Le SIDA est effectivemment une maladie ou une pahtologie infectieuse si tu préfères
Le sida n'est pas une maladie.

C'est une appelation qui regroupe en général, une trentaines de, maladies différentes. La définition du "sida", varie, celon le pays, le continent, et les considérations politico-financières.

Certaines des maladies parmis les 30, sont reconnues comme appartenant au "sida" dans certains pays... et pas dans d'autres.

un rétrovirus s'attaquant au lymphocytes
Les gens ont la facheuse tendances à interchangé le mot "sida" pour "vih". C'est une érreur très répendu, qui porte à confusion, et qui promouvoi l'idée que le "sida" est "1" chose.

un rétrovirus s'attaquant au lymphocytes affaiblit le système immunitaire et ouvre ainsi à la porte à de multiples autres pathologies.
La vitesse à la quelle le "vih" est sensé, infecter les céllules, est trop faible pour compromettre le Système Immunitaire d'une personne saine. Le seul cas de figure où son taux d'infectiosité poserai un problème, serai celui où un individu aurai une chute du S.I. si forte, que le nombre et le taux de régénération des céllules immunitaires, descendrai en dessous du taux de réplication de ce "vih".

Meme si ce "vih" était présent chez un individu sain, il ne sera JAMAIS la cause primordiale de la chute du S.I.. Ce qui concorde avec les facteurs de styles de vie suspects (utilisation de drogues dures en intraveineuse, poppers, malnutrition et autres maladies endémiques en afrique, etc). Ces facteurs, sont résponsables de la chute du S.I. dans un premier temps, et seulement APRES, le "vih" peut entrer en ligne de compte dans la chute des céllules immunitaires RESTANTES.

hormis le virus lui-même on trouve également les retranscription en ADN de l'ARN des rétrovirus chez les patients infectés!
La présence d'ARN n'est pas une preuve de présence d'un virus, ni meme que si un virus présent ce serait le "vih". Il existe des tas de choses dans le corps humains qui peuvent produire de l'ARN, comme des bactéries, ou céllules, ou meme des virus endogènes. Le problème est que la théorie du consensus est basé sur une myriade d'éléments circonstanciels, et bcp d'assomptions qui ne lèvent pas le doute raisonnable.

Le seul moyen garantissant que ce qui est constaté, est ce "vih", est l'isolation pure et simple du virus LUI-MEME avec Purification, et pas, des traces indirectes qui lui sont attribuées d'office, pour lesquelles des raisons diverses peuvent totalement les justifier.

Dans le lien que tu donnes, ce qu'ils appelent "isolation", n'en est pas une. Déjà, à part si j'ai mal lu, ils n'ont isolé AUCUNE particule virale, et n'ont pas réalisé de vérification par micrographie électronique, ce qu'ils ont fait c'est forciblement produire de l'ARN avec l'utilisation de phytohemagglutinin et autres agent. Et comme dit plus haut, la production d'ARN peut venir de différentes sources.

Nous sommes donc bien loin d'une isolation à proprement parler.

Bcp de papiers parlant d'isolation font en réalité référence à des méthodes indirectes et à des assomptions.

Certains papiers osent meme appeler "isolation", une simple réponse à des anticorps... C'est pour dire à quel point ce terme est employé à toutes les sauces.

Montagnier lui-meme a admit ne pas avoir Purifié de "virus", Gallo aussi. Pourtant tous les deux ont quand meme parler d'isolation.

D'ailleurs, Gallo fait parti des gens qui ont substitué la procédure d'isolation originale (qu'il avait échoué pour justement tanter d'isoler/purifier ce qu'il affirmait etre le "vih"), par une simple réactivité au P24. Réactivité que lui-meme n'a pu reproduire que dans 1 tiers des patients qu'il désignait comme ayant le Sida.

Bref, sujet fascinant.

Mais en fait, pas besoin de partir aussi loin que les origines du vih pour soulever des questions pertinentes sur la mythologie du "vih", il suffit de se pencher sur les "test de dépistage" n'ayant absolument aucune valeur puisque, un meme résultat, peut avoir une signification différente en fonction de l'interpretation favorisée dans tel ou tel pays, par tel ou tel fabriquant, telle ou telle organisation gouvernementale.

