... oui il y en a un peu, mais obligatoirement dans le secteur pour lequel tu as été formé :!
Le lien que tu nous fournis est relativement précis sur ce point
La France compte plus de 3 millions de chômeurs. On estime pourtant à 250 000 le nombre d’emplois non pourvus dans notre pays.
Les uns vous diront que Pôle Emploi ne remplit pas son rôle. Les autres vous expliqueront que les chômeurs ne veulent pas vraiment travailler. Peu importe la théorie avancée, le marché de l’emploi se trouve dans une situation aussi ridicule que paradoxale. La France compte actuellement 3 millions de chômeurs mais également 250 000 emplois non pourvus.
Ce chiffre, colossal, peut être atténué. Selon Pôle Emploi, il pourrait correspondre, en partie, aux 10% d’offres non-satisfaites qui arrivent sur les bureaux de l’agence pour l’emploi. Celle-ci estime également que 38% des postes à pourvoir sont des « embauches difficiles », compliquant ainsi la recherche de candidats. Sont également comptabilisés dans les emplois non pourvus, des postes déjà occupés mais pour lesquels une recherche de candidats est en cours.
Mais même réajustée, cette donnée reste un énorme point noir du marché du travail. Elle souligne la difficulté inhérente à la mise en relation des différents acteurs de l’emploi que sont l’Ecole, les travailleurs et les entreprises.
Les différentes études concernant l’embauche dans notre pays prouve que de nombreux secteurs d’activités sont à la recherche de main-d’œuvre.
Restauration, hôtellerie et services à la personne
La restauration et l’hôtellerie sont notamment les principaux pourvoyeurs de CDI. Les entreprises de restauration rapide McDonald’s et Quick font même partie des plus gros créateurs d’emplois en France depuis plusieurs années maintenant. La restauration « traditionnelle » garde également un gros potentiel, des serveurs et des apprentis en cuisine étant très demandés.
Les services à la personne, l’animation socioculturelle, les aides à domicile et les métiers du sanitaire et social sont actuellement des secteurs porteurs d’emplois auxquels viennent s’ajouter des branches d’activités dont le potentiel ne faiblit pas tels que le marketing, le commerce, l’immobilier ainsi que les banques et les assurances. En pleine croissance, le monde du luxe – dont la France est le leader – continue de recruter malgré la crise.