs inspecteurs pédagogiques régionaux entre octobre et novembre, ils se voient reprocher leurs notes de l’année précédente jugées «trop mauvaises»: «Vous allez devoir faire preuve de davantage d’indulgence pour le bac 2013» et votre «attitude de notation est négative» leur lance-t-on. Pour les inspecteurs, c’est un problème de correcteurs qui expliquerait - au moins en partie - les «piètres» résultats au bac de l’académie d’Orléans-Tours. En 2012, avec 83,3 % de réussite à l’examen, elle se classe 22e académie de France, juste avant Nancy-Metz, Amiens et Créteil, un point et demi en dessous de la moyenne nationale. Lors d’une deuxième réunion, au rectorat cette fois, quelques enseignants «coordonnateurs» du bac se voient distribuer des tableaux démontrant que certains professeurs notent en dessous de la moyenne nationale, voire académique: «La différence peut être de deux points, cinq points.» Ces exemples sont pointés comme ceux qu’il ne faut pas suivre et qui pourraient faire l’objet d’une inspection s’ils persistaient dans leurs «notations négatives», affirme un participant qui, comme tous ceux contactés parLe Figaro ,a réclamé l’anonymat. «Nous franchissons une limite idéologique inacceptable: il ne nous est plus seulement demandé de faire preuve de bienveillance, mais de gonfler les notes de façon officielle afin de faire remonter les “scores” de l’académie», confirme le syndicat Sud d’Indre-et-Loire. Distribuée aux correcteurs, une grille d’évaluation régionale que Le Figaro a pu consulter explique noir sur blanc concernant l’oral de français, que ce dernier doit être noté sur vingt-quatre points, découpés en «compétences»: il faut compter deux points pour la «lecture» et la «compréhension» du texte, quatre points pour la «capacité à mettre les éléments en relation et à réagir avec pertinence», quatre autres points pour «le niveau de langue orale» et les «qualités de conviction», etc. Les examinateurs doivent remplir deux fiches de barème: l’une, officielle et nationale, sur 20, traduction de la deuxième, officieuse, émanant de l’inspection régionale, sur 24. «C’est éthiquement inacceptable. Les moins bons élèves y gagneront quand les meilleurs y perdront. Il y a rupture de l’égalité entre les candidats d’Orléans-Tours et avec ceux du reste de la France», s’agace un correcteur. Entre un élève noté dix-huit sur vingt et un autre noté vingt sur vingt, pourront se cacher jusqu’à six points de différence! «Pourquoi ne pas admettre que nos élèves ont simplement fait une contre-performance par rapport au reste de la France, l’an dernier? Pouvons-nous honnêtement envoyer de futurs bacheliers à l’université avec des notes que nous ne leur aurions pas attribuées sans ces consignes ?», dénonce une enseignante quand une autre dénonce la «mascarade» du bac: «Personne ne se demande si les programmes scolaires ne sont pas trop lourds ou inadaptés à nos élèves.» Aux questions des enseignants, les inspecteurs ont répondu qu’il ne s’agissait pas d’«un barème à proprement parler», juste un moyen pour les enseignants de «penser positif» sur la notation… Interrogé par Le Figaro au sujet de cette obsession du classement académique, un haut fonctionnaire du ministère répond avec simplicité «qu’il faut bien gérer les flux». Dans une académie, un point d’échec supplémentaire au bac peut se traduire par 2 000 élèves à faire redoubler au lycée l’année suivante. Un coût considérable par ces temps de disette budgétaire. http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/ac ... eves-2194/ un grand sachem a du pester contre les résultats du bac, résultat les petits chefs menacent, éructent et exigent que les profs trafiquent les notes. typiquement socialiste.

