Pour quelle période vous voudriez avoir ce droit ?
Personne ne cherche à aimer ou faire aimer le régime NS qui en effet était horrible, puisque il se basait sur des trucs aussi débiles que la "superiorité" d'un sang et autres et à penser que parce que l'on serait de telle ou telle origine l'on serait "inférieur" et sur des persécutions réelles et graves bien sûr.
Mais quand une haute autorité morale telle que Elie Wiesel .......(Décoré en 1984 en France de la Légion d'honneur, élevé à la dignité de Grand-officier de cet ordre en 1990 puis Grand-croix en 2001....Titulaire de la Médaille d'or du Congrès américain, il reçoit le Prix Nobel de la paix en 1986......Chevalier commandeur honoraire de l'Ordre de l'Empire britannique, n'en jetez plus),.....écrit ceci:
Non loin de nous, des flammes montaient d'une fosse, des flammes gigantesques. On y brûlait quelque chose. Un camion s'approcha du trou et y déversa sa charge: c'étaient des petits enfants. Des bébés! Oui, je l'avais vu, de mes yeux vu... Des enfants dans les flammes. (Est-ce donc étonnant si depuis ce temps-là le sommeil fuit mes yeux?)
Un peu plus loin, il y avait une autre fosse à flammes gigantesques où les victimes pouvaient "agoniser durant des heures dans les flammes" La colonne dont faisait partie Wiesel fut conduite par les Allemands à "trois pas" de cette fosse, puis à "deux pas". "A deux pas de la fosse, on nous ordonna de tourner à gauche, et on nous fit entrer dans une baraque."
Plus tard, j'appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n'avait cessé de trembler; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé
Est-ce que j'ai le droit moi de douter de ce genre de récit ? Peut on croire que les lois de la physique de la physiologie et de la chimie ont été abolie entre 42 et 45 ?
Est-ce que j'ai le droit de me poser la question si cela est compatible avec l'affirmation selon laquelle on aurait zigouillé plus de 6 millions de personnes en toute discrétion et............ sans que les chefs d'états alliés ne le croient car c'était fait de manière tellement discrète que même les servants ne savaient pas...... comme me l'a affirmé je ne sais plus quel couillon sur ce forum ? (les méchants le savaient eux bien sûr)
Entre ce témoignage:
J'ai été de mes propres yeux témoin d'un meurtre, non pas de l'assassinat d'un homme, mais du meurtre d'êtres humains par centaines, de malheureux innocents qui, pour la plupart, ne se doutaient de rien et qu'on avait conduits dans une vaste salle. C'est une vision qu'il est impossible d'oublier. Dehors,une échelle était appuyée contre le mur de cet édifice qui était assez bas ; ellepermettait de parvenir jusqu'à une petite lucarne. Une silhouette vêtue de
'uniforme SS en gravit rapidement les degrés ; arrivé en haut, l'homme mit unmasque à gaz et des gants. Puis, tenant d'une main la lucarne ouverte, il tira desa poche un petit sac dont il versa en hâte le contenu à l'intérieur du bâtiment ;c'était une poudre blanche. Après quoi, il referma immédiatement la lucarne.Puis il redescendit, rapide comme l'éclair, jeta l'échelle sur le gazon et s'enfuiten courant, comme s'il se savait poursuivi par de mauvais esprits.Au même instant se firent entendre les cris désespérés des malheureux quiétouffaient... Au bout de cinq minutes, de huit minutes peut-être, tous étaientmorts...
Ce témoignage:
A 800-900 mètres de l'endroit où se trouvent les fours, les détenus montentdans les wagonnets qui circulent sur les rails. Ils sont à Auschwitz dedimensions différentes, contenant de dix à quinze personnes. Une fois chargé,le wagonnet est mis en mouvement sur un plan incliné et s'engage à touteallure dans une galerie. Au bout de la galerie se trouve une paroi ; derrière,c'est l'accès dans le four.Lorsque le wagonnet vient cogner contre la paroi, elle s'ouvreautomatiquement, le wagonnet se renverse en jetant dans le four sa cargaisond'hommes vivants
Celui-ci:
Une sonnerie stridente, et tout de suite, par des ouvertures du plancher, le gaz commençait à monter.Sur un balcon extérieur qui dominait la porte, les SS observaient curieusement l'agonie, l'épouvante, les spasmes des condamnés. C'était pour eux unspectacle dont ces sadiques ne se lassaient jamais L'agonie durait de dix àquinze minutes .Des ventilateurs puissants chassaient le gaz. Masqué, le "Sonderkommando"apparaissait, ouvrait la porte qui se trouvait en face de l'entrée ; il y avait làune rampe, des wagonnets. L'équipe y chargeait les corps, vite, vite. D'autresattendaient. Et puis les morts pouvaient ressusciter. Le gaz ainsi dosé étourdit,ne tue pas. Il arrivait maintes fois que les victimes chargées au dernier tourrevinssent à elles sur le wagonnet... Les wagonnets dévalaient la rampe et sedéversaient directement dans le four
Peut-on savoir lequel est le bon et a-t-on le droit là encore de demander si les lois de la physique et de la chimie ont été abolie entre 42 et 45 ?
