En france tabasser ses gamins porte le nom d'éducation. En quoi les coups, les humiliations, les insultes permettent d'avancer réellement dans la vie ?
Qui parle de tabasser ses gosses a part le pervers que vous êtes qui assimilez une baffe ou une fessée à un tabassage? Grosse ficelle rhétorique qui, dans le contexte, souligne surtout le fait que vous ne connaissez rien, mais alors, rien aux questions éducatives.
Je vous cite:
Lever la main sur ses enfants est toujours un geste grave, une non-maitrise de soi, dont les conséquences physiques et psychologiques resteront toujours sous-évaluées.
En l'occurence c'est vous qui dramatisez toute coercition physique fut-ce symbolique en l'assimilant à de la violence. Hors une limite physique donné à un enfant n'est de la violence que dans votre esprit de malade mental.
Je n'arrive même pas à saisir le point de dégénérescence où il vous faut descendre pour faire ce genre de raccourci complétement irrationnel dans le seul but, me semble-t-il, soit de polémiquer soit de se regarder dans un miroir en disant "wahou! moi je suis bien les autres non."
Il n'y a pas une seule et bonne manière d'élever des gosses mais un ensemble de pratiques a peu près adaptés qui vont permettre qu'un gosse arrive à l'âge adulte avec les moyens physiques, psychiques et émotionnels qui lui permettrons de suivre son chemin.
De fait, vous êtes parfaitement irresponsable et, globalement, nuisible a la saine évolution de la société et de la bonne éducation des gosses car si certaines personnes n'ont, dans la vie de leur gosse qu'a leur filer une baffe, deux ou pas du tout, tant mieux, mais ceux qui en filent une vingtaine voir une trentaine, ça va pas chier loin et le môme s'en sortira probablement mieux que les pauvres gosses sans limites qu'on voit y aller à la drogue, au cul et à l'alcool dès leur quinze ans.
Et je ne parle même pas de ceux qui sont élevés a l'autoculpabilisation leur faisant internaliser une image néantisée d'eux même via le chantage affectif et tout ce genre de saloperies.
Bref, au lieu de vouer aux gémonies les éducations qui se servent de la fessée et de la gifle vous feriez mieux d'ouvrir les yeux et d'être un peu pratique.
Professionnellement, j'ai bossé dans la protection de l'enfance. Je sais parfaitement ce qu'est la violence physique, morale, sexuelle ou psychologique et des mômes détruits de toutes les manières possible, j'ai passé des années de ma vie à bosser avec, alors vos espèces de postures ridicules elles m’écœurent tellement elles sont contraires au réel et, ce, seulement pour des questions idéologiques et politiques sans lien aucun avec la réalité du terrain. Les cons qui citent des psychologues et autres psychiatres opposés a la fessée ne sont, certainement, jamais aller interroger les travailleurs sociaux, psychologues et psychiatres qui exercent dans le cadre de la protection de l'enfance au niveau judiciaire ils n'y auraient pas trouvé d'alliées pour aller dans le sens de leurs présupposés imbéciles.
Avec ce genre de position de principe qui est la vôtre vous apparaissez dans toute votre médiocrité morale de part votre mépris, finalement, du bien-être de l'enfant et de l'adolescent, sacrifiable a vos phantasmes idéologiques.
Que de superlatifs et de compliments. Merci !
Le réel est donc la violence et la philosophie des coups de pieds au c... ? Dans quel organisme de protection de l'enfance vous avez travaillé ? L'intégrité du corps de l'enfant çà vous dit quelque chose ?
Où vous voyez de l'idéologie dans le fait de dire que lever la main sur ses enfants est un geste grave ?
Il n'y a pas de petite fessée, car on inculque un principe de sévice, d'abord destructeur sur le plan moral. C'est la solution de facilité. Il est beaucoup plus exigent de créer un dialogue et un climat de confiance propice à l'éveil intellectuel, propice à la responsabilisation et donc au comportement. Mais cela demande de l'amour et du temps, à contrario d' un soulagement personnel lâche, indigne et risqué.