Toujours la même ligne argumentaire éclairée par l'illumination religieuse. Non, ce n'est pas la même chose car le foetus n'est ni un individu, ni une personne. Il est complètement imbriqué dans l'individualité et la personnalité de sa mère. C'est elle qui décide en ( vous allez sûrement l'aimer, celle-là ) et la société doit justifier la légitimité de la forcer à accoucher.

Le foetus est potentiellement un projet d'individu puis de personne, oui, mais si on se mettait à appliquer les principes de précaution que vous aimez tant aux potentialités, là oui, on tomberait en plein eugénisme élitiste. C'est d'ailleurs le système actuel, la neutralisation de la personnalité de l'individu par la négation de la personne et son remplacement par un individualisme dit méthodologique parce que ça fait scientifique. Avortés vivant, que nous sommes devenus. Et la religion qui maintenant s'allie au diable qu'elle a inventé. On n'est pas sorti de l'auberge.

Si c'est la même chose. Votre postulat de départ est faux: le foetus est un individu. Le foetus est une personne.

La loi dit le contraire? La science dit le contraire?

Mais dites-vous que la loi et la science nazie disaient la même chose des juifs: qu'ils n'étaient pas des hommes.

Il faudrait justifier de "la forcer à accoucher"? Je crois que le simple respect de la vie à naître devrait suffire.

Par quoi commencer ? Par l'orgasmique point G que vous venez d'atteindre ou par l'explication que le respect de la vie à naître, donc sans droits jusqu'à la naissance, ne peut aller à l'encontre des droits de qui est déjà né ? Ou alors expliquez pourquoi le foetus serait un individu et une personne. Enfin, essayez d'écrire quelque chose de cohérent, quoi.

C'est comme pour la loi sur le mariage. À court d'arguments, on invente un problème avec la filiation, sacrée, cela va de soi. Or, jamais ce ramassis de nostalgiques du sabre et du goupillon ne s'est penché sur le sort des bâtards et autres mioches naturels, comme on dit. Ah si, la charité, sacrée elle aussi, en avait bien besoin pour pouvoir exister. Il faut toujours qu'il y ait des misérables assis sur les marches de l'église à la sortie de la messe, sinon ça marche pas, le machin chrétien. Et des foetus en danger, et des petits poussins sans papas bleus, ni maman roses...

c'est absolument inexact ; st vincent de paul crée une orga qui s'occupe des enfants trouvés, dans le but de limiter les avortements, XVIIè

ce ramassis de nostalgiques du sabre et du goupillon s'en est donc occupé ; vous racontez des bêtises

edit : Oeuvre des Enfants trouvés, 1638. Quand on ne sait pas, on n'éructe pas.

edit2 : je n'attends pas franchement de réponse, vous n'êtes donc pas obligé de revenir baver ici vos bafouilles. Car pour tout vous dire, je vous trouve, votre ton et vous, un brin antipathiques.

Et j'ajoute que des femmes catholiques aisées ont aussi aidé saint Vincent de Paul dans son oeuvre charitable (maintenant on veut tellement stigmatiser les riches... ).

Et j'ajoute que des femmes catholiques aisées ont aussi aidé saint Vincent de Paul dans son oeuvre charitable (maintenant on veut tellement stigmatiser les riches... ).

Ce qu'il fallait démontrer est là. La charité a toujours servi aux riches à se refaire une beauté morale. Mais dites-moi, c'était pas un certain cloué qui aurait dit : « Lors donc que tu fais l'aumône, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d'être glorifiés par les hommes. » ?

Et j'ajoute que des femmes catholiques aisées ont aussi aidé saint Vincent de Paul dans son oeuvre charitable (maintenant on veut tellement stigmatiser les riches... ).

Ce qu'il fallait démontrer est là. La charité a toujours servi aux riches à se refaire une beauté morale. Mais dites-moi, c'était pas un certain cloué qui aurait dit : « Lors donc que tu fais l'aumône, ne sonne pas de la trompette devant toi, comme font les hypocrites dans les synagogues et dans les rues, afin d'être glorifiés par les hommes. » ?

ben c'tà dire qu'on en parle parce que vous abordez le sujet.

faudrait ptête pas inverser les rôles.

parce que ces braves dames, personne n'a dit qu'elles l'avaient claironné sur les toits.

mais je note que le mieux, d'après vous, c'est de laisser crever le pauvre, pour ne pas pouvoir se prévaloir ensuite de l'avoir aidé. drôle de mentalité, mais bon, c'est vous qui voyez

mais ça ne fait que quelques pages que je le demande

Bin fais le et utilise ton imagination pour trouver des exemples que tu interpréteras pour une fois avec bienveillance. Sinon cherche moi un quizz pour ce soir pour m'occuper

justement, je n'en trouve pas.

