Je vqais sûrement me faire traiter de réactionnaire (ce qui est vrai), de misogyne (ce qui ne l'est pas) mais je suis contre l'avortement. J'aimerais vous faire lire un article très intéressant à ce sujet et lire vos opinions. Merci à tous et bonne lecture http://deshautsetdebats.wordpress.com/2 ... vortement/

Un fœtus n’est pas une vie Le droit ne se prononcer pas sur la biologie. Un foetus n'est pas reconnu comme un individu .

Le droit ne se prononcer pas sur la biologie. Un foetus n'est pas reconnu comme un . Lis le reste de l'article, le coeur du foetus bat à 3 semaines comment dire que ce n'est pas une vie ?

Le droit ne se prononcer pas sur la biologie. Un foetus n'est pas reconnu comme un . Lis le reste de l'article, le coeur du foetus bat à 3 semaines comment dire que ce n'est pas une vie ? Relisez-moi. La question n'a jamais été de savoir si il était vivant ou non, mais de savoir si il est un ou non.

C'est pas le cœur qui fait l'individu. Et encore moins la vie…

Le droit ne se prononcer pas sur la biologie. Un foetus n'est pas reconnu comme un . Lis le reste de l'article, le coeur du foetus bat à 3 semaines comment dire que ce n'est pas une vie ? Relisez-moi. La question n'a jamais été de savoir si il était vivant ou non, mais de savoir si il est un ou non. Même si le foetus n'est pas reconnu comme un individu (mais on peut en débattre) c'est un être vivant qui a le droit de vivre.

D'autre part, vous pouvez me trouver une source pour ca: Quand le cerveau marche, prélude à l’apparition de la conscience (6 semaines) ? Wiki: Les premiers signes mesurables de l'activité électroencéphalographique se produisent durant la 12e semaine.

Même si le foetus n'est pas reconnu comme un individu (mais on peut en débattre) c'est un être vivant qui a le droit de vivre. Etre vivant n'a jamais donné le droit de vivre. Des légumes maintenus en vie grâce à des machines, on les débranche sans accuser les auteurs de meurtres.

D'autre part, vous pouvez me trouver une source pour ca: Wiki: Il faudrait laisser ça en commentaire à l'auteur :/

Même si le foetus n'est pas reconnu comme un individu (mais on peut en débattre) c'est un être vivant qui a le droit de vivre. Etre vivant n'a jamais donné le droit de vivre. Des légumes maintenus en vie grâce à des machines, on les débranche sans accuser les auteurs de meurtres. Si vous n'êtes pas capable de faire une distinction entre la vie humaine et la vie végétale...

Lis le reste de l'article, le coeur du foetus bat à 3 semaines comment dire que ce n'est pas une vie ? C'est ça, et une masturbation, c'est un génocide. On connait la rengaine

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L'avortement

nationale-7

son premier devoir est de s'assurer de ne pas lui donner vie en gérant les coïts.

Tu es sur le registre de la culpabilité judéo-chrétienne.

C'est ton droit le plus absolu mais un enfant doit être désiré et le droit des femmes à disposer de leur corps doit être respecté également.

C'est du moins comme ça que pensent les progressistes.

ensuite de l'assumer s'il se pointe.

en cas de force majeur, de pouvoir le rejeter au début de sa formation.

dans les faits, ça implique des humains conscients, conséquents.

Je pense que les femmes qui recourent aux ivg sont aussi conscientes et conséquentes que celles que n'y recourent pas.

Aprés, c'est une question de droit et de liberté, d'être progressiste ou réac.

Ce genre de débat entre les progressistes et les réacs s'est toujours posé de la même manière lorsqu'il s'est agi d'accepter que les femmes aient une âme, que le terre soit ronde, accepter le divorce, le droit de vote, la fin des privilèges, la contraception, l'abolition de la peine de mort et le mariage pour tous dernièrement ...

Heureusement, dans certaines périodes politiques, les progressistes sont majoritaires et ça permet d'avance un peu ...

Sinon, on en serait encore au moyen age ....