...votre «attitude de notation est négative»... ...juste un moyen pour les enseignants de «penser positif» sur la notation… Comme disait Raffarin: "Il faut avoir la positive attitude".

merci de ne pas mêler le bon monsieur Raffarin avec cette politique scandaleuse. si tu aimes bien Raffarin, tapes dans tes mains.

il faut compter deux points pour la «lecture» et la «compréhension» du texte, quatre points pour la «capacité à mettre les éléments en relation et à réagir avec pertinence» Ce sont les évaluations de fin d'année en CM2 ?

Le plus marrant, c'est que si les correcteurs, en réaction à cette injonction, décident de mettre 20/20 à tous les élèves, ils n'en seront probablement pas blâmés.

Comme disait Raffarin: "Il faut avoir la positive attitude". De toute façon, même après corrections, il y a "harmonisation". => si tu te plantes, plantes-toi dans un tas de copies d'autres brêles. Cela fera 5 points de plus. Le BAC est juste un moyen d'écremer les 4 moins pires cinquièmes des gamins arrivés jusque-là. Une merde sans-nom dont le niveau baisse avec la baisse des exigences depuis la maternelle.

c'est ce que j'appelle lisser par le bas ... face à la médiocrité des jeunes de maintenant, on doit baisser le niveau des épreuves

c'est ce que j'appelle lisser par le bas ... face à la médiocrité des jeunes de maintenant, on doit baisser le niveau des épreuves bonjour animaniax, on pourrait dire sans risque de se tromper ;de certains jeunes .Comme dirait cet acteur de feuilleton :"dans la vraie vie" la réalité se révèle cruelle ;il n'est que de recevoir à l'entretien d'embauche un bac plus autant que vous voudrez ,pour vous rendre à l'évidence 'est-ce que je vais bien pouvoir faire de ce Zozo là ?

Certains correcteurs sont des élitistes forcenés crétinisés par l'idéologie dogmatique de de la droite décom(plexée); il faut bien trouver un moyen de contrôler ces énergumènes pour protéger l'égalité des chances des candidats.

Certains correcteurs sont des élitistes forcenés Le principe de l'examen est élitiste, il suppose un niveau à avoir et que presque plus personne n'a depuis des décennies (ce qui est normal pour la raison que le baccalauréat est à l'origine un diplôme d'excellence et que par ailleurs la dégénérescence des institutions scolaires ne favorise plus qu'une minorité d'élèves très doués et ceux ayant les moyens d'apprendre à l'extérieur). Donc surnotation de plus en plus obscène et exigences dignes de l'école primaire ("il ne sait pas accorder un participe passé mais on sent qu'il a compris une partie du texte quand même, on a bien fait de choisir du Booba pour la poésie cette année, allez ça mérite la moyenne, je ne voudrais pas faire de l'élitisme"). Il ne faut pas aller bien dans sa tête pour y voir quelque chose de positif.

c'est idiot, la notation en français étant subjective je me demande ce qu'ils font pour ceux qui ont 24 ensuite ils trafiquent toujours les acceptations au niveau du jury final, donnant le bac même à ceux qui n'ont pas les notes requises

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Bac : des profs de français invités à surnoter les élèves

[supprimé]

Il n'y a pas 6 mois, on m'a cassé les couilles parce que j'avais utilisé le terme "nonobstant" à l'oral.

Pourquoi ça ?

Niveau de francais trop élevé ("lol, personne ne parle comme ca").

Il s'agissait quand même d'un groupe de personne étant toute titulaire au minimum d'un doctorat...

Et pourtant, je ne suis pas particulièrement bon en francais, plutôt médiocre.

rem-100

Niveau de francais trop élevé ("lol, personne ne parle comme ca").

Ah, c'est étrange.

Enfin dans mon domaine on utilise régulièrement ce terme donc je ne suis pas objectif.

Il s'agissait quand même d'un groupe de personne étant toute titulaire au minimum d'un doctorat...

C'est d'autant plus étrange.

Peut-être que la thèse de No Pass selon laquelle les scientifiques sont médiocres en français se vérifie.

nyarlathotep

Bien sûr.