WTF ?!

Mon intervention dans un précèdent fil.

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Un "test de dépistage", dont le resultat veut dire différentes choses celon le fabriquant du "test", l'établissement où le "test" a été éffectué, ou le pays où un individu fait le "test"...

En France faut 2 Elisa + 1 Western Blot

En Angleterre faut 2 Elisa

Dans de nombreux Pays d'Afrique subsaharienne il faut juste 1 Elisa ou aucun, simplement sur la base de symptomes physiques...

En france le Western blot est utilisé pour "confirmer" la séronégativité/positivité... Mais dans les notices des fabriquants il est indiqué que le test ne peut etre utilisé pour confirmer la séronégativité/positivité et qu'il faut faire d'autres test supplémentaires...

En Australie, pour etre "positif" il faut réagir sur les bandes suivantes:

- n'importe laquelle de gp41-gp120-gp160, plus 3 parmis p18-p24-p32-p40-p53-p55-p68

En France, pour etre "positif" il faut réagir sur les bandes suivantes:

- gp41-p120-p160, plus n'importe laquelle de p32-p53-p68 ou n'importe laquelle de p18-p24-p40-p55

En Allemagne, pour etre "positif" il faut réagir sur les bandes suivantes:

- n'importe laquelle de gp41-gp120-gp160, plus n'importe laquelle de p18-p24-p32-p40-p53-p55-p68

Aux States celon les critères de la FDA, pour etre "positif" il faut réagir sur les bandes suivantes:

- p24-p31, plus n'importe laquelle de gp41-gp120-gp160

Aux States celon les critères du CDC, pour etre "positif" il faut réagir sur les bandes suivantes:

- gp41-gp120-gp160

Tester positif ou négatif n'est pas en soi une preuve formelle de la présence ou de l'absence dans ton organisme de ce "Vih".

les bandes et le nombre de bandes pour un western blot varient d'un pays et continent à l'autre.

Ce sytème de "test de dépistage/confirmation" est completement arbitraire.

Le resultat peut varier celon le fabriquant du test ou meme l'établissement où il a été fait.Les recommandations applicables pour l'interprétation (du résultat) peuvent VARIER en fonction des politiques LOCALES. MPD recommande de suivre la législation en vigueur dans le pays où le test est utilisé.

Lien

Lien

YhZNMw70f5Y

extrait vidéo dans lequel un scientifique anglais dit qu'il est préférable d'utiliser deux sortes d'Elisa pour faire un diagnostique de positivité, mais dans le meme extrait, une scientifique Allemande dit que dans son pays ce serait enfreindre les règles car làbas aussi c'est le western blot qui est obligatoire et n'utiliser que 2 Elisa pour déterminer une possible "séropositivité" leur est interdit.

pourquoi est-ce si difficile à entendre ?

Je n'ai pas tout lu, mais est-on vraiment en train de débattre de l'existence du VIH ?

Le VIH existe. Le SIDA existe.

Je suppose qu'il y a un problème d’appellation de ma part. Pour moi le SIDA c’était un syndrome d'immuno-déficiance acquis comprendre une chute du système immunitaire constaté a un instant t. Il pouvait donc y avoir SIDA sans VIH. Selon HANS le SIDA c'est une chute du système immunitaire associé à la présence du VIH. Sa définition coupe court au débat.

Il faut savoir que formellement, la trace d'un virus n'est pas le virus. Seule isolation du virus lui même atteste de sa présence a 100%. Les traces permettent de supposer sa présence de façon probabiliste. Plus y a de traces plus il y a de chance que le virus soit présent mais on atteint pas les 100% qui reviennent à trouver le virus lui même.

Il semble acquis que le virus est un facteur aggravant pour ce qui est de la mortalité. La question est de savoir si c'est une maladie opportuniste ou si elle est la maladie qui déclenche le SIDA. La question est de savoir a partir de quand le VIH prend le dessus sur le système immunitaire. Sachant qu'on trouve le virus dans la salive et que l'on estime que cette quantité ne constitue pas une menace pour une personne saine. Il y a de toute évidence une relation entre l'état du système immunitaire et la charge virale.