: :

que certains y voient ou non un être n'est pas le propos.

mor

Pharod, ne faites pas semblant de ne pas comprendre. La majeure partie des cultures ont développés des religions qui ont transféré le contrôle de la procréation à l'exclusivité de l'homme et créé des rôles sociaux compartimentés au maximum pour le maintenir. La procréation telle que vue par la Bible tombe en plein dans ce mécanisme. Il en aura fallu, des exégèses, pour que les femmes puissent récupérer un peu d'autonomie et pas seulement en ce qui concerne la procréation.

Une société ne peut se passer de procréation par contre elle peut largement reléguer la Bible à objet d'étude anthropologique à l'heure de penser le Droit.

Hugo m'en impose et beaucoup, rien que pour l'évolution de sa pensée au fil des évènements et je suis d'accord avec vous, il faudrait un nouveau Hugo. Au fait saviez-vous qu'il a menti en se prétendant baptisé pour pouvoir se marier ?

victoire

son premier devoir est de s'assurer de ne pas lui donner vie en gérant les coïts.

Tu es sur le registre de la culpabilité judéo-chrétienne.

C'est ton droit le plus absolu mais un enfant doit être désiré et le droit des femmes à disposer de leur corps doit être respecté également.

C'est du moins comme ça que pensent les progressistes.

ensuite de l'assumer s'il se pointe.

en cas de force majeur, de pouvoir le rejeter au début de sa formation.

dans les faits, ça implique des humains conscients, conséquents.

Je pense que les femmes qui recourent aux ivg sont aussi conscientes et conséquentes que celles que n'y recourent pas.

Aprés, c'est une question de droit et de liberté, d'être progressiste ou réac.

Heureusement, dans certaines périodes politiques, les progressistes sont majoritaires et ça permet d'avance un peu ...

Sinon, on en serait encore au moyen age ....

: :

que certains y voient ou non un être n'est pas le propos.

Dans une approche juridique ( puisqu'il s'agit d'une loi ) il est important d’établir si l'embryon à quelques semaines est un être de droit pour justement lui accorder les droits liés à la personne humaine.lol prendre la pilule, les capotes, coïter au sein du couple, ce serait provoquer la culpabilité judéo-chrétienne, j’arrête là la lecture qui ne présente aucun intérêt.

bonne nuit, l'étranger.

nationale-7

je reformule : d'après vous c'est le peuple qui décide si le corps de la femme prime sur son enfant ?

vous êtes sûr que c'est ce que vous voulez dire ?

Oui tout à fait, dans une démocratie la loi est faite par la majorité et c'est la loi qui décide jusqu'à quand le droit de la femme prime sur celui de l'embryon qu'elle porte.

C'est la loi des hommes.

Tu dois l'accepter avec humilité et ne pas refuser les principes démocratiques de base.

nationale-7

son premier devoir est de s'assurer de ne pas lui donner vie en gérant les coïts.

Tu es sur le registre de la culpabilité judéo-chrétienne.

C'est ton droit le plus absolu mais un enfant doit être désiré et le droit des femmes à disposer de leur corps doit être respecté également.

C'est du moins comme ça que pensent les progressistes.

ensuite de l'assumer s'il se pointe.

en cas de force majeur, de pouvoir le rejeter au début de sa formation.

dans les faits, ça implique des humains conscients, conséquents.

Je pense que les femmes qui recourent aux ivg sont aussi conscientes et conséquentes que celles que n'y recourent pas.

Aprés, c'est une question de droit et de liberté, d'être progressiste ou réac.

Heureusement, dans certaines périodes politiques, les progressistes sont majoritaires et ça permet d'avance un peu ...

Sinon, on en serait encore au moyen age ....

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que certains y voient ou non un être n'est pas le propos.

bonne nuit, l'étranger.

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Dis-donc les manifs anti mariage pour tous, c'est terminé on dirait non ?

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pharod

Pharod, ne faites pas semblant de ne pas comprendre. La majeure partie des cultures ont développés des religions qui ont transféré le contrôle de la procréation à l'exclusivité de l'homme et créé des rôles sociaux compartimentés au maximum pour le maintenir. La procréation telle que vue par la Bible tombe en plein dans ce mécanisme. Il en aura fallu, des exégèses, pour que les femmes puissent récupérer un peu d'autonomie et pas seulement en ce qui concerne la procréation.

