Exemple d'un kinékon, qui déshonore non seulement le salafisme, mais en vrac :
- l'islam et le sunnisme ;
- la France et Marseille ;
- ses origines algériennes et probablement, comme tous les abrutis salafistes d'origine maghrébine semblent en provenir, l'Algérois ;
- la rébellion syrienne.
Amer el-Khedoud, 50 ans, est l’un des rares Français à dormir depuis neuf mois dans une prison de Damas. Il se revendique salafiste et affirme n’avoir jamais guerroyé ailleurs qu’en Syrie. D’origine algérienne et domicilié à Marseille, ce père de six enfants a été arrêté par l’armée régulière non loin d’Alep. « J’avais décidé de combattre aux côtés de mes frères après avoir beaucoup pleuré en regardant la télévision », dit-il. En mai 2012, il achète un billet d’avion sur Internet et s’envole pour Antakya, en Turquie, à l’insu de sa famille. Il rejoint un groupe de rebelles « beaucoup plus jeunes », participe à deux séances de tir et franchit la frontière. « On m’a donné une kalachnikov et j’ai marché toute la nuit », poursuit-il. Mais l’expérience tourne court. « Je n’ai jamais vu un seul ennemi. Je me suis senti inutile. » Au bout de deux semaines, il abandonne son arme et regagne la frontière. Il arrive dans un village occupé par des civils en armes. Il les prend pour des rebelles. Et se fait appréhender. A-t-il été torturé ? « On a prononcé des paroles brutales », élude-t-il. Son espoir ? Une grâce et un retour dans la cité phocéenne. (2013, Le Point 2109, 54)
Il se revendique salafiste et affirme n’avoir jamais guerroyé ailleurs qu’en Syrie.
Guerroyé nulle part, en fait.
père de six enfants
Irresponsable comme il est, on se demande à quoi ressemblent ses enfants.
« J’avais décidé de combattre aux côtés de mes frères après avoir beaucoup pleuré en regardant la télévision », dit-il.
Pour violer et égorger de petites chrétiennes et de petites alaouites ?
En mai 2012, il achète un billet d’avion sur Internet et s’envole pour Antakya, en Turquie, à l’insu de sa famille. Il rejoint un groupe de rebelles « beaucoup plus jeunes », participe à deux séances de tir et franchit la frontière. « On m’a donné une kalachnikov et j’ai marché toute la nuit », poursuit-il.
A part ça, la Turquie et le camp pro-occidental ne participent pas à la rébellion syrienne...
« Je n’ai jamais vu un seul ennemi. Je me suis senti inutile. » Au bout de deux semaines, il abandonne son arme et regagne la frontière.
Belle constance, belle résolution. Comme avec sa cellule familiale.
Il arrive dans un village occupé par des civils en armes. Il les prend pour des rebelles. Et se fait appréhender.
Illustrant la finesse de la compréhension franco-salafiste de la rébellion syrienne.
A-t-il été torturé ? « On a prononcé des paroles brutales », élude-t-il.
Pauvre chat. Il s'en tire bien. A-t-il pleuré comme devant sa télé ?
Son espoir ? Une grâce et un retour dans la cité phocéenne.
Eh ! La Phocéenne n'est pas une fosse septique !