globalement je propose que toutes les etudes superieures soient payantes, financées par un pret accessible à tous.

le remboursement du prêt , une fois dans la vie active serait deductible du revenu imposable ( les etudes seraient en fait un investissement amortissable).

Toutefois dans les activités necessaires à la nation et non pourvues, les étudiants seraient boursiers ou auraient la gratuité des études en échange de pourvoir aux emplois dans les secteurs deficitaires en M.O. C'est simplement un contrat de long terme ( 20 ans) entre une personne et la nation que je propose.

C'est exacctement ce qu'il se passe à Polytechnique. Normalement un polytechnicien doit travailler dans le secteur public pendant 10 ans, car il a reçu un salaire pendant ces études gratuites, mais nombreux sont ceux qui ne rspectent pas cette obligation, ils partent au bout de 6 ou 7 ans.

Aux USA, une formation comme Polytechnique coute entre 60 et 100 000 $ à chaque étudiant.

je ne vois pas où serait l'exclusion des boursiers, au contraire, ils seraient integrés dans la vie active.

C'est une bonne solution . De faire comme dans la police ou l'armée . Les mieux notés choisissent l'endroit ou ils vont , les derniers prennent ce qu'il reste.

Solution sans coût et juste. Bref aucune chance que nos dirigeants y pensent.

je suis farouchement opposé au système du prêt. Je te conseil le hors série du "monde" sur "l'Amérique d'Obama" ou la journaliste montre des jeunes obligés de rembourser des sommes incroyables alors même que les études ne sont pas finis. Ce sont les nouveau subprimes car la majorité des étudiants ne pourrons pas rembourser.

Bonjour,

Je ne suis pas professionnel de la santé, mais j'ai penser à une piste pour réduire les déserts médicaux en partant d'un constat.

Le constat: les professionnelles sont payer uniquement à la consultation(patient réel). C'est leur "seul" rémunération µQu'il ont: la rémunération à la consultation.

Un autre constat: On doit déjà déclarer un médecin traitant(ou médecin de famille).

Alors pourquoi ne pas changer la rémunération en rémunération mixte? C'est à dire une rémunération par patients potentielle plus par patient réel.

Si 200 personnes déclarent le docteur "Dupont" comme médecin traitant, Monsieur "Dupont" aurait 200 patients potentiel. Il recevrait donc "X" Euros/mois pour ses 200 patients, qu'ils consultent ou pas.

Après chaque fois que l'un d'entre eux consulte, Le docteur "Dupont" toucherait une somme pour sa consultation.

L'avantage le plus important est que dans une zone de 1000 Habitants ou exercent 4 médecins il y à(en moyenne mathématique) 250 habitants par médecins. Si un cinquième s'instale dans cette zone, il n'y aurat plus que 200 Habitants par médecins.

Par contre dans une deuxième zone toujours de 1000 habitants, ou il y aurait 1 médecin, si un deuxième s'installe il y aurait une moyenne mathématique de 500 habitants par médecins. Le fixe serait plus attractif.

Vous en temps que professionnelle de la santé, que pensez vous de cette idée brute? J'avoue que je suis très curieux d'entendre votre avis

j'ai formulé plusieurs fois cette idée, je suis content qu'elle fasse son chemin

economie/revalorisation-des-honoraires-des-medecins-t113229.html?hilit=medecin "..........j'ai une autre proposition pour rénumérer un médecin. 50% à l'acte, 50% avec un forfait proportionnel au nombre de malades qui l'ont choisi comme médecin référent........"

Tout en poussant les medecins à aller là où il en manque , cette formule ferait faire des économies considérables à la sécu , car les medecins ne multiplieraient plus les actes pour se faire un salaire. Avec la consult à 12 eu au lieu de 23, il ne ferait plus revenir les patients pour uniquement mettre du beurre dans les épinards.

Et le libre choix de son medecin serait toujours respecté.

Tiens! je n'avais pas vu votre message avant.

Cette idée, je l'ai vu en pratique aux Pays Bas, c'est ainsi que le système fonctionne là bas, de même que l'hôpital et la Pharmacie.