Je note qu'aujourd'hui la motivation première du soutien à l'avortement c'est l'idolâtrie de la femme.

Ça devrait suffire à en éloigner les honnêtes gens.

A quelles exégèses faites-vous allusion ? Autonomie de quoi ? Tuer ses enfants sans en référer à personne avec l'argent de tout le monde ?

mor

Idolatrie de la femme ? Vous devez avoir de la sciure dans les yeux. Je défends aussi le droit au mariage des pé.dés, comme vous dites, même si je trouve très con d'en arriver, par là, à défendre un machin vétuste qui a fait son temps. Et je vomis sur les oiseaux faisant les cons de toutes les couleurs dans les rues pour refuser un droit à une autre minorité. Marre de la politique Facebook, de droite comme de gauche.

Ceci dit, ne me posez plus de questions à la con alors que vous avez les réponses sous le nez, dans l'histoire de la religion catholique et le contenu de ses conciles jusqu'au Vatican II, par exemple.

katou

à quel titre ?

Au titre que c'est le souhait exprimé par les femmes et qu'un système démocratique permet au peuple de fixer les règles de la société dans laquelle il vit.

Cela ne te gêne pas qu'une démocratie fasse une loi permettant l'infanticide ? Une démocratie ne doit pas défendre ses petits ? Une démocratie doit défendre le peuple, pas lui permettre de tuer ses enfants.

katou

Je note qu'aujourd'hui la motivation première du soutien à l'avortement c'est l'idolâtrie de la femme.

Je dirais plutôt le féminisme gouvernant.

mor

Une des réussites de l'état de droit est d'avoir ouvert l'école aux femmes. Manque de bol, y'en a qui ont l'école buissonnière dans le sang, comme katou.

pharod

Ceci dit, ne me posez plus de questions à la con alors que vous avez les réponses sous le nez, dans l'histoire de la religion catholique et le contenu de ses conciles jusqu'au Vatican II, par exemple.

Précisez.

greensov

L'erreur est d'opposer le scientifique au croyant. Opposition promue par une certaine forme d'athéisme prosélyte.

Elle est bonne celle-là. Il me semblait avoir lu tout le contraire dans les histoires comparées de la religion et la science. Mais, c'est comme ça que l'on aime bien ranger l'athéisme chez les croyants. Sur la même étagère que les miteux mythes et enrobé de prosélytisme et tout le tralala. Une secte de plus, quoi. C'est plus pratique pour lui retourner les mêmes critiques que l'on reçoit.

Je ne faisais pas allusion au développement comparé de la science et de la théologie mais au fait que de nombreux hommes de science se trouvaient être des croyants voir des clercs: Copernic, Linné, Pascal, Newton, pour ne citer qu'eux.

Si l'on se réfère a la citation de Newton :

« L'opposition à la religion s’appelle athéisme quand on la professe et idolâtrie quand on la pratique. L'athéisme est tellement insensé et tellement odieux à l'humanité qu'il n'y a jamais eu beaucoup de gens pour l’enseigner. »

Faut il lui enlever son status d'homme de science ?

Ce qui fait l'homme de science c'est la méthode appliquée lors de ses travaux et non ses opinions religieuses ou philosophiques. Vous faites beaucoup trop de cas des opinions religieuses, cela fausse votre jugement et fait de vous un athée prosélyte. Le problème avec Dieu, c'est qu'on ne peut pas prouver qu'il existe tout comme on ne peut pas prouver qu'il n'existe pas. Croire en son existence ou en sa non existence relève de la foi.

mor

Non, ça montre tout simplement que l'on peut-être un brillant scientifique et à la fois, un sombre con qui arrive à confondre athéisme, laïcisme et anticléricalisme dans une courte phrase. C'est compatible et il a tout de même une excuse de de taille : les trois siècles qui nous séparent de lui.