Pour ce qui est de la présence du VIH dans le corps d'un malade du SIDA c'est un indice de première importance mais la encore on a pas le 100% que seul l'observation de l'évolution de la maladie à partir de la présence du virus seul peut donner. Si je devais donner un exemple foireux, c'est du même niveau qu'accuser un matériel inflammable d'être à l'origine d'un incendie parce que on en trouve des traces dans les décombres.

Je sais que je suis chiant avec mes procédures mais je fonctionne comme cela. Je demanderai pas a un biologiste de fonctionner comme ça parce qu'il ne peut pas observer dans un être vivant en temps réel autant de fois que nécessaire. Ça ne changera rien a ma manière de fonctionner : isoler le virus du corps d'un malade aura toujours plus d'impact qu'un consensus théorique dans la communauté scientifique.

Pour le reste. A part satisfaire ma curiosité quant à ce qui me parait être des sons de cloches discordants, si il y a une chance que de simples recommandation sanitaires jouent un rôle au même titre que la prise de médoc à vie, c'est pas plus mal. Il ne s'agit pas partouzer dans un coin glauque et de partager une seringue avec le junkie du bas de la rue parce que le danger est écarté...

Je n'ai pas tout lu, mais est-on vraiment en train de débattre de l'existence du VIH ?

Le VIH existe. Le SIDA existe.

Je suppose qu'il y a un problème d’appellation de ma part. Pour moi le SIDA c’était un syndrome d'immuno-déficiance acquis comprendre une chute du système immunitaire constaté a un instant t. Il pouvait donc y avoir SIDA sans VIH. Selon HANS le SIDA c'est une chute du système immunitaire associé à la présence du VIH. Sa définition coupe court au débat.

Il faut savoir que formellement, la trace d'un virus n'est pas le virus. Seule isolation du virus lui même atteste de sa présence a 100%. Les traces permettent de supposer sa présence de façon probabiliste. Plus y a de traces plus il y a de chance que le virus soit présent mais on atteint pas les 100% qui reviennent à trouver le virus lui même.

Il semble acquis que le virus est un facteur aggravant pour ce qui est de la mortalité. La question est de savoir si c'est une maladie opportuniste ou si elle est la maladie qui déclenche le SIDA. La question est de savoir a partir de quand le VIH prend le dessus sur le système immunitaire. Sachant qu'on trouve le virus dans la salive et que l'on estime que cette quantité ne constitue pas une menace pour une personne saine. Il y a de toute évidence une relation entre l'état du système immunitaire et la charge virale.

Pour ce qui est de la présence du VIH dans le corps d'un malade du SIDA c'est un indice de première importance mais la encore on a pas le 100% que seul l'observation de l'évolution de la maladie à partir de la présence du virus seul peut donner. Si je devais donner un exemple foireux, c'est du même niveau qu'accuser un matériel inflammable d'être à l'origine d'un incendie parce que on en trouve des traces dans les décombres.

Je sais que je suis chiant avec mes procédures mais je fonctionne comme cela. Je demanderai pas a un biologiste de fonctionner comme ça parce qu'il ne peut pas observer dans un être vivant en temps réel autant de fois que nécessaire. Ça ne changera rien a ma manière de fonctionner : isoler le virus du corps d'un malade aura toujours plus d'impact qu'un consensus théorique dans la communauté scientifique.

Pour le reste. A part satisfaire ma curiosité quant à ce qui me parait être des sons de cloches discordants, si il y a une chance que de simples recommandation sanitaires jouent un rôle au même titre que la prise de médoc à vie, c'est pas plus mal. Il ne s'agit pas partouzer dans un coin glauque et de partager une seringue avec le junkie du bas de la rue parce que le danger est écarté...

oui l'histoire du sang contaminé n'était en fait qu'un mythe... marrant que vous ne teniez pas compte de l'évolution des cas cliniques dans vos analyses...

La présence d'ARN n'est pas une preuve de présence d'un virus, ni meme que si un virus présent ce serait le "vih". Il existe des tas de choses dans le corps humains qui peuvent produire de l'ARN, comme des bactéries, ou céllules, ou meme des virus endogènes.

