La réalité de personnes assistées et au combien fainéantes, je m'en contrefiche. Du boulot il y en a, il suffit simplement de se lever le matin, de se raser, de bien s'habiller, de lire les petites annonces sur le journal/internet, d'appeler les numéros sélectionnés, de passer chez un photocopieur et d'imprimer son CV avec une lettre de motivation (écrite en langue française) et de partir dans la ville et entrer déposer des CV dans chaque société préalablement sélectionnée qui offre des emplois dans la branche que l'on recherche. Et répéter cette opération tous les jours de la semaine. Le soir, envoyer des tas de mails avec CV et lettre de motivation.
Jusqu'a nouvelle ordre vous étiez médecin aux Etats-Unis. Au vu de la longueur des études de médecines, de votre degré de qualification qui semble important puisque vous pouvez vous délocaliser, je serais curieux a quel moment de l'âge adulte vous avez connu le chômage. Je me demande également si vous avez eu le bonheur d'avoir fait parti d'un corps de métier, dont le secteur s'est effondré, je me demande si vous avez eu à postuler a des postes ou les candidats se comptent par centaines.
Enfin, concernant les annonces, sachez qu'elles demandent et qualifications et expériences en général ce qui diminue de manière extrêmement drastique les annonces utiles, enfin, quand vous commencez à avoir des points négatifs dans votre personne ( âge, laideur, obésité, femme trentenaire n'ayant pas encore procréer, surqualification...) ou votre carrière ( période de chômage, reconversion etc...) vos chances diminuent encore.
Bref, vous êtes à côté de la plaque et particulièrement mesquin, du boulot ce n'est pas "simple" d'en trouver, même pour les gens courageux qui acceptent et de bouger et de se disqualifier et de faire des boulots de merde. Vous n'imaginez pas ce que les gens sont capables de sacrifier pour travailler, sinon, vous ne tiendriez pas des propos si abjets.
Je n'ai jamais dit que j'étais médecin aux USA. Je suis actuellement en DCEM4 (6ème année) d'études. Si je fais le choix de ce boulot c'est parce que je sais pertinemment qu'on aura toujours besoin de médecins: j'anticipe.
Je n'ai jamais connu le chômage. Ma mère a été au chômage. Mon amie a été au chômage. Des proches ont été au chômage et c'est à force de démarcher qu'ils ont trouvé rapidement des emplois.
Vous me parlez de corps de métier dont le secteur s'est effondré. Je le conçois. Mais je pars du concept que lorsqu'on se rend compte que dans notre secteur il n'y a pas/peu/plus de débouchées, il faut (je reconnais que ce n'est pas facile) changer de secteur d'activité. Prendre un virage à 180°. Bien sur en fonction des offres disponibles dans son secteur géographique.
Après vous me parlez d'offres qui demandent qualification et expérience. Pour les qualifications, c'est simple, il suffit d'aller à l'école. Si ensuite vous n'avez pas eu de diplômes mais seulement gravit les échelons un par un dans la boite, il existe la VAE. Pour l'expérience, mis à part pour les jeunes qui entrent dans la vie active vous êtes censé en avoir. Pour les jeunes, il faut faire des stages, encore et toujours, en se donnant à 1000%. C'est certain que ce n'est pas forcément au premier, au deuxième ou au 6ème stage que vous aurez un CDD ou un CDI, mais en accumulant les stages et donc l'expérience, vous pourrez prétendre à plus d'offres.
Mon pauvre mais tu es loin, très loin de la réalité ! je ne sais où tu habites ( sans aucun doute en rase campagne )
S'il suffisait de faire ce que tu décris pour trouver un emploi cela se saurait tu ne crois pas ! Se moquer de quelqu'un qui a perdu son emploi parce que son patron a délocalisé sa boîte pour gagner plus de fric est absolument ignoble !
De tout temps il y a eu des "chômeurs professionnels" mais dire que nous avons 4,5 millions de fainéants c'est un peu gros et surtout très peu connaître la réalité de l'emploi !
Il est vrai que Marseille est un petit village
Je ne me moque de personne, je dis simplement que du boulot il y en a. Plus que ce que vous voulez nous faire croire. Oui il y a des entreprises qui délocalisent alors qu'elles se font un tas de fric mais il s'agit là d'une minorité. Combien d'emplois sont délocalisés en rapport avec le nombre d'emplois sur le sol français? Une misère. Vous me parlez de l'exception. Je vous parle de réalité.