Je l'ai vu à l'oeuvre et çà marche plutôt bien. Là bas par contre, nous n'avons pas le chois directe du médecin. Les assurences sont privés(il y en à 3) et chacune d'entre elles signent des contrats avec les médecins. Alors si je veux le docteur Dupont, je choisis l'assurance qui à un contrat avec le docteur Dupont. On à donc le chois indirect.

Mais à partir de là on ne paye rien: pas un centime, l'assurance le fait pour nous, et ce pour 92€ par mois.

La Cour de cassation a réaffirmée que le libre choix du patient en matière médicale est une valeur cardinale du droit Français

je ne vois qu'une solution pour solutionner la desertification medicale: creer une LISTE COMPLEMENTAIRE des 1ers etudiants non reçus au concours de 1ere année de medecine et proposer de leur accorder le concours sous la condition de devoir exercer 5 ou 6 ou 7 ans dans une zone desertifiée.Ces etudiants seront trop contents d'avoir le concours et ne se poseront pas de probleme pour exercer ainsi.

En somme, des médecins au rabais ...? Pourquoi pas ? Mais sans le titre de docteur

Je crois que vs ne connaissez la 1ere année de medecine !!! entre le dernier reçu et celui qui ne l'est pas ça se joue a des centiemes de point ce qui n'a rien a voir avec la capacité intellectuelle a devenir medecin d'autant qu'on etudie les maths la physique la chimie etc etc...rien a voir avec la medecine . d'autant qu'aujourd'hui un medecin est autant un acteur social que medical ....

autre reflexion avant de critiquer les medecins sur la multiplication des actes personnes n'obligent les " clients !!" a aller les voir a chaque petits bobos!!!pour un oui ou un non. je pense aussi que le fait qu'on n'avance plus l'argent pour se faire soigner tout le monde en profite et ne realise pas le cout pour la secu .les gens sont prets a payer pour leur animal de compagnie mais pas pour leur propre santé !!!!

autre reflexion: Avant de critiquer les medecins sur la multiplication des actes personnes n'obligent les " clients !!" a aller les voir a chaque petits bobos!!!pour un oui ou un non. je pense aussi que le fait qu'on n'avance plus l'argent pour se faire soigner tout le monde en profite et ne realise pas le cout pour la secu .

Ceci est vrai!

les gens sont prets a payer pour leur animal de compagnie mais pas pour leur propre santé

ceci est faux car ils ont DEJA payé chaque mois pour la retraite des retraités actuels(on ne cotise pas pour SA retraite dans le principe de répartition!) et ils ont payé pour leur santé même si pas malades (62% de la masse salariale! Une paille!) donc normal qu'ils trouvent NORMAL de ne RIEN avoir à payer en PLUS. (ce qui va être de plus en plus rare car plus assez de cotisants a cause du chômage!)!

je suis farouchement opposé au système du prêt. Je te conseil le hors série du "monde" sur "l'Amérique d'Obama" ou la journaliste montre des jeunes obligés de rembourser des sommes incroyables alors même que les études ne sont pas finis. Ce sont les nouveau subprimes car la majorité des étudiants ne pourrons pas rembourser.
Voyons, il faut bien que l'individu qui accède à une profession quelconque rembourse d'une façon ou d'une autre ses frais d'études ?

Autrefois, il existait (dans les universités françaises) des "prêts d'honneur" remboursables sans intérêts au bout de 10 ans. Je vois pas où est le problème ?

La Cour de cassation a réaffirmée que le libre choix du patient en matière médicale est une valeur cardinale du droit Français

Et qui nous dit que le droit Français est bon sur ce sujet?

Solution à la désertification médicale: venir vivre en ville.

C'est une bonne solution . De faire comme dans la police ou l'armée . Les mieux notés choisissent l'endroit ou ils vont , les derniers prennent ce qu'il reste.

Solution sans coût et juste. Bref aucune chance que nos dirigeants y pensent.

Parce que les policiers ou les militaires sont des libéraux ? Dans la fonction publique hospitalière, cela marche déjà ainsi, les meilleurs choisissent leur poste et les derniers prennent ce qui reste.

Dans la fonction publique hospitalière, cela marche déjà ainsi, les meilleurs choisissent leur poste et les derniers prennent ce qui reste.