Non espèce de triple zigoto on ne se contente pas de dire «Oh il y a de l’ARN donc c’est le VIH» car là tu es en train de prendre que les chercheurs sont des crétins incompétents alors que le seul qui devrait prendre soin de se renseigner c'est bel et bien ta petite personne!

Les virus du VIH ont un génome d'ARN et bien évidemment leur génome est identifiable comme celui de n'importe quel taxon, de se fait la virus est identifié car son ARN ou la retranscription ADN de son ARN dans les lymphocytes, est spécifique à ce type de virus! Mieux des analyses phylogénétiques détaillées des différentes variétés du VIH ont pu être établies et sont même utiles dans les enquêtes criminelles pour établir si ou ou non une personne est responsable de la transmission du VIH à une autre

Et davantage sur des clowneries du même genre

Le problème est que la théorie du consensus est basé sur une myriade d'éléments circonstanciels, et bcp d'assomptions qui ne lèvent pas le doute raisonnable.

Et tu dis cela juste après avoir témoigner de ton ignorance crasse de la thématique dont tu causes et avec ça tu te montre condescendant comme c'est amusant!

  • [supprimé]

Et vous faites bien de nous parler "d'experts des virus": l'hypothèse de vos vidéos a été pondue par des journalistes, grands virologues et scientifiques devant l'éternel.

Non.

L'hypothèse initiale vient des scientifiques suivants:

_ G.Lecatsas

_ JJ.Alexander

_ Raphael Stricker

Le journaliste en question a rebondit sur les théories émises par ces personnes là.

Ce même journaliste est soutenu par Bill Hamilton (http://fr.wikipedia.org/wiki/William_Donald_Hamilton).

Que cette théorie soit aujourd'hui écartée est une chose, les faire passer poru des illuminés incultes en est une autre.

oui l'histoire du sang contaminé n'était en fait qu'un mythe... marrant que vous ne teniez pas compte de l'évolution des cas cliniques dans vos analyses...

Ce ne sont pas mes analyses mais celles de Peter Duesberg et affiliés (groupe de Perth, etc...). Parait qu'ils auraient écarté certains éléments déterminants pour défendre leur théorie. J'essaie d'en savoir plus.

Il ne s'agit pas de défendre les "négationnistes" contre les "conspirationnistes" mais de comparer les fait. Personnellement je n'ai aucun intérêt à ce qu'un camp ou l'autre ne gagne. Je ferai ce qu'il faut pour pas attraper le VIH même le consensus décidait soudain qu'il n'existe pas.

Dans le fond ce que je déplore c'est cette ambiance pourrie qu'il s'agisse de science, d'histoire ou de politique. Les noms d'oiseaux fusent et on ne peut plus parler de certains sujets posément. De mon point de vue on peut remettre ne question une étude sans être négationniste ou être d'accord avec son voisin sans être conspirationniste. Étudier les faits et se laisser convaincre en connaissance de cause tout simplement.

Au lieu de ça, la sainte inquisition me reproche de considérer l'histoire du sang contaminé comme étant un mythe, chose que je n'ai pas faite! Il manque plus qu'a m'accuser de complicité !

oui l'histoire du sang contaminé n'était en fait qu'un mythe... marrant que vous ne teniez pas compte de l'évolution des cas cliniques dans vos analyses...

Ce ne sont pas mes analyses mais celles de Peter Duesberg et affiliés (groupe de Perth, etc...). Parait qu'ils auraient écarté certains éléments déterminants pour défendre leur théorie. J'essaie d'en savoir plus.

Il ne s'agit pas de défendre les "négationnistes" contre les "conspirationnistes" mais de comparer les fait. Personnellement je n'ai aucun intérêt à ce qu'un camp ou l'autre ne gagne. Je ferai ce qu'il faut pour pas attraper le VIH même le consensus décidait soudain qu'il n'existe pas.

