[supprimé]
quand il s'agit de juifs, ça vous défrise manifestement davantage.
quand il s'agit de juifs, ça vous défrise manifestement davantage.
Et la double nationalité ne devrait pas être autorisée.
Pourquoi?
Et la double nationalité ne devrait pas être autorisée.
Pourquoi?
Les intérêts nationaux de deux états peuvent entrer en opposition à tout moment, et dans les démocraties, cela implique qu'un citoyen ayant la double nationalité peut voter sciemment contre les intérêts d'un état dont il a la nationalité.
quand je regarde les circonscriptions créées par Sarko, pour les français de l'étranger, je vous pose cette question ?QUI DEVRAIT POUVOIR VOTER EN FRANCE :
Un artisan du batiment, emmigré turc, depuis 30 ans, payant ses impots à l'état français depuis 30 ans,
ou un juif français, parti vivre en Israel depuis 30 ans, ne payant plus ses impots en France depuis 30 ans.
Notre constitution donne des droits civiques au 2è, pas au 1er. Ce n'est pas forcement logique!........
surtout lorsque les enfants du 1er parlent français et travaillent en France avec leur père....et que les enfants du 2ème , parlent hebreux et n'ont jamais voulu apprendre le français. ( mais sauront se rappeler à la France, lorsqu'ils seront otages du Hamas...)
L'immigré turc dont tu parles aurait pu depuis au moins 20 ans devenir français s'il l'avait voulu, et obtenir le droit de vote.
Le prototype de ce genre de personnage a déjà fait construire sa résidence secondaire à Ankara pour la retraite que le contribuable français lui paiera.
Ses gamins obtiendront la nationalité française par le biais d'une automaticité stupide.
Quant au juif français, expatrié depuis 30 ans, il n'aura pas droit à la retraite française, et je doute (j'en suis pas certain) que ses gamins obtiennent la nationalité française.
Ceci dit, même si je peux le comprendre, baser la problématique de la nationalité sur le seul discriminant religieux me semble assez polémique.
quand il s'agit de juifs, ça vous défrise manifestement davantage.
non, c'est uniquement l'exemple que j'ai étudié de près avec la 8è circonscription des français de l'étranger.
Aucun souci pour qu'un juif français, qui travaille à Londres ou New York ou Tel Aviv depuis 30 ans, pour une société française continue à voter en France. (en particulier s'il reste contribuable français).
Mon frère est ingénieur, prof d'université au Canada. Il a obtenu la nationalité canadienne en moins de 10 ans de présence au Canada. Depuis son départ de France, il n'a plus jamais voté en France, il vote au Canada avec fierté depuis sa double nationalité. Il estime que n'habitant plus en France, il n'a pas à interférer dans le choix politique des français. Il reste inscrit sur la liste électorale de ma commune, mais pourrait aussi s'inscrire au consulat, comme français de l'étranger.
Que gagnerait la France, s'il était déchu de sa nationalité, rien. Je suis pour le maintien de la double nationalité, au moins pour les natifs du pays d'origine, mais c'est logique de faire comme il fait: voter uniquement, là où on paye ses impots.
J'ai été scandalisé que les tunisiens de France votent en Tunisie, après le printemps arabo tunisien. Je trouve d'ailleurs gonflé de leur part d'avoir voté pour les partis islamistes, sans en assumer les conséquences dans leur quotidien, en restant bien tranquillement en France.
On comprend rien à ta logique...
Agri est juif ?
On comprend rien à ta logique...
c'est pourtant simple; le travail, la contribution à la vie collective en payant l'impot sont des éléments importants de l'intégration dans son nouveau pays. Dans les pays d'immigration ( australie, Canada, ect.....) cela suffit pour acquérir la nationalité.
En France c'est différént. A défaut de donner la nationalité a un travailleur contribuable depuis 25 ans, lui donner le droit de vote, n'est pas illogique.
Agri est juif ?
pas encore, mais certains ici, m'ont donné l'envie d'étudier la Torah. Il parait que ça rend intelligent .
Paraît que les juifs ashkénazes sont les plus intelligents.
On comprend rien à ta logique...
c'est pourtant simple; le travail, la contribution à la vie collective en payant l'impot sont des éléments importants de l'intégration dans son nouveau pays. Dans les pays d'immigration ( australie, Canada, ect.....) cela suffit pour acquérir la nationalité.
En France c'est différént. A défaut de donner la nationalité a un travailleur contribuable depuis 25 ans, lui donner le droit de vote, n'est pas illogique.
Pas du tout !
Le travail est un cadeau qu'accorde le pays d'accueil à l'immigré (surtout chez nous) et l'impôt n'a en aucune manière pour contrepartie le droit de vote.
De plus, la nation française accorde à ses immigrés le droit de solliciter la nationalité française après 5 ans. Le droit de vote n'en est pas une alternative, comme tu le sous-entends, mais une conséquence.
Les intérêts nationaux de deux états peuvent entrer en opposition à tout moment, et dans les démocraties, cela implique qu'un citoyen ayant la double nationalité peut voter sciemment contre les intérêts d'un état dont il a la nationalité.
Aux USA, il y a des Américains juifs qui ont été arrêtés pour espionnage au profit d'Israël.