Normal , c'est juste la fonction NATURELLE des choses... Les belles femmes chic et sexy épousent des Ministres, des chirurgiens cotés et... FRIQUES de préférence pour des jolies vacances exotiques et des Noëls à la neige...

Les moches prennent ce qu'elles trouvent et regardent "plus belle la vie" sur l'écran plat à crédit au 12 ème étage d'une tour de béton armé avec ascenseur quand il marche pour se consoler de leur réalité et c'est ainsi que se passe la vie.

L'ÉGALITÉ est une utopie absolue.

Y a que l'éducation Nationale pour tenter de nous faire croire à ces balivernes.

Merci Papa Noel. :

Juste quelques réflexions en vrac:

YAYA: l'idée de prendre les 1ère année ayant ratés le concours de peu n'est pas une si bonne idée que ça pour une bonne raison: le choix de la spécialité ET du lieu d'exercice n'a pas lieu après la 1ère année comme certains ont l'air de penser, mais à la fin de la 6ème année ou tous les étudiants de France passent alors un même examen, l'ECN (Examen Classant National), qui les classe du 1er au 6345 par exemple. Ainsi, le premier choisira radiologie à Paris, par exemple, et le dernier Médecine Générale à Amiens.

Or, entre la 1ère année et la 6ème, bien des choses évoluent, et le classement de la 1ère année n'a rien à voir avec celui de la 6ème! Des gens reçus ric-rac en fin de 1ère année peuvent tout à fait être très bien classé en 6ème et inversement (c'est long 5ans d'études).

De plus, imposer spécialité ET lieu d'exercice dès la première année est le meilleur moyen d'avoir des médecins au rabais pour ces zones "désertes": quel intérêt de bosser dur 5 longues années si tout est écrit d'avance? Quelle motivation?

Autre élément: dans beaucoup de commentaires, on a l'impression que c'est l'argent qui fait fuir les médecins des campagnes. Erreur! Un médecin généraliste en zone rurale gagne beaucoup mieux sa vie qu'en ville, puisqu'il bosse énormément, et donc voit beaucoup de patient.

Le problème n'est pas l'argent, mais l'environnement. Un médecin généraliste fini sa formation à 28 ans au plus tôt s'il a réalisé un parcours sans faute. Il aura plus souvent 30ans. Avant d'ouvrir son cabinet, il fera généralement plusieurs années de remplacement pour se faire la main (on va dire entre 5 et 10 ans). Au moment de visser sa plaque, il aura donc 35-40ans, un conjoint et probablement des enfants. Le conjoint a souvent un boulot aussi, qu'il ne retrouvera pas forcement en zone rurale, et les enfants déjà des copains, des activités extra-scolaire etc...

Pourquoi diable ira-t-il dans un village que tout le monde fuit, ou il ne reste plus que quelques mamies à la moyenne d'âge avoisinant les 85ans? Plus d'écoles, plus de poste, plus de boulangerie, pas de clubs de sport pour les enfants, plus d'épicerie...

Sans oublier que près de 80% des jeunes étudiants sont des femmes... (l'armée met d'ailleurs des cotas d'homme dans les promos de médecins militaires).

Ne pas oublier que médecine est un très beau métier, mais un métier quand même. On peut adorer ce qu'on fait, "avoir la vocation", mais aspirer comme toute personne du 21ème siècle à une vie extra-professionnelle.

Deuxième chose: on parle souvent du fameux numerus clausus. Merci de ne pas accuser les médecins: Introduit en 1971, il a été drastiquement réduit durant des années (3500 places en 92-93 selon wiki) par les gouvernement successifs selon l'idée que moins de médecins=moins de dépense de santé. Il augmente depuis avec 7500 places en 2011-2012. Le problème est la formation: les facs sont surchargées, les terrains de stages disponibles envahis d'externe ayant de moins en moins de patients à charge, de moins en moins de gardes, et apprenant donc de moins en moins de choses. Les limites d'absorption et de formation sont déjà atteintes.

Bref, je ne vois pas beaucoup de solutions quoi... Ou alors, jouer sur l'esprit vénale des médecins (décrier par certains, mais présent chez tout homme à mon humble avis), et proposer une rémunération vraiment significativement supérieur (pour les raisons évoquées ci dessus) genre comme un anesthésiste par exemple... Mais je ne suis pas sûre que même ça soit efficace, parce que l'exode rural, c'est pas les médecins qui l'ont inventé...