Ce n'est pas grave de ne pas écrire en français jusqu'au jour où on se retrouve face à un maître de conférence qui met 1/20 sans ouvrir la copie s'il trouve les premières lignes illisibles.

J'avais un professeur, si tu faisais plus de 10 fautes d’orthographe dans ta copie, il te collait 0/20.

C'est un peu moins sadique que "j'ai eu 1, ma copie était si mauvaise ? je me souviens pourtant avoir dit que...

- Ah, mais je ne l'ai pas lue, je veux bien vous croire."

polomnic

J'ai passé mon bac S, il y a maintenant 17 ans, sans faire aucune révision. J'ai quand même réussi à décrocher une mention AB. Bref, le niveau était déjà tellement bas à l'époque qu'avec quelques facilités on pouvait l'obtenir sans rien foutre. C'est dire que le niveau ne devait déjà pas être bien glorieux.

Visiblement c'est encore pire aujourd'hui, et je me dis qu'en produisant le même effort j'obtiendrais probablement la mention Bien.

Le pire c'est que cette océan de médiocrité dans lequel baigne l'Education Nationale défavorise encore plus les rejetons des basses classes, qui ne peuvent plus se distinguer par leur intelligence.

nyarlathotep

Niveau de francais trop élevé ("lol, personne ne parle comme ca").

Il s'agissait quand même d'un groupe de personne étant toute titulaire au minimum d'un doctorat...

Et pourtant, je ne suis pas particulièrement bon en francais, plutôt médiocre.

Dans le même genre on se fout régulièrement de ma gueule parce que j'utilise le vouvoiement avec les inconnus.

"Mais elle a ton âge !" ben oui, c'est un adulte de 20-25 ans, on n'est plus à l'école...

courtial

Bonjour,

Un gamin qui n'est pas trop doué peut obtenir une note de 35 sur 24.

Cordialement.

Oui, je sais, c'est compliqué.

J'ai eu du mal, moi aussi.

Mais qu'est-ce que tu veux, c'est les maths modernes.

rem-100

Bien sûr.

Ce n'est pas grave de ne pas écrire en français jusqu'au jour où on se retrouve face à un maître de conférence qui met 1/20 sans ouvrir la copie s'il trouve les premières lignes illisibles.

J'avais un professeur, si tu faisais plus de 10 fautes d’orthographe dans ta copie, il te collait 0/20.

C'est un peu moins sadique que "j'ai eu 1, ma copie était si mauvaise ? je me souviens pourtant avoir dit que...

- Ah, mais je ne l'ai pas lue, je veux bien vous croire."

Disons que si tu as eu zéro, en effet, tu sais d'où ça vient.

Je connais une fille qui avait eu 13 à sa colle, puis 0 à l'épreuve finale.

rem-100

Dans le même genre on se fout régulièrement de ma gueule parce que j'utilise le vouvoiement avec les inconnus.

"Mais elle a ton âge !" ben oui, c'est un adulte de 20-25 ans, on n'est plus à l'école...

Je ne vouvoie pas les gens de mon âge s'ils sont "mes égaux" (étudiants comme moi ou assimilé). Tout de même.

Mais sitôt qu'il y a subordination ou que c'est un inconnu dans la vie civile, même avec seulement 2 ou 3 ans d'écart, je vouvoie, et j'ai du mal à changer cette habitude si on me le demande.

no-pass

D'ailleurs ça s'écrit khôlle, de nos jours.

der-richter

Aussi fou que ça puisse paraître, 100% des bacheliers ne visent pas forcement un doctorat.

Vous avez parlé d'études supérieures. Bac+1, ce sont des études supérieures.

Précisément, il s'agit d'avoir des exigences cohérentes. Il était évoqué le fait que ces études supérieures devraient être réservées à une élite s'élevant au dessus d'une norme définie de façon arbitraire et non en fonctions de besoins objectifs.