Et ceux là sont ceux qui se sont faits attrapés.
Le droit de vote des étrangers aux municipales c'est la connerie à ne pas faire.
Jusqu'à présent, la gauche s'est bien gardée de l'instaurer et il ne s'agit pas d'un oubli malencontreux ...
Les arguments présentés ne m'ont jamais convaincu.
Le fait de payer des impôts locaux ne justifie pas de disposer du droit de vote parce que ça relève de la logique censitaire.
La question de l'intégration passe, selon mon point de vue par une acquisition de la nationalité française, qui doit être généreusement ouverte à celles et à ceux qui en font la demande et qui remplissent des conditions d'intégration et d'attachement aux valeurs de la république.
Le droit de vote implique un lien juridique entre celui qui vote et le pays dans lequel il vote, ce lien juridique c'est la nationalité.
On peut néanmoins ouvrir le droit de vote à des ressortissants étrangers lorsqu'il y a réciprocité.
Mais partager la souveraineté du peuple sans contrepartie, voire sans son accord me semble totalement inopportun.
quand je regarde les circonscriptions créées par Sarko, pour les français de l'étranger, je vous pose cette question ?QUI DEVRAIT POUVOIR VOTER EN FRANCE :
Un artisan du batiment, emmigré turc, depuis 30 ans, payant ses impots à l'état français depuis 30 ans,
ou un juif français, parti vivre en Israel depuis 30 ans, ne payant plus ses impots en France depuis 30 ans.
Notre constitution donne des droits civiques au 2è, pas au 1er. Ce n'est pas forcement logique!........
surtout lorsque les enfants du 1er parlent français et travaillent en France avec leur père....et que les enfants du 2ème , parlent hebreux et n'ont jamais voulu apprendre le français. ( mais sauront se rappeler à la France, lorsqu'ils seront otages du Hamas...)
Quant au juif français, expatrié depuis 30 ans, il n'aura pas droit à la retraite française, et je doute (j'en suis pas certain) que ses gamins obtiennent la nationalité française.
Ceci dit, même si je peux le comprendre, baser la problématique de la nationalité sur le seul discriminant religieux me semble assez polémique.
je ne sais pas si j'ai bien compris, mais Gilad Shalit était considéré comme Franco israélien, uniquement parce que 1 de ses grand pères était né en France. Théoriquement, il a donc le droit de vote en France, pour toutes les élections.
Agri est juif ?
pas encore, mais certains ici, m'ont donné l'envie d'étudier la Torah. Il parait que ça rend intelligent .
Attention, ça marche pas à tous les coups !
: :
Paraît que les juifs ashkénazes sont les plus intelligents.
à mon avis, surtout les plus orgueilleux, se croyant supérieurs aux autres juifs.
Faut demander à Hans, pour les précisions.
.La question de l'intégration passe, selon mon point de vue par une acquisition de la nationalité française, qui doit être généreusement ouverte à celles et à ceux qui en font la demande et qui remplissent des conditions d'intégration et d'attachement aux valeurs de la république.
Le droit de vote implique un lien juridique entre celui qui vote et le pays dans lequel il vote, ce lien juridique c'est la nationalité.
On peut néanmoins ouvrir le droit de vote à des ressortissants étrangers lorsqu'il y a réciprocité.
Mais partager la souveraineté du peuple sans contrepartie, voire sans son accord me semble totalement inopportun.
oui, je suis dans cette logique, qui est celle des USA.
Et je suis très réservé sur le droit du sol automatique, à l'exemple des Comoriennes qui viennent accoucher à Mayotte pour que leur rejeton soit français.
Et je suis contre, le droit du sang sans fin, uniquement parce que son seul lien avec la France et d'avoir eu un grand père français.
+1Le droit de vote des étrangers aux municipales c'est la connerie à ne pas faire.Jusqu'à présent, la gauche s'est bien gardée de l'instaurer et il ne s'agit pas d'un oubli malencontreux ...
Les arguments présentés ne m'ont jamais convaincu.
Le fait de payer des impôts locaux ne justifie pas de disposer du droit de vote parce que ça relève de la logique censitaire.
La question de l'intégration passe, selon mon point de vue par une acquisition de la nationalité française, qui doit être généreusement ouverte à celles et à ceux qui en font la demande et qui remplissent des conditions d'intégration et d'attachement aux valeurs de la république.
Le droit de vote implique un lien juridique entre celui qui vote et le pays dans lequel il vote, ce lien juridique c'est la nationalité.
On peut néanmoins ouvrir le droit de vote à des ressortissants étrangers lorsqu'il y a réciprocité.
Mais partager la souveraineté du peuple sans contrepartie, voire sans son accord me semble totalement inopportun.
virage à droite? 8)
je ne sais pas si j'ai bien compris, mais Gilad Shalit était considéré comme Franco israélien, uniquement parce que 1 de ses grand pères était né en France. Théoriquement, il a donc le droit de vote en France, pour toutes les élections.
Je ne sais pas, mais en tout cas, ce type qui n'a jamais vécu en France, et dont le père venu témoigner, ne parlait pas le moindre mot de notre langue, n'aurait jamais dû bénéficier de l'intervention des autorités françaises. Ce précédent devrait être un argument à la suppression de la double nationalité.