Juste quelques réflexions en vrac:

YAYA: l'idée de prendre les 1ère année ayant ratés le concours de peu n'est pas une si bonne idée que ça pour une bonne raison: le choix de la spécialité ET du lieu d'exercice n'a pas lieu après la 1ère année comme certains ont l'air de penser, mais à la fin de la 6ème année ou tous les étudiants de France passent alors un même examen, l'ECN (Examen Classant National), qui les classe du 1er au 6345 par exemple. Ainsi, le premier choisira radiologie à Paris, par exemple, et le dernier Médecine Générale à Amiens.

Or, entre la 1ère année et la 6ème, bien des choses évoluent, et le classement de la 1ère année n'a rien à voir avec celui de la 6ème! Des gens reçus ric-rac en fin de 1ère année peuvent tout à fait être très bien classé en 6ème et inversement (c'est long 5ans d'études).

De plus, imposer spécialité ET lieu d'exercice dès la première année est le meilleur moyen d'avoir des médecins au rabais pour ces zones "désertes": quel intérêt de bosser dur 5 longues années si tout est écrit d'avance? Quelle motivation?

Autre élément: dans beaucoup de commentaires, on a l'impression que c'est l'argent qui fait fuir les médecins des campagnes. Erreur! Un médecin généraliste en zone rurale gagne beaucoup mieux sa vie qu'en ville, puisqu'il bosse énormément, et donc voit beaucoup de patient.

Le problème n'est pas l'argent, mais l'environnement. Un médecin généraliste fini sa formation à 28 ans au plus tôt s'il a réalisé un parcours sans faute. Il aura plus souvent 30ans. Avant d'ouvrir son cabinet, il fera généralement plusieurs années de remplacement pour se faire la main (on va dire entre 5 et 10 ans). Au moment de visser sa plaque, il aura donc 35-40ans, un conjoint et probablement des enfants. Le conjoint a souvent un boulot aussi, qu'il ne retrouvera pas forcement en zone rurale, et les enfants déjà des copains, des activités extra-scolaire etc...

Pourquoi diable ira-t-il dans un village que tout le monde fuit, ou il ne reste plus que quelques mamies à la moyenne d'âge avoisinant les 85ans? Plus d'écoles, plus de poste, plus de boulangerie, pas de clubs de sport pour les enfants, plus d'épicerie...

Sans oublier que près de 80% des jeunes étudiants sont des femmes... (l'armée met d'ailleurs des cotas d'homme dans les promos de médecins militaires).

Ne pas oublier que médecine est un très beau métier, mais un métier quand même. On peut adorer ce qu'on fait, "avoir la vocation", mais aspirer comme toute personne du 21ème siècle à une vie extra-professionnelle.

Deuxième chose: on parle souvent du fameux numerus clausus. Merci de ne pas accuser les médecins: Introduit en 1971, il a été drastiquement réduit durant des années (3500 places en 92-93 selon wiki) par les gouvernement successifs selon l'idée que moins de médecins=moins de dépense de santé. Il augmente depuis avec 7500 places en 2011-2012. Le problème est la formation: les facs sont surchargées, les terrains de stages disponibles envahis d'externe ayant de moins en moins de patients à charge, de moins en moins de gardes, et apprenant donc de moins en moins de choses. Les limites d'absorption et de formation sont déjà atteintes.

Bref, je ne vois pas beaucoup de solutions quoi... Ou alors, jouer sur l'esprit vénale des médecins (décrier par certains, mais présent chez tout homme à mon humble avis), et proposer une rémunération vraiment significativement supérieur (pour les raisons évoquées ci dessus) genre comme un anesthésiste par exemple... Mais je ne suis pas sûre que même ça soit efficace, parce que l'exode rural, c'est pas les médecins qui l'ont inventé...

D'accord avec vous sur tous les points.

D'accord avec vous sur tous les points.

Pas moi! TOUT ramener à l'argent est du suicide collectif.