j'ai même sorti les IMG, que je n'approuve pas, mais dont je note qu'ils sont motivés ; il reste 213000 IVG/an.

je suis très bienveillant, je peux parler très tranquillement avec des gens qui ont des idées diamétralement opposées aux miennes ; j'ai juste du mal avec les abrutis (qui se reconnaîtront)

mwé, vais voir ça, mais c plus à moi de jouer, et de ttes façons, quand on ne peut pas tricher, c'est pas marrant

En combattant cette loi, tu ne pratiques pas la bienveillance envers les femmes qui ont du avorter pour des raisons qui, même si tu les trouves stupides, ont pour elle une grande valeur.

Souvent amenées à choisir entre un bébé potentiel à élever seul ou l'amour de leur connard de mec qui n'a aucune idée de ce qu'il demande en lui disant qu'il n'en veut pas.

La plupart de ces femmes ne le font pas de gaité de coeur et pensent toute leur vie à cet acte.

Ton jugement, sans rien connaitre d'elles est un couteau que tu remue dans cette plaie.

Non, tu n'es pas bienveillant. un jugement arbitraire n'est jamais bienveillant.

Surtout que pour ton propre compte tu admets que tricher, tromper donc ton monde, l'induire en erreur, et donc l'enfoncer encore plus, tu trouves ça amusant.

On ne peut être bienveillant quand on se contre fous de l'autre.

Ceci dit, ça ne signifie pas que tu sois malveillant pour autant.

Pour faire du mal, il suffit parfois juste de ne pas faire le bien qu'on pourrait faire.

En combattant cette loi, tu ne pratiques pas la bienveillance envers les femmes qui ont du avorter pour des raisons qui, même si tu les trouves stupides, ont pour elle une grande valeur.

Souvent amenées à choisir entre un bébé potentiel à élever seul ou l'amour de leur connard de mec qui n'a aucune idée de ce qu'il demande en lui disant qu'il n'en veut pas.

La plupart de ces femmes ne le font pas de gaité de coeur et pensent toute leur vie à cet acte.

Ton jugement, sans rien connaitre d'elles est un couteau que tu remue dans cette plaie.

Non, tu n'es pas bienveillant. un jugement arbitraire n'est jamais bienveillant.

Surtout que pour ton propre compte tu admets que tricher, tromper donc ton monde, l'induire en erreur, et donc l'enfoncer encore plus, tu trouves ça amusant.

On ne peut être bienveillant quand on se contre fous de l'autre.

Ceci dit, ça ne signifie pas que tu sois malveillant pour autant.

Pour faire du mal, il suffit parfois juste de ne pas faire le bien qu'on pourrait faire.

ce qui est barré relève de l'argument de l'accouchement sous X, qui n'a reçu aucune réponse...

j'ajoute qu'avant de dire que je trouve leurs raisons stupides, il aurait fallu qu'on en ait, ce qui n'est pas le cas.

ce qui est souligné relève de la psychologie de bazar appliquée à ma pomme. je fais quoi avec ça ? A part rien.

Sur ce fil, les seules réponses qu'on a c'est : "toi, tu..." ou " ".

sortis de l'ad hominem, vous n'êtes absolument pas capables d'argumenter...

la femme qui avorte parce que son abruti de jules lui demande, elle se jette dans la seine sur demande aussi ?

et même remarque qu'à JdM :

"La plupart de ces femmes ne le font pas de gaité de coeur et pensent toute leur vie à cet acte."

si c'est anodin, pourquoi y pensent-elles ? si c'est pas anodin, quelles sont les raisons supérieures à l'acte qui font qu'elles avortent ?

edit : je précise que ce fil n'est pas une lecture obligée ; si quelqu'un se sent mal en me lisant, il peut aller vaquer sur un autre fil. éco ou PO, je n'y mets pratiquement jamais les pieds.

En combattant cette loi, tu ne pratiques pas la bienveillance envers les femmes qui ont du avorter pour des raisons qui, même si tu les trouves stupides, ont pour elle une grande valeur.

Souvent amenées à choisir entre un bébé potentiel à élever seul ou l'amour de leur connard de mec qui n'a aucune idée de ce qu'il demande en lui disant qu'il n'en veut pas.

La plupart de ces femmes ne le font pas de gaité de coeur et pensent toute leur vie à cet acte.

Ton jugement, sans rien connaitre d'elles est un couteau que tu remue dans cette plaie.