Dans le fond ce que je déplore c'est cette ambiance pourrie qu'il s'agisse de science, d'histoire ou de politique. Les noms d'oiseaux fusent et on ne peut plus parler de certains sujets posément. De mon point de vue on peut remettre ne question une étude sans être négationniste ou être d'accord avec son voisin sans être conspirationniste. Étudier les faits et se laisser convaincre en connaissance de cause tout simplement.

Au lieu de ça, la sainte inquisition me reproche de considérer l'histoire du sang contaminé comme étant un mythe, chose que je n'ai pas faite! Il manque plus qu'a m'accuser de complicité

Complicité? on est tous complice du mal qu'on fait forcément en prenant position quelque part, mais je dirais que tu cherches la petite bête, là où il n'y a pas besoin de la chercher.

Tu ne remets pas en question une étude, tu remets en question toute l'histoire de l'apparition du sida et des recherches qui ont été faites pour le combattre. Ces recherches ont forcément été semées de découvertes, de fausses pistes etc etc. C'est l'histoire de la science en marche que tu remet en cause en t'attardant à ce que beaucoup de vrais chercheurs ne considèrent que comme des détails.

En science comme partout, les erreurs sont aussi importante que les découvertes. Elles éliminent des fausses pistes et permettent ensuite de se concentrer sur les bonnes.

Tu penses avoir une démarche scientifique? Je ne le pense pas pour ma part. L'esprit critique c'est bien, mais encore faut il s'en servir intelligemment.

Tout cela dit sans vouloir te vexer bien sur. dans d'autres domaines je trouve tes interventions très pertinentes, mais là, ça passe pas

Non je ne suis pas responsable. J'étais gamin a cette époque et j'ai un alibi béton. Je faisais la navette entre l'école et la maison.

Les études et l'histoire ont besoin d'être remis en question. C'est comme cela qu'on les confortes et qu'on se rapproche de la vérité. C'est comme cela que la science avance !

La recherche scientifique doit restée amorale. La morale concerne l'utilisation que l'on en fait et en effet on aurait bien besoin de cette morale dans bien des domaines. Il y a une différence entre remettre en question une découverte scientifique à la lumière d'éléments tangibles et prôner des comportements à risque sous prétexte qu'il y a possibilité qu'un risque soit sur-estimé.

Il n'est pas question d’arrêter la prévention ni de retirer la trithérapie du marché. Il est question de comprendre la nature du mal et le cas échéant proposer des traitements plus adapté. Il n'y a pas de mauvaises pistes, on ne peut pas en préjuger avant d'arriver a destination. Il n'est pas rare que des découvertes mettent plusieurs années avant qu'on leur trouve une application pratique.

Personnellement je suis bien content qu'il y ait des dissidents. Le seul critère qui compte c'est le sérieux du travail même si c'est pour que ça ne débouche sur rien au final. A contrario je suis agacé lorsque l'on ferme des voies pour des pseudo raisons morales. Vous êtes dans cette dynamique, ne vous en déplaise !

Non je ne suis pas responsable. J'étais gamin a cette époque et j'ai un alibi béton. Je faisais la navette entre l'école et la maison.

Les études et l'histoire ont besoin d'être remis en question. C'est comme cela qu'on les confortes et qu'on se rapproche de la vérité. C'est comme cela que la science avance !

La recherche scientifique doit restée amorale. La morale concerne l'utilisation que l'on en fait et en effet on aurait bien besoin de cette morale dans bien des domaines. Il y a une différence entre remettre en question une découverte scientifique à la lumière d'éléments tangibles et prôner des comportements à risque sous prétexte qu'il y a possibilité qu'un risque soit sur-estimé.

Il n'est pas question d’arrêter la prévention ni de retirer la trithérapie du marché. Il est question de comprendre la nature du mal et le cas échéant proposer des traitements plus adapté. Il n'y a pas de mauvaises pistes, on ne peut pas en préjuger avant d'arriver a destination. Il n'est pas rare que des découvertes mettent plusieurs années avant qu'on leur trouve une application pratique.

Personnellement je suis bien content qu'il y ait des dissidents. Le seul critère qui compte c'est le sérieux du travail même si c'est pour que ça ne débouche sur rien au final. A contrario je suis agacé lorsque l'on ferme des voies pour des pseudo raisons morales. Vous êtes dans cette dynamique, ne vous en déplaise !