La désertification de nos campagnes, de nos petites villes et villages provient uniquement du manque d'emplois offerts en ces endroits! Il n'y restent quasi plus que des retraités qui JUSTEMENT du fait de leur état de délabrement conséquence de l'âge, ont BESOIN de services de santé!

QUI aime vivre dans du béton? Pas grand monde! Mais POURQUOI y vivons nous? Car pas loin, y a une usine, du TRAVAIL, des bureaux, du TRAVAIL.

QUI doit organiser la vie de notre société? Les politique. Le font ils? NON.

Lorsque l'on constate cette désertification, on doit réagir et puisqu'il est question ici d'argent et non de qualité de vie, il est assez FACILE via une fiscalité maligne, d'inverser les choses.

C'est avant tout une question de volonté politique. L'hypertrophie de nos villes est un cancer très difficile à éradiquer. Lorsque je vois les environs de Paris et ces embouteillages PERMANENTS, cette essence gaspillée, ce gazole brûlé pour RIEN alors que nous devons l'importer, tout cela pour aller gribouiller ou taper sur un clavier au 6 ème étage d'une tour de verre dévoreuse d'énergie, je me dis qu'il n'y a vraiment plus de pilote dans l'avion depuis des lustres!

Cela n'est pas arrivé brutalement, donc cela ne se corrigera pas rapidement non plus.

Cependantn il FAUT le faire ou finir comme les Grecs... Nous n'avons pas trop le choix.

je suis farouchement opposé au système du prêt. Je te conseil le hors série du "monde" sur "l'Amérique d'Obama" ou la journaliste montre des jeunes obligés de rembourser des sommes incroyables alors même que les études ne sont pas finis. Ce sont les nouveau subprimes car la majorité des étudiants ne pourrons pas rembourser.

Le financement des études par un pret aurait au moins l'avantage d'attirer les étudiants sur l'opportunité de choisir telle ou telle filière. Ainsi, les étudiants seraient obligés de prendre en compte la finalité du diplome et les chances que cela mène à un emploi.

Il serait donc beaucoup plus cohérent et prudent de contracter un prêt pour financer des études en soins infirmiers qu'une licence en sciences du langage ou en ethnologie.

Voila en tant que profesionnel de la santé je ne vois qu'une solution pour solutionner la desertification medicale: creer une LISTE COMPLEMENTAIRE des 1ers etudiants non reçus au concours de 1ere année de medecine et proposer de leur accorder le concours sous la condition de devoir exercer 5 ou 6 ou 7 ans dans une zone desertifiée.Ces etudiants seront trop contents d'avoir le concours et ne se poseront pas de probleme pour exercer ainsi.C'est du donnant /donnant .Chaque faculté de medecine pourra definir le nombre d'etudiants necessaire pour ces zones desertes .Et meme les mairies pourront aider les etudiants en question.. 8)

j'ai soumis cette idée au ministere de la santé.....

les campagnes vont se plaindre qu'elles reçoivent des médecins de seconde zone

Je préfère un service médicinal obligatoire à tout médecin recevant son diplôme, si on l'étend à tous, 2 ans devraient suffire, non ?

OUI je le pense aussi et beaucoup choisiraient de rester si émergence d'activités diverses.

Votre théorie ne marche pas Eukini puisque la concentration d'entreprise permet de creer de l'emploi en faisant des poles économiques à caractère internationale.

Des poles économiques associant université et centre de recherche privée pour optimiser le secteur R/D ainsi que des zones de productions.

Donc je suis pas sur que si vous mettez une unité de production de SAFRAN à saint pierre sur Dropt le centre de recherche à saint benoit la foret, et je sais pas un centre de commercialisation et de visite pour présenter les produits aux acheteurs étrangers a villeperdu....la dynamique de l'entreprise sera la même

D'accord avec Orques seule l'apat d'un gains vraiments conséquent pourrait marcher pour certains

Je préfère un service médicinal obligatoire à tout médecin recevant son diplôme, si on l'étend à tous, 2 ans devraient suffire, non ?

J'ai peur que certains médecins (ou plutôt certaines) dont le conjoint gagne suffisamment bien sa vie restent 2 ans à ne pas travailler pour ne pas aller à la campagne et ainsi le problème du manque de médecins risque de s'accroitre.