Tu es bien gentil, Ci-Devant , mais là : tu es "à côté de la plaque".. :(

Le sionisme ne date que de la fin du XIX ème siècle..

C'est évidemment faux, la terminologie date effectivement de cette période, mais l'idée même du sionisme et de son talmud est bien antérieure à cette date. Évidemment, si vous prenez vos sources dans wikipédia et la définition sioniste du sionisme, on ne peut pas s'entendre. L'Église vaticane et les théologiens catholiques avaient depuis longtemps repéré le phénomène.

Entre autres :

Le pape Innocent III en 1205 déclare que certains juifs feraient part « de la Malignité de la souris dans la poche, du serpent autour des reins. »

Il faut voir les textes concernant le procès du talmud en 1240, c'est édifiant.

En 1286 et 1320, Honorius IV et Jean XXII ordonnent de brûler le Talmud.

En 1553, Jules III ordonne de brûler le Talmud dans toute l’Italie.

En 1775, Pie VI commence son pontificat sous le signe de l’intolérance en condamnant l’irréligion, l’impiété et l’athéisme. Le Pape cherche à stopper la vague de libéralisme qui se manifeste en Europe. Pour lui, il n’est donc pas question d’accorder le moindre répit aux Juifs.

En 1848, Pie IX prend la mesure libérale d’enlever les portes du Ghetto de Rome. Mais suite au soulèvement maté pour instaurer la république, le Pape devient furieux envers les Juifs qui se sont montrés trop favorables à la révolution et qui, à ses dires, en sont à l’origine. Il rétablit le ghetto.

Il existe des tonnes de livres d'abbés et de moines qui datent de bien avant le XIXè Siècle et qui abordent ce sujet.

PS: concernant les fautes d'orthographe, je ne peux que battre ma coulpe, même si considérer qu'un ancien prof de maths ne doit pas faire de fautes en rapport à son métier, c'est prendre les profs pour des robots; d'autant que je fais assez peu de fautes comparé à la plupart des gens d'aujourd'hui.

Enfin, et pour finir sur ce sujet, je pense que la 3ème guerre mondiale éclatera en réponse à ce courant de pensée puissant puisque chacun commence à le comprendre, l'objectif final de cette idéologie est de soumettre la Terre entière sous la coupe d'un gouvernement mondial qui aura Jérusalem comme capitale.

Jérusalem est chrétienne, il est temps de se la réapproprier

Franchement vous êtes sérieux ? :

Et oui ! Il s'agit pour les sionistes de préparer l'arrivée du libérateur Machiah et la reconstruction du troisième temple de Jérusalem.

Exemple flagrant de sionisme télévisuel :

wr_yHoUTMEo

Auparavant, Jérusalem avait souffert des Perses.

et par la suite des Ottomans ...

Oui avec Nabuco..

Et pas de sionistes en ces temps là ! :

Auparavant, Jérusalem avait souffert des Perses.

et par la suite des Ottomans ...

Oui avec Nabuco..

Et pas de sionistes en ces temps là ! :

Vous mélangez tout... une vraie rhétorique de sioniste !

Auparavant, Jérusalem avait souffert des Perses.

et par la suite des Ottomans ...

Plutôt les Seldjoukides.

Puis les Croisés.

L'Empire Ottoman date de 1299.

Auparavant, Jérusalem avait souffert des Perses.

et par la suite des Ottomans ...

Plutôt les Seldjoukides.

Puis les Croisés.

L'Empire Ottoman date de 1299.

Certes mais les deux autres n'ont fait que passer... les ottomans eux sont restés

Les Etats latins d'Orient ont duré des décennies.

Tu es bien gentil, Ci-Devant , mais là : tu es "à côté de la plaque".. :(

Le sionisme ne date que de la fin du XIX ème siècle.. :

Oui mais, c’est le sionisme que tu connais -l’idéologie ‘’moderne’’ et, au demeurant laïque, celle de Herzl et Jabotinski.

Evidement mon cher Lulu la praline que cette idéologie est bien antérieur à la fin du XIX ème siècle, David Reubéni sous Joao 1 er du Portugal pensait déjà libérer Jérusalem des Ottomans. Acte manqué.

On peut même dire que le sionisme messianique précède celui politique, le premier cité prend forme dés 135 après Jésus.

@ Royaliste.

Il ne me semble pas qu’il existe un shiisme au sein même du judaïsme mais, différents courants.

Quant aux ashkénazes ; vous divaguez !

La conversion des Khazars n’a concerné que les princes et une partie de la classe aristocratique de ce Royaume.

La présence