Lorsque nécessité fait loi...

C'est ce qu'on vous dit: ce serait quand même bien que les étudiants/élèves soient un peu obligés de sortir les doigts du cul si ils veulent vraiment des diplômes. Sinon, qu'ils fassent autre chose.

J'entends bien, et personne ne dit le contraire. Mon propos, encore une fois, tiens dans la cohérence des exigences. Prétendre qu'on ne devrait former que des brutes épaisses à l'aune de critères subjectifs n'a aucun sens. Il est par ailleurs à rappeler qu'on ne forme pas des BTS ou des DUT avec les mêmes prérogatives que des universitaires.

danielfr40

J'entends bien, et personne ne dit le contraire. Mon propos, encore une fois, tiens dans la cohérence des exigences. Prétendre qu'on ne devrait former que des brutes épaisses à l'aune de critères subjectifs n'a aucun sens. Il est par ailleurs à rappeler qu'on ne forme pas des BTS ou des DUT avec les mêmes prérogatives que des universitaires.

excusez cette question dont la réponse doit pour vous sembler découler facilement de vos dires

mais concrètement, ça veut dire quoi ?

nyarlathotep

Il était évoqué le fait que ces études supérieures devraient être réservées à une élite s'élevant au dessus d'une norme définie de façon arbitraire et non en fonctions de besoins objectifs.

La culture est effectivement une mais c'est ce qu'est censé transmettre l'instruction publique.

Et décider que le but de l'école et de l'université est de former des employés selon les "besoins" du monde économique l'est tout autant. D'autant plus que le dit monde économique proteste depuis longtemps contre l'absence de maîtrise du français et l'incapacité de se fier à des diplômes aujourd'hui, ce qui fait qu'au final on cherche un peu de quels besoins vous parlez.

Assez déçu par tous ces arguments... Des bacheliers qui écrivent en français ? quel arbitraire élitisme...

Le rapport avec la formation de est encore plus difficile à trouver puisque vous nous reprochez précisément de trop en demander dans le sens inverse.

foly

Prenez les annales des années 60 et mettez sous les yeux des bacheliers de ces 25 dernières années . Logiquement ils devraient prendre conscience de la baisse du niveau.

Impossible de réussir à avoir minimum 12/20 de moyenne générale sans avoir travaillé au moins 3 à 4 heures par jour toute l'année.

hjok

Prenez les annales des années 60 et mettez sous les yeux des bacheliers de ces 25 dernières années . Logiquement ils devraient prendre conscience de la baisse du niveau.

Impossible de réussir à avoir minimum 12/20 de moyenne générale sans avoir travaillé au moins 3 à 4 heures par jour toute l'année.

Au vu des sujets que j'ai trouvé (et du nombre d'heures de cours de maths dont bénéficiaient les élèves à l'époque), permettez moi de douter que quiconque ait eu besoin de travailler chaque jour pour passer son bac.

http://membres.multimania.fr/mathjer/su ... tsbacs.pdf

no-pass

En parlant des maths, TOUTE l'algèbre moderne est abordée pendant les 3 années de Licence.

danielfr40

En parlant des maths, TOUTE l'algèbre moderne est abordée pendant les 3 années de Licence.

C'est assez curieux comme des outils mathématiques peuvent bouger, passer du lycée à l'université et réciproquement.

La théorie des ensembles par exemple n'était étudié qu'en université avant qu'on décide de la généraliser dès la 6ème

je crois qu'on est revenu un peu en arrière là dessus

mon prof de physique nous disait combien il était handicapé dans ses cours depuis que la notion de tenseur avait disparu du lycée.

l'éducation nationale choisit ce qui est abordé au lycée ou en université, des techniques pas spécialement compliquées peuvent disparaître du lycée faute de place

rem-100

Précisément, il s'agit d'avoir des exigences cohérentes. Il était évoqué le fait que ces études supérieures devraient être réservées à une élite s'élevant au dessus d'une norme définie de façon arbitraire et non en fonctions de besoins objectifs.