Quand on lit ceci:
Blond et maigre, le visage doux, l'air effacé, il arriva un beau matin avec sapetite valise devant les portes du royaume de la mort. Il s'appelait HerbertFloss, il était spécialiste en crémation de cadavres. Le premier bûcher fut préparé le lendemain. Herbert Floss livra son secret : lacomposition du bûcher-type. Comme il l'expliqua, tous les cadavres nebrûlaient pas de la même manière, il y avait de bons cadavres et de mauvaiscadavres, des cadavres réfractaires et des cadavres inflammables. L'artconsistait à se servir des bons pour consumer les mauvais. D'après sesrecherches – et si l'on en juge par les résultats, elles furent très poussées –, lesvieux cadavres brûlaient mieux que les nouveaux, les gras que les maigres, lesfemmes que les hommes et les enfants moins bien que les femmes mais mieuxque les hommes. Il en ressortait que le cadavre idéal était un vieux cadavre degrosse femme. Herbert Floss les fit mettre de côté, puis il fit, de même, trierles hommes et les enfants. Quand un millier de cadavres fut ainsi déterré ettrié, on procéda au chargement, le bon combustible en-dessous et le mauvaisau-dessus. Il refusa les bidons d'essence et se fit apporter du bois. Sadémonstration devait être parfaite. Le bois fut disposé sous la grille du bûcheren petits foyers qui ressemblaient à des feux de camp. La minute de véritéavait sonné. On lui apporta solennellement une boîte d'allumettes, il se pencha,alluma le premier foyer, puis les autres, et, tandis que le bois commençait às'enflammer, il rejoignit, de sa drôle de démarche, le groupe des officiels quiattendait à quelque distance.Des flammes de plus en plus hautes commencèrent à lécher les cadavres,mollement d'abord, puis d'un élan continu comme la flamme d'une lampe àsouder. Chacun retenait son souffle, les Allemands anxieux et impatients, lesprisonniers bouleversés, effrayés, terrorisés. Seul Herbert Floss semblait détendu, il marmonnait d'un air détaché, très sûr de lui : "Tadellos, tadello..."Le bûcher s'embrasa d'un coup. Soudain les flammes s'élancèrent, libérant unnuage de fumée, un ronflement profond s'éleva, les visages des morts setordirent de douleur et les chairs éclatèrent. Le spectacle avait quelque chosed'infernal et les SS eux-mêmes restèrent quelques instants pétrifiés, àcontempler le prodige. Herbert Floss rayonnait. Ce bûcher était le plus beau jour de sa vie.Un tel événement devait se fêter dignement. On fit apporter des tables que l'ondressa face au bûcher, recouvertes de bouteilles d'alcool, de vin et de bière.La journée s'achevait, renvoyant les hautes flammes du bûcher, le ciels'embrasait au bout de la plaine où le soleil disparaissait dans un fasted'incendie.Sur un signe de "Lalka", les bouchons sautèrent. Une extraordinaire fêtecommençait. Le premier toast fut porté au Führer. Les conducteurs desexcavatrices avaient regagné leur machine. Lorsque les SS levèrent leur verreen hurlant, les excavatrices semblèrent s'animer et lancèrent soudain leur longbras articulé vers le ciel, en un salut hitlérien vibrant et saccadé. Ce fut commeun signal ; dix fois les hommes dressèrent leur bras, faisant retentir à chaquefois le salut hitlérien. Les machines animées rendaient le salut aux hommes-machines et l'air vibrait de cris de gloire au Führer. La fête dura jusqu'à ce quele bûcher fût entièrement consumé. Après les toasts vinrent les chants,sauvages et cruels, chants de haine, chants de fureur, chants de gloire àl'Allemagne éternelle.
Pouvons nous demander à un médecin légiste ou autre enquetteur de la police scientifique si c'est possible ?
Quand une vérité est si costaude et qu'il y aurait des milliers de preuves ....où on sait plus trop puisque en même temps les Allemands les auraient toutes détruites et on aurait fait ça en secret tout en brulant des millliers de petits enfants à ciel ouvert......... même si tous les méchants savaient mais pas les chefs d'états alliés ....(je vais attraper la migraine si ça continue ).....pourquoi rajouter des photos montrant des tas de cadavres de civils Allemands en faisant croire que ce sont des gens morts dans les camps ?