Mais que crois tu que font les chercheurs à l'heure actuelle?

L'avantage qu'ils ont sur toi, c'est qu'ils ont suivi les avancées, ont déjà fait le tri entre ce qui marche et ne marche pas, développent d'autres pistes en fonctions d'autres avancées techniques que d'autres chercheurs ont mis au point dans d'autres domaines etc etc...

Ils ne t'ont pas attendu pour tout remettre en question, mais en même temps, ils essayent de sauver des vies, ils ne perdent pas leur temps à refaire le monde en paroles.

Aucune voie n'est fermée. Différentes voies sont explorées par différents chercheurs, et elles se complètent la plupart du temps.

Si tu attends qu'un seul chercheur trouve LA solution, tu es effectivement mal barré dans ta recherche de vérité...

Toujours est-il qu'une infection par le virus du VIH non traitée mènera dans une très grande majorité des cas au stade SIDA.

Le reste c'est de l'onanisme intellectuel chronophage.

Mais que crois tu que font les chercheurs à l'heure actuelle?

L'avantage qu'ils ont sur toi, c'est qu'ils ont suivi les avancées, ont déjà fait le tri entre ce qui marche et ne marche pas, développent d'autres pistes en fonctions d'autres avancées techniques que d'autres chercheurs ont mis au point dans d'autres domaines etc etc...

Ils ne t'ont pas attendu pour tout remettre en question, mais en même temps, ils essayent de sauver des vies, ils ne perdent pas leur temps à refaire le monde en paroles.

Aucune voie n'est fermée. Différentes voies sont explorées par différents chercheurs, et elles se complètent la plupart du temps.

Si tu attends qu'un seul chercheur trouve LA solution, tu es effectivement mal barré dans ta recherche de vérité...

Comment dire...

Les chercheurs, notamment en sciences fondamentales ne cherchent pas forcement utile mais il se trouve qu'on leur demande des comptes, que les subventions sautent quand il n'ont pas assez d'étudiant à leurs cours, écrire un article c'est bien pour justifier un boulot difficilement quantifiable et c'est un plus indéniable quand on passe sa thèse. Je ne suis pas spécialement au fait de ce qui à trait aux sciences du vivant exception peut être de ce qui se faisait en neurophysiologie dans le cadre de mes études en sciences cognitives et intelligence artificielle mais je ne suis pas démuni non plus. Il y a un fond commun pour tout ce qui relève des sciences dures. Ne vous inquiétez pas pour moi.

Votre vision n'est pas fausse mais elle est naïve. Beaucoup trop de politique vient pourrir le monde de la recherche. Vous aimez en appeler à des arguments d'autorité, je ne peux pas vous en vouloir vous n'avez que ça. Vous m'obligez donc a vous répondre par un autre argument d'autorité. Reconnaissez que ça ne fait pas avancer le débat...

Toujours est-il qu'une infection par le virus du VIH non traitée mènera dans une très grande majorité des cas au stade SIDA.

Le reste c'est de l'onanisme intellectuel chronophage.

C'est le genre de discours utilitariste qui revient fréquemment et ausquels on doit se conformer. Fermons toute les chairs inutiles...

Ce que vous faites c'est de la branlette intellectuelle .

Il y a d'autres type d'immunodépression qui ne rentrent pas dans l'entité qu'on appelle SIDA, et qui ne sont pas liées au VIH.

La définition du SIDA en France est un simple consensus , elle n'a pas vocation à être universelle, le but étant de savoir de quoi on parle lorsqu'on évoque le SIDA ce qui n'est visiblement pas le cas sur ce fil.

Il fallait seulement se mettre d'accord sur ce point. Si le SIDA est une immuno depression causé par le VIH cette digression n'avait pas lieu d'être.

La question devient un immuno-déprimé souffre t'il du SIDA (qui pour le coup est une maladie) ou d'un autre mal ?

Il existes plusieurs types d'immunodépression, par exemple un déficit de l'immunité humorale peut être lié à un déficit en immunoglobulines, à un déficit génétique en facteur du complément ou à une splénectomie.