D'autre part, on s'en fout de prouver l'existence d'un dieu. Il suffit de se refuser à instituer en loi son prétendu message. On construit une société laïque ( et non pas athée, vous ne comprenez jamais rien ) en attendant que les croyants apportent la preuve que les tables de la loi ont existé et furent écrites par l'innommable. Je pense que ça nous fera des vacances suffisamment longues pour que la société ait le temps de s'améliorer.

cemab

je reformule : d'après vous c'est le peuple qui décide si le corps de la femme prime sur son enfant ?

vous êtes sûr que c'est ce que vous voulez dire ?

Oui tout à fait, dans une démocratie la loi est faite par la majorité et c'est la loi qui décide jusqu'à quand le droit de la femme prime sur celui de l'embryon qu'elle porte.

C'est la loi des hommes.

Tu dois l'accepter avec humilité et ne pas refuser les principes démocratiques de base.

Donc aucune loi légitimement votée n'est condamnable pour vous ?

Vous pensez que la loi prime la morale ?

mor

La seule morale exigible est la loi, oui.

nabst

Je note qu'aujourd'hui la motivation première du soutien à l'avortement c'est l'idolâtrie de la femme.

Evidemment. A croire que ce sont des temples sacrés.

Il y a dix fois plus de demande d'adoption que d'offres. Si la démocratie n'était pas devenue la dictature des minorités, on chercherait à perfectionner le système d'adoption plutôt qu'à défendre l'avortement à tout va et à tout âge.

nabst

je reformule : d'après vous c'est le peuple qui décide si le corps de la femme prime sur son enfant ?

vous êtes sûr que c'est ce que vous voulez dire ?

Oui tout à fait, dans une démocratie la loi est faite par la majorité et c'est la loi qui décide jusqu'à quand le droit de la femme prime sur celui de l'embryon qu'elle porte.

C'est la loi des hommes.

Tu dois l'accepter avec humilité et ne pas refuser les principes démocratiques de base.

Donc aucune loi légitimement votée n'est condamnable pour vous ?

Vous pensez que la loi prime la morale ?

Je ne supporte pas cette logique de démocrate.

On doit réfléchir et se battre pour ce qui nous semble juste, pas au nom d'une choix d'une majorité.

L'instinct grégaire comme principe suprême, pouah. Dans une véritable démocratie, les gens pensent. Ce ne sont pas de simples wagons dans le train des tendances, des être malléables avec un peu de démagogies, abêtis par un système médiatique soumis et incompétent.

La démocratie c'est un projet loin d'être achevé.

mor

Et bien justement, il se trouve que le système d'adoption et de prises en charge des enfants orphelins s'est notablement amélioré depuis que les préjugés religieux ont commencé à céder la place à la raison. Si vous ne le voyez pas, repassez l'histoire de vénérables institutions comme l'Assistance Publique, par exemple.

pharod

La seule morale exigible est la loi, oui.

Matrice de tous les totalitarisme.

Apprenez en tout cas que dans les démocraties post-guerres mondiales, nous avons limité la toute-puissance de la loi par des dispositions constitutionnelles protégeant les droits fondamentaux (définis de manière suffisamment œcuménique pour qu'au moins les trois quarts des gens s'y retrouvent, que ça se superpose à peu près à la morale, aux habitudes culturelles des habitants des pays développés), avec en plus une surveillance internationale. Si votre loi va à l'encontre de ces normes qui ne sont pas elles, elle ne passe pas.

Ce système a tous les défauts du monde mais il limite quand même la casse avec les énergumènes de votre genre.

Dans le cas de l'avortement, le seul problème est qu'on ne protège pas la vie d'un individu dès sa conception, sans aucune raison si ce n'est de sacrifier au culte répugnant de la Fente toute-puissante et de ses saintes glaires. Un autre gros problème est que le droit reste susceptible d'interprétations lucifériennes le dévoyant, comme dans le cas du mariage pé.dé.

pharod

C'est incroyable cette régression anthropologique suivant la déchristianisation.

Même les hommes de l'antiquité qui divinisaient leurs cités savaient que leur loi n'était pas la norme suprême (cf Antigone).

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