Non, tu n'es pas bienveillant. un jugement arbitraire n'est jamais bienveillant.

Surtout que pour ton propre compte tu admets que tricher, tromper donc ton monde, l'induire en erreur, et donc l'enfoncer encore plus, tu trouves ça amusant.

On ne peut être bienveillant quand on se contre fous de l'autre.

Ceci dit, ça ne signifie pas que tu sois malveillant pour autant.

Pour faire du mal, il suffit parfois juste de ne pas faire le bien qu'on pourrait faire.

ce qui est barré relève de l'argument de l'accouchement sous X, qui n'a reçu aucune réponse...

j'ajoute qu'avant de dire que je trouve leurs raisons stupides, il aurait fallu qu'on en ait, ce qui n'est pas le cas.

ce qui est souligné relève de la psychologie de bazar appliquée à ma pomme. je fais quoi avec ça ? A part rien.

Sur ce fil, les seules réponses qu'on a c'est : "toi, tu..." ou " ".

sortis de l'ad hominem, vous n'êtes absolument pas capables d'argumenter...

la femme qui avorte parce que son abruti de jules lui demande, elle se jette dans la seine sur demande aussi ?

On voit bien que tu n'as jamais mis ta vie entre parenthèse pendant neuf mois toi. :

En combattant cette loi, tu ne pratiques pas la bienveillance envers les femmes qui ont du avorter pour des raisons qui, même si tu les trouves stupides, ont pour elle une grande valeur.

Souvent amenées à choisir entre un bébé potentiel à élever seul ou l'amour de leur connard de mec qui n'a aucune idée de ce qu'il demande en lui disant qu'il n'en veut pas.

La plupart de ces femmes ne le font pas de gaité de coeur et pensent toute leur vie à cet acte.

Ton jugement, sans rien connaitre d'elles est un couteau que tu remue dans cette plaie.

Non, tu n'es pas bienveillant. un jugement arbitraire n'est jamais bienveillant.

Surtout que pour ton propre compte tu admets que tricher, tromper donc ton monde, l'induire en erreur, et donc l'enfoncer encore plus, tu trouves ça amusant.

On ne peut être bienveillant quand on se contre fous de l'autre.

Ceci dit, ça ne signifie pas que tu sois malveillant pour autant.

Pour faire du mal, il suffit parfois juste de ne pas faire le bien qu'on pourrait faire.

ce qui est barré relève de l'argument de l'accouchement sous X, qui n'a reçu aucune réponse...

j'ajoute qu'avant de dire que je trouve leurs raisons stupides, il aurait fallu qu'on en ait, ce qui n'est pas le cas.

ce qui est souligné relève de la psychologie de bazar appliquée à ma pomme. je fais quoi avec ça ? A part rien.

Sur ce fil, les seules réponses qu'on a c'est : "toi, tu..." ou " ".

sortis de l'ad hominem, vous n'êtes absolument pas capables d'argumenter...

la femme qui avorte parce que son abruti de jules lui demande, elle se jette dans la seine sur demande aussi ?

On voit bien que tu n'as jamais mis ta vie entre parenthèse pendant neuf mois toi. :

Bon, la raison du confort, ça fait une.

edit : "que tu...toi"

  • [supprimé]

Cem, je réponds point par point sauf ceux que j'ai escampés (supprimés en occitan).

l'embryon ou le foetus est ou n'est pas un individu si on veut, le débat n'est pas là => c'est ce qu'il va devenir qui compte.

de plus, toujours ambiguë : pourquoi au cas par cas si ce n'est qu'un acte médical comme un autre ne prenant pas en compte la spécificité dont je parle plus haut ? Si ce n'est vraiment rien d'autre, il n'y a aucune raison de ne pas le libéraliser tout-à-fait (ce qui est le cas) ; et si c'est autre chose, c'est quoi ? ta position me semble, comme je l'ai écrit hier, difficilement tenable. de plus, l'objection de la douleur, etc... ne tient pas, celle qui décide, c'est quand même la mère.

En outre, il n'y a pas besoin d'être catholique ou autre pour s'opposer à l'IVG, les deux morales, naturelle et religieuse se confondent (au moins chez nous) et la première suffit largement pour argumenter.

dernière chose : si, les motivations sont importantes ; une femme n'avorte pas comme elle change de culotte, on lit assez de pleurnicheries sur les effets dramatiques induits pour supposer que ce n'est pas anodin.

dans ce cas, il est parfaitement légitime de se demander quels sont les motifs (multiples) qui conduisent 212000 d'entre elles à avorter chaque année. je te fais remarquer que cet argument des multiples raisons n'est pas de moi, mais du ****. ceci posé et enlevé l'IMG, il n'y a pour l'instant aucune réponse ; ne serait-ce pas parce que l'IVG est devenu une contraception a postériori ?

Je connais le couplet sur le devenir de l'embryon et je ne dis pas le contraire, nulle part.

Au cas par cas car comme tu l'écris en conclusion du paragraphe : c'est la mère qui décide ! Perso, je ne suis pas pour une libéralisation totale de l'IVG comme je l'expliquais plus haut et que tu as cité. Donc je te prie de considérer ce que j'écris stp. Les autres "choses" il me semble en avoir fait une liste, de tête, sans avoir la prétention d'être exhaustif ne connaissant pas tous les motifs d'IVG. Difficilement tenable selon TA grille de lecture. Moi je ne dis pas pas que ta position est intenable même si nous sommes en désaccord, ponctuellement.

Oui bien sûr. Mais ne viens pas me faire croire malgré les non-dits volontaires que la religion est absente dans ce type de débat, je ne te croirai pas, et tu le sais. Mais je veux bien admettre qu'il n'y a pas QUE la religion. Mais bon, comme dans le cas du mariage, elle n'en est pas absente, me dirais-tu le contraire.

Je suis d'accord. Cependant ce que je disais hier sur les galipettes du samedi entre intimes d'une soirée ont parfois des conséquences inattendues que toutes et tous ne peuvent ni ne veulent assumer. Là oui, il s'agit souvent de confort et je veux bien croire que cela puisse poser question. Mais je n'ai pas de réponse définitive à y apporter.

Là encore, je suis d'accord et je n'en connais pas les motifs même si j'en aurai bien une idée : la facilité légale et médicale dans un certain nombre de cas probablement, sans pour autant être foutu d'avancer la moindre statistique. Ben voilà, nous vivons une époque ou chacun utilise à sa guise les outils qu'on lui met à disposition. On peut ne pas trouver cela normal, mais c'est comme ça. Bien, pas bien ? Vaste débat où chacun y va de sa sensibilité et où probablement il faudrait mettre de l'ordre. Probablement... Ça n'est pas à l'ordre du jour cependant.

On voit bien que tu n'as jamais mis ta vie entre parenthèse pendant neuf mois toi. :

Bon, la raison du confort, ça fait une.

edit : "que tu...toi"

Ce n'est pas une question de "confort". C'est bien plus prit comme si le ciel te tombait sur la tête dans la plupart des cas.

Je ne vois même pas pourquoi je discute de ça avec un mec, qui plus est un mec qui est incapable de se mettre à la place des autres pour comprendre l'état d'esprit qui pousse l'autre à choisir ça plutôt qu'autre chose.

Si tu veux une image qui puisse te parler, mais là encore tu la jugeras au lieu de la prendre comme un fait, c'est comme si on te diagnostiquait un cancer, ou plutôt le sida, qui va te bousiller toute ta vie, quand il n'est pas désiré et qu'on ne s'est pas préparé d'une façon ou d'une autre à l'idée d'avoir un bébé.

Donc, il y a celles qui ont les moyens d'affronter ça, et celles qui préfèrent éliminer le problème, car effectivement avant et après bébé ta vie n'est plus la même.

Donc tu peux déplorer que certaines femmes n'aient pas la force de surmonter ça et d'y trouver l'amour, mais les juger et vouloir retirer une loi qui leur permet de faire ça sans risquer leur propre vie et rajouter ainsi du drame au drame, ça, tu n'en as pas le droit.

Moi j'ai toujours su que je n'avorterai pas, et pourtant, j'ai été contrainte de prendre la pilule du lendemain une fois pour une connerie de mon mec de l'époque suite à une séparation . Et je n'avais pas le choix car j'ai toujours refusé d'avoir plusieurs enfants de différents mecs. J'ai un boulot, élever seule mes enfants, au pire, je saurais assumer, mais cette fratrie non recomposée était dans mon schéma de vie(c'est con mais c'est comme ça, et aucun mec n'a eu envie de me prouver ma connerie). Donc oui, j'aurais pu être contrainte à avorter malgré tout.

Dieu m'en a préservé, mais je suis sensible à ces femmes qui ne gagnent leur liberté et une vie souvent que grâce à cette loi.

Tu ne peux pas comprendre l'importance que peut avoir cette libération du "ventre" pour l'humanité féminine.

Non, tu ne peux comprendre....

Cem, je réponds point par point sauf ceux que j'ai escampés (supprimés en occitan).

l'embryon ou le foetus est ou n'est pas un individu si on veut, le débat n'est pas là => c'est ce qu'il va devenir qui compte.

de plus, toujours ambiguë : pourquoi au cas par cas si ce n'est qu'un acte médical comme un autre ne prenant pas en compte la spécificité dont je parle plus haut ? Si ce n'est vraiment rien d'autre, il n'y a aucune raison de ne pas le libéraliser tout-à-fait (ce qui est le cas) ; et si c'est autre chose, c'est quoi ? ta position me semble, comme je l'ai écrit hier, difficilement tenable. de plus, l'objection de la douleur, etc... ne tient pas, celle qui décide, c'est quand même la mère.

En outre, il n'y a pas besoin d'être catholique ou autre pour s'opposer à l'IVG, les deux morales, naturelle et religieuse se confondent (au moins chez nous) et la première suffit largement pour argumenter.

dernière chose : si, les motivations sont importantes ; une femme n'avorte pas comme elle change de culotte, on lit assez de pleurnicheries sur les effets dramatiques induits pour supposer que ce n'est pas anodin.

dans ce cas, il est parfaitement légitime de se demander quels sont les motifs (multiples) qui conduisent 212000 d'entre elles à avorter chaque année. je te fais remarquer que cet argument des multiples raisons n'est pas de moi, mais du ****. ceci posé et enlevé l'IMG, il n'y a pour l'instant aucune réponse ; ne serait-ce pas parce que l'IVG est devenu une contraception a postériori ?

Je connais le couplet sur le devenir de l'embryon et je ne dis pas le contraire, nulle part.

Au cas par cas car comme tu l'écris en conclusion du paragraphe : c'est la mère qui décide ! Perso, je ne suis pas pour une libéralisation totale de l'IVG comme je l'expliquais plus haut et que tu as cité. Donc je te prie de considérer ce que j'écris stp. Les autres "choses" il me semble en avoir fait une liste, de tête, sans avoir la prétention d'être exhaustif ne connaissant pas tous les motifs d'IVG. Difficilement tenable selon TA grille de lecture. Moi je ne dis pas pas que ta position est intenable même si nous sommes en désaccord, ponctuellement.

Oui bien sûr. Mais ne viens pas me faire croire malgré les non-dits volontaires que la religion est absente dans ce type de débat, je ne te croirais pas, et tu le sais. Mais je veux bien admettre qu'il n'y a pas QUE la religion. Mais bon, comme dans le cas du mariage, elle n'en est pas absente, me dirais-tu le contraire.

Je suis d'accord. Cependant ce que je disais hier sur les galipettes du samedi entre intimes d'une soirée ont parfois des conséquences inattendues que toutes et tous ne peuvent ni ne veulent assumer. Là oui, il s'agit souvent de confort et je veux bien croire que cela puisse poser question. Mais je n'ai pas de réponse définitive à y apporter.

Là encore, je suis d'accord et je n'en connais pas les motifs même si j'en aurais bien une idée : la facilité légale et médicale dans un certain nombre de cas probablement, sans pour autant être foutu d'avancer la moindre statistique. Ben voilà, nous vivons une époque ou chacun utilise à sa guise les outils qu'on lui met à disposition. On peut ne pas trouver cela normal, mais c'est comme ça. Bien, pas bien ? Vaste débat où chacun y va de sa sensibilité et où probablement il faudrait mettre de l'ordre. Probablement... Ça n'est pas à l'ordre du jour cependant.

en ce qui concerne le point 3, je me borne juste à constater que pas une fois, que ce soit ici ou pour le mariage gay, je n'ai utilisé d'argument religieux ; bien entendu, elle n'est pas absente (chez moi) mais elle court-circuite le débat trop vite. Comme je l'ai écrit plus haut, le lien ténu entre elle et notre morale suffit amplement à pouvoir débattre de faits de société en se bornant à une stricte laïcité 8)

je te prie de noter quand, dans les deux cas, les références et allusions religieuses sont venues d'ailleurs, sans doute dépités de ne pas y trouver leur cible favorite, certains ont cru bon de l'y mêler, mais ce n'est pas mon cas.

pour le point 2 : je lis avec la plus grande attention ce que tu écris, et c'est pour cette raison que je pose la question, de pourquoi "du coup par coup" si c'est anodin, et, si c'est pas anodin, ("autre chose") qu'est-ce que c'est ?

en fait, il a deux axes qui sont très logiques : c'est celui du "pour à 100%" là, clairement, y a rien et on y va à donf, et celui du "contre à 100% --réserve sur le cas de la mère quand sa santé est en jeu--" où c'est clair qu'il y a qqch et dans le doute...

mais la ligne qui tient que dans certains cas on peut, et dans d'autres moins, franchement, je ne la comprends pas (d'un point de vue intellectuel)

On voit bien que tu n'as jamais mis ta vie entre parenthèse pendant neuf mois toi. :

Bon, la raison du confort, ça fait une.

edit : "que tu...toi"

Ce n'est pas une question de "confort". C'est bien plus prit comme si le ciel te tombait sur la tête dans la plupart des cas.

Je ne vois même pas pourquoi je discute de ça avec un mec, qui plus est un mec qui est incapable de se mettre à la place des autres pour comprendre l'état d'esprit qui pousse l'autre à choisir ça plutôt qu'autre chose.

Si tu veux une image qui puisse te parler, mais là encore tu la jugeras au lieu de la prendre comme un fait, c'est comme si on te diagnostiquait un cancer, ou plutôt le sida, qui va te bousiller toute ta vie, quand il n'est pas désiré et qu'on ne s'est pas préparé d'une façon ou d'une autre à l'idée d'avoir un bébé.

Donc, il y a celles qui ont les moyens d'affronter ça, et celles qui préfèrent éliminer le problème, car effectivement avant et après bébé ta vie n'est plus la même.

Donc tu peux déplorer que certaines femmes n'aient pas la force de surmonter ça et d'y trouver l'amour, mais les juger et vouloir retirer une loi qui leur permet de faire ça sans risquer leur propre vie et rajouter ainsi du drame au drame, ça, tu n'en as pas le droit.

Moi j'ai toujours su que je n'avorterai pas, et pourtant, j'ai été contrainte de prendre la pilule du lendemain une fois pour une connerie de mon mec de l'époque suite à une séparation . Et je n'avais pas le choix car j'ai toujours refusé d'avoir plusieurs enfants de différents mecs. J'ai un boulot, élever seule mes enfants, au pire, je saurais assumer, mais cette fratrie non recomposée était dans mon schéma de vie(c'est con mais c'est comme ça, et aucun mec n'a eu envie de me prouver ma connerie). Donc oui, j'aurais pu être contrainte à avorter malgré tout.

Dieu m'en a préservé, mais je suis sensible à ces femmes qui ne gagnent leur liberté et une vie souvent que grâce à cette loi.

Tu ne peux pas comprendre l'importance que peut avoir cette libération du "ventre" pour l'humanité féminine.

Non, tu ne peux comprendre....

l'accouchement sous X est précisément fait pour répondre à ces problèmes. d'abord, ce n'est pas emmerdant 9 mois, faut pas exagérer, et on accouche quand même mieux aujourd'hui qu'il y a 50 ans.

edit : je ne relève pas la série de "tu, te, toi.." qui ne présente aucun intérêt.

si un IVG ne relève pas de l'IMG, et si c'est pas une question de confort, c'est quoi ?

  • [supprimé]

l'embryon ou le foetus est ou n'est pas un individu si on veut, le débat n'est pas là => c'est ce qu'il va devenir qui compte. or il ne devient pas une carotte ou un navet (sauf pour certains guignols ici) , il devient un être humain, et pas autre chose ; et la réciproque est vraie, rien d'autre que lui ne devient un être humain.

On en a déjà discuté.

Ce qu'il va devenir, in fine, c'est le destin de tout être vivant: mourir. Votre argument pousser jusqu'à son terme, permet d'aboutir à la conclusion suivante: puisque tout le monde sera mort à un moment ou à un autre, on peut faire à peu près ce que l'on veut, avec qui on veut, quand on veut.

Ce qui compte, c'est le présent.

Oui, un embryon humain est humain. Oui, il est vivant. Mais la question n'est pas là, c'est de savoir si c'est un individu, ou à partir de quand il est un individu. Si on sacralise la vie (et pas l'individu), dans l'absolu, on s'oblige par exemple, à l'acharnement thérapeutique.

Un avortement n'est clairement pas l'équivalent d'un détartrage, mais j'ai du mal à concevoir qu'il faudrait s'attrister sur la mort d'une "personne" quand une grossesse s'achève (volontairement ou non) ou bout de 3 semaines (parfois sans même que la mère sache qu'il y avait grossesse).

Je n'ai plus les chiffres exacts en tête, mais les grossesses s'interrompant naturellement sont de l'ordre de ~20%. Si c'est un individu qui meurt, il me semblerait logique de lui faire des funérailles.

Ce n'est pas une question de "confort". C'est bien plus prit comme si le ciel te tombait sur la tête dans la plupart des cas.

Je ne vois même pas pourquoi je discute de ça avec un mec, qui plus est un mec qui est incapable de se mettre à la place des autres pour comprendre l'état d'esprit qui pousse l'autre à choisir ça plutôt qu'autre chose.

Si tu veux une image qui puisse te parler, mais là encore tu la jugeras au lieu de la prendre comme un fait, c'est comme si on te diagnostiquait un cancer, ou plutôt le sida, qui va te bousiller toute ta vie, quand il n'est pas désiré et qu'on ne s'est pas préparé d'une façon ou d'une autre à l'idée d'avoir un bébé.

Donc, il y a celles qui ont les moyens d'affronter ça, et celles qui préfèrent éliminer le problème, car effectivement avant et après bébé ta vie n'est plus la même.

Donc tu peux déplorer que certaines femmes n'aient pas la force de surmonter ça et d'y trouver l'amour, mais les juger et vouloir retirer une loi qui leur permet de faire ça sans risquer leur propre vie et rajouter ainsi du drame au drame, ça, tu n'en as pas le droit.

Moi j'ai toujours su que je n'avorterai pas, et pourtant, j'ai été contrainte de prendre la pilule du lendemain une fois pour une connerie de mon mec de l'époque suite à une séparation . Et je n'avais pas le choix car j'ai toujours refusé d'avoir plusieurs enfants de différents mecs. J'ai un boulot, élever seule mes enfants, au pire, je saurais assumer, mais cette fratrie non recomposée était dans mon schéma de vie(c'est con mais c'est comme ça, et aucun mec n'a eu envie de me prouver ma connerie). Donc oui, j'aurais pu être contrainte à avorter malgré tout.

Dieu m'en a préservé, mais je suis sensible à ces femmes qui ne gagnent leur liberté et une vie souvent que grâce à cette loi.

Tu ne peux pas comprendre l'importance que peut avoir cette libération du "ventre" pour l'humanité féminine.

Non, tu ne peux comprendre....

l'accouchement sous X est précisément fait pour répondre à ces problèmes. d'abord, ce n'est pas emmerdant 9 mois, faut pas exagérer, et on accouche quand même mieux aujourd'hui qu'il y a 50 ans.

edit : je ne relève pas la série de "tu, te, toi.." qui ne présente aucun intérêt.

Le "tu, te, toi" a sa raison d'être, du fait que tu estimes certaines choses comme "banales".

Elle ne le sont pas pour ces femmes, et t'amener à faire la différence entre ton regard sur les choses, et celui de ces femmes est essentiel pour que tu cernes bien le problème avant toute chose.

Je ne le fais pas de gaité de coeur, et n'ai aucune envie de juger ta façon de voir ça, mais j'essaye juste de te faire prendre de la hauteur de vue.

Apparemment tu ne quittes pas le plancher des vaches, c'est juste dommage.

Je ne suis pas l'interlocuteur qui te convient puisque tu ne veux que la confirmation que tu penses "bien".

Je ne vais pas te changer.

Oui faites un dessin car une personne est un individu en relation sociale avec d'autres individus devenus personnes par le même mécanisme.

Je tente encore une fois à l'écrit.

Personne est un mot polysémique, par conséquent la correspondance à un seul sens de ce mot suffit à pouvoir l'employer pour désigner un objet. En revanche La non-correspondance avec un des sens ne permet pas d'affirmer qu'on ne peut désigner cet objet par le mot en question.

l'embryon ou le foetus est ou n'est pas un individu si on veut, le débat n'est pas là => c'est ce qu'il va devenir qui compte. or il ne devient pas une carotte ou un navet (sauf pour certains guignols ici) , il devient un être humain, et pas autre chose ; et la réciproque est vraie, rien d'autre que lui ne devient un être humain.

On en a déjà discuté.

Ce qu'il va devenir, in fine, c'est le destin de tout être vivant: mourir. Votre argument pousser jusqu'à son terme, permet d'aboutir à la conclusion suivante: puisque tout le monde sera mort à un moment ou à un autre, on peut faire à peu près ce que l'on veut, avec qui on veut, quand on veut.

Ce qui compte, c'est le présent.

Oui, un embryon humain est humain. Oui, il est vivant. Mais la question n'est pas là, c'est de savoir si c'est un individu, ou à partir de quand il est un individu. Si on sacralise la vie (et pas l'individu), dans l'absolu, on s'oblige par exemple, à l'acharnement thérapeutique.

Un avortement n'est clairement pas l'équivalent d'un détartrage, mais j'ai du mal à concevoir qu'il faudrait s'attrister sur la mort d'une "personne" quand une grossesse s'achève (volontairement ou non) ou bout de 3 semaines (parfois sans même que la mère sache qu'il y avait grossesse).