Les transplantés présentent souvent un déficit de l'immunité cellulaire à cause de leur traitement immunosuppresseur.

La liste n'est pas exhaustive mais il suffit d'ouvrir un bouquin d'immunologie pour en apprendre plus.

oui l'histoire du sang contaminé n'était en fait qu'un mythe... marrant que vous ne teniez pas compte de l'évolution des cas cliniques dans vos analyses...

Ce ne sont pas mes analyses mais celles de Peter Duesberg et affiliés (groupe de Perth, etc...). Parait qu'ils auraient écarté certains éléments déterminants pour défendre leur théorie. J'essaie d'en savoir plus.

Il ne s'agit pas de défendre les "négationnistes" contre les "conspirationnistes" mais de comparer les fait. Personnellement je n'ai aucun intérêt à ce qu'un camp ou l'autre ne gagne. Je ferai ce qu'il faut pour pas attraper le VIH même le consensus décidait soudain qu'il n'existe pas.

Dans le fond ce que je déplore c'est cette ambiance pourrie qu'il s'agisse de science, d'histoire ou de politique. Les noms d'oiseaux fusent et on ne peut plus parler de certains sujets posément. De mon point de vue on peut remettre ne question une étude sans être négationniste ou être d'accord avec son voisin sans être conspirationniste. Étudier les faits et se laisser convaincre en connaissance de cause tout simplement.

Au lieu de ça, la sainte inquisition me reproche de considérer l'histoire du sang contaminé comme étant un mythe, chose que je n'ai pas faite! Il manque plus qu'a m'accuser de complicité

Ce qu'il faut comprendre c'est que ce genre de mise en cause du rôle du HIV ,sur les terrain ça a tué des milliers de personnes. Il y a un moment où les réalités du terrain nous ramène hélas à la réalité (et je le répète il n'y a pas de problème majeur de sous nutrition en Afrique du Sud ce n'est pas lié à ça). Tu comprends aussi pourquoi ça énerve. On est pas sur des dossiers comme le créationnisme, les attentats du 11 septembre... où tu peu dire les plus grosses énormités sans avoir d'autre conséquences que de passer pour un âne; quand on parle médecine derrière il y a des vies en jeu, on ne peut se permettre de laisser dire n'importe quelle connerie. Ce sont des sujets sensibles tu ne peux pas arriver n'y connaissant rien et dire que les scientifiques se trompent juste par ce que tu as lu des pages de conspirationnistes (toi tu ne l'es peut être pas les auteurs de ces pages si) sur internet.

Il faut aussi que tu comprennent que tu as des lacunes énormes en microbiologie (ce qui en soit n'est pas forcément gênant) dont tu as conscience et honnêtement on a pas le temps ni la patience pour te faire les cours de microbio de bases qui te permettraient de bien appréhender les choses donc on est obliger d'affirmer parce que sinon ça prendrait trop de temps (surtout que étant totalement dyslexique je déteste écrire des pavés).

  • [supprimé]

Et vous faites bien de nous parler "d'experts des virus": l'hypothèse de vos vidéos a été pondue par des journalistes, grands virologues et scientifiques devant l'éternel.

Non.

L'hypothèse initiale vient des scientifiques suivants:

_ G.Lecatsas

_ JJ.Alexander

_ Raphael Stricker

Le journaliste en question a rebondit sur les théories émises par ces personnes là.

Ce même journaliste est soutenu par Bill Hamilton (http://fr.wikipedia.org/wiki/William_Donald_Hamilton).

Que cette théorie soit aujourd'hui écartée est une chose, les faire passer poru des illuminés incultes en est une autre.

http://en.wikipedia.org/wiki/OPV_AIDS_h ... hypothesis

Aucune trace de ces noms.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Origine_du ... oration.29

Ces scientifiques l'ont proposée respectivement (Stricker: 1993) après Louis Pascal (1987).

Louis Pascal l'a lui même entendu à la radio:

C'est Eva Lee Snead qui évoqua le lien entre Sida et vaccination anti-polio dans son émission de radio du 31 mai 1987,Natural Living with Gary Null sur WABC à New York City. Louis Pascal entendit cette émission, ce qui le poussa à étudier l'hypothèse émise.