Admettons.

Mais vous pensez sérieusement qu'actuellement on évalue objectivement et sans arbitraire les besoins pour fixer les critères de sélection dans l'enseignement supérieur ?

der-richter

J'entends bien, et personne ne dit le contraire. Mon propos, encore une fois, tiens dans la cohérence des exigences. Prétendre qu'on ne devrait former que des brutes épaisses à l'aune de critères subjectifs n'a aucun sens. Il est par ailleurs à rappeler qu'on ne forme pas des BTS ou des DUT avec les mêmes prérogatives que des universitaires.

excusez cette question dont la réponse doit pour vous sembler découler facilement de vos dires

mais concrètement, ça veut dire quoi ?

Ça veut dire que, comme dit plus haut, que l'éducation nationale n'a pas vocation à ne fabriquer que des élites et qu'il est préférables de se baser sur des critères plus objectifs pour déterminer ce qui est important pour une formation donnée.

nyarlathotep

l'éducation nationale n'a pas vocation à ne fabriquer que des élites.

C'est incroyable de s'obstiner à ce point dans l'erreur.

LA FILIÈRE GÉNÉRALE A VOCATION A FABRIQUER DES ÉLITES CAPABLES DE SUIVRE DES ÉTUDES SUPÉRIEURES.

Pour le reste il existe d'autres diplômes que ce baccalauréat qui ne devrait pas être un passage obligatoire.

der-richter

La culture est effectivement une mais c'est ce qu'est censé transmettre l'instruction publique.

La culture dans l'absolu n'est pas une norme. Pour faire vite, l'arbitraire tient dans le fait d'exiger niveau de culture.

Et décider que le but de l'école et de l'université est de former des employés selon les "besoins" du monde économique l'est tout autant.

En quoi déterminer un socle de connaissances est subjectif? Concrètement il me semble clairement objectif de dire qu'un plombier à besoin de savoir remplacer une canalisation d'eau.

D'autant plus que le dit monde économique proteste depuis longtemps contre l'absence de maîtrise du français et l'incapacité de se fier à des diplômes aujourd'hui, ce qui fait qu'au final on cherche un peu de quels besoins vous parlez.

Le problème d'un C.V. ou d'un diplôme c'est qu'il ne dit pas tout, et le problème du recrutement en France c'est qu'il est trop souvent laissé à des automates, mais là n'est pas le débat.

Si dans une promo donnée vous avez 60 à 80% des élèves ayant des problème d'expression orale et/ou écrite mais qui ont pour la grande majorité le niveau nécessaire pour exercer leurs métiers, est-ce qu'on doit leurs fermer la porte pour autant? Vous verrez que pour un diplôme donnés tous les postes n'ont pas les mêmes niveaux d'exigence, et un élève médiocre en orthographe pourras tout même faire un bon employé pour un poste donné.

J'ai l'exemple d'un maître de stage, professeur de réseau informatique et grosse brutasse dans son domaine qui me faisait tester ses QCMs rédigés fans un français particulièrement lamentable. C'est extrêmement moche et personnellement j'ai du mal à considérer qu'on puisse apporter si peu de soin à son expression, mais ça ne l’empêchait pas d'être bon dans ce qu'il faisait.

Assez déçu par tous ces arguments... Des bacheliers qui écrivent en français ? quel arbitraire élitisme...

C'est bien vous qui parliez de former des élites. Donc soit avoir un niveau raisonnable en français au bac c'est faire parti de l'élite, soit ce mot d'élite repris par vous ne veut rien dire.

Le rapport avec la formation de est encore plus difficile à trouver puisque vous nous reprochez précisément de trop en demander dans le sens inverse.

En demander pour un niveau donné. Là encore c'est vous qui parliez d'élitisme, encore faut-il donner du sens au mot.

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