Je n'ai plus les chiffres exacts en tête, mais les grossesses s'interrompant naturellement sont de l'ordre de ~20%. Si c'est un individu qui meurt, il me semblerait logique de lui faire des funérailles.

yep, c'est des sujets bateau...

pas exactement, il va d'abord vivre, alors que le petit pépé sous AT va mourir si la finalité est la même, le parcours est différent ; il y a un individu en puissance et un qui va clamser, on ne peut pas mettre les deux cas dans le même panier.

je vous ferais remarquer que jusqu'à l'accouchement, le foetus n'a aucun statut. pourquoi limiter l'IVG puisqu'il n'est pas un individu (au sens légal) tant qu'il n'est pas né ?

Ce n'est pas une question de "confort". C'est bien plus prit comme si le ciel te tombait sur la tête dans la plupart des cas.

Je ne vois même pas pourquoi je discute de ça avec un mec, qui plus est un mec qui est incapable de se mettre à la place des autres pour comprendre l'état d'esprit qui pousse l'autre à choisir ça plutôt qu'autre chose.

Si tu veux une image qui puisse te parler, mais là encore tu la jugeras au lieu de la prendre comme un fait, c'est comme si on te diagnostiquait un cancer, ou plutôt le sida, qui va te bousiller toute ta vie, quand il n'est pas désiré et qu'on ne s'est pas préparé d'une façon ou d'une autre à l'idée d'avoir un bébé.

Donc, il y a celles qui ont les moyens d'affronter ça, et celles qui préfèrent éliminer le problème, car effectivement avant et après bébé ta vie n'est plus la même.

Donc tu peux déplorer que certaines femmes n'aient pas la force de surmonter ça et d'y trouver l'amour, mais les juger et vouloir retirer une loi qui leur permet de faire ça sans risquer leur propre vie et rajouter ainsi du drame au drame, ça, tu n'en as pas le droit.

Moi j'ai toujours su que je n'avorterai pas, et pourtant, j'ai été contrainte de prendre la pilule du lendemain une fois pour une connerie de mon mec de l'époque suite à une séparation . Et je n'avais pas le choix car j'ai toujours refusé d'avoir plusieurs enfants de différents mecs. J'ai un boulot, élever seule mes enfants, au pire, je saurais assumer, mais cette fratrie non recomposée était dans mon schéma de vie(c'est con mais c'est comme ça, et aucun mec n'a eu envie de me prouver ma connerie). Donc oui, j'aurais pu être contrainte à avorter malgré tout.

Dieu m'en a préservé, mais je suis sensible à ces femmes qui ne gagnent leur liberté et une vie souvent que grâce à cette loi.

Tu ne peux pas comprendre l'importance que peut avoir cette libération du "ventre" pour l'humanité féminine.

Non, tu ne peux comprendre....

l'accouchement sous X est précisément fait pour répondre à ces problèmes. d'abord, ce n'est pas emmerdant 9 mois, faut pas exagérer, et on accouche quand même mieux aujourd'hui qu'il y a 50 ans.

edit : je ne relève pas la série de "tu, te, toi.." qui ne présente aucun intérêt.

Le "tu, te, toi" a sa raison d'être, du fait que tu estimes certaines choses comme "banales".

Elle ne le sont pas pour ces femmes, et t'amener à faire la différence entre ton regard sur les choses, et celui de ces femmes est essentiel pour que tu cernes bien le problème avant toute chose.

Je ne le fais pas de gaité de coeur, et n'ai aucune envie de juger ta façon de voir ça, mais j'essaye juste de te faire prendre de la hauteur de vue.

Apparemment tu ne quittes pas le plancher des vaches, c'est juste dommage.

Je ne suis pas l'interlocuteur qui te convient puisque tu ne veux que la confirmation que tu penses "bien".

Je ne vais pas te changer.

je demande juste une raison pour expliquer 112 000 IVG par an. Il faut le dire comment, en hébreu ?

réponse : "tu ne sais pas ce que c'est que de sacrifier 9 mois de sa vie"

"c'est donc du confort"

"non, c'est pas du confort"

"c'est quoi ? "

" "

j'estime quoi comme "banales" ?

excusez-moi de poser une nouvelle question hein ?

" c'est comme si on te diagnostiquait un cancer, ou plutôt le sida, qui va te bousiller toute ta vie, quand il n'est pas désiré et qu'on ne s'est pas préparé d'une façon ou d'une autre à l'idée d'avoir un bébé."

entre nous, ça mériterait largement le bêtisier, mais bon...