Cela vient des médias en premier.

PS: Raphael Stricker a été viré de son poste à l'Université de Californie pour tromperie concernant ses travaux...

@fan2machiavel

Au risque de vous blesser d'avantage, vos pleurnicheries ne m’intéressent pas. Je suis, en l’occurrence dans une démarche d'objectivité et non de moralité. A ce titre je dis les choses comme elles sont ou du moins comme je les comprends. Vos remarques concernant les dégâts provoquées par les remises en cause du rôle du HIV sont agaçantes et inutiles et probablement fausses. Il s'agit d'une autre théorie minoritaire et relativement méconnue par le grand publique. C'est différent du déni qui peu exister face à la maladie et qui n'a pas besoin de théories pour se manifester. Rares sont les personnes qui iraient jusqu’à s'inoculer le virus pour dissiper un doute.

Je peux comprendre pourquoi cela vous énerve mais on ne va pas se censurer par égard pour votre petite personne. De plus vous ne vous privez pas de qualifier les théories comme le créationnisme ou le les attentats du 11 septembre de conneries bonnes a faire passer des gens qui y croient pour des ânes. C'est une preuve de votre manque de tact. Si vous cherchez le clash vous l'aurez, il ne faut pas pleurer après. Ces personnes ont leurs raisons il faut discuter de ces raisons et non chercher le pugilat verbal comme vous le faites.

Si vous n'avez pas le temps ni la patience, vous passez outre (ce que je fais souvent après lecture de certaines interventions sur ce forum) ou alors vous passez le lien d'une page ou vous ou une autre personne à pris le temps de démonter les théories dites conspirationnistes. A défaut de la convaincre, ça permet de ne pas repartir à zéro. Votre démarche n'est pas constructive en fait le jeux de vos opposants qui s'empresseront de souligner le fait que vous refusez le débat ce sur quoi on ne peut pas leur donner tord.

Moi j'y connais rien à tout cela Cependant j'ai lu que des populations à risque (prostituées) avaient attrapé ce sida (virus parfaitement identifié ) mais qu'elles se portaient bien, ne développaient aucune carence immunitaire et que c'était un mystère...

A t-on fait des recherches sur ces personnes?

Cela me semble très important de comprendre pourquoi elles ne sont absolument pas affectées elles et la majorité SI.

Quant à la transmission, c'est secondaire je pense, je n'ai jamais eu de MST mais alors que j'étais dans une phase tranquille sans galipettes avec des étrangères de passage super sexy, j'ai eu une infection urinaire carabinée qui c'est terminée par des piqûres de Rocéphine canon!

(allo maman, bobo)

Sans cela y a longtemps que Eukini serait dans une caisse en bois!

39,5 à 40 jour et nuit et aucun effet de la température sur l'infection, donc là on est mal, TRÈS mal.

PERSONNE n'a su me dire COMMENT j'avais attrapé cela, PERSONNE.

Jeune homme et jeune marié, je n'avais à cette époque aucune relation avec d'autres nanas et j'me suis retrouvé avec ..Un staphylocoque doré au zizi! Branlebas de combat,

A l'époque les antibios marchaient encore bien. Ma femme n'avait RIEN...

Que moi et pareil JAMAIS j'ai su COMMENT j'avais attrapé ce machin devenu grave actuellement, car les toubibs ayant abusé des antibio pour soigner des petits truc bénins...

Les souches sont devenues très résistantes.

Alors savoir vraiment comment on attrape cela, je pense que c'est très très délicat. Par le sang c'est certain, suffit de voir les dentistes, avant c'était mains nues, TOUS mettent des gants latex, pas fous! Et même un masque, avant, JAMAIS.

Je suis quand même étonné que depuis le temps on ait pas développé des molécules pour tuer ces virus malins de façon sélective mais bon... Je ne suis pas biologiste, j'y connais rien.

Vivement qu'ils trouvent qu'on puisse rigoler comme avant sans imperméable. ;)

Et qu'ils se dépêchent, tant que chez moi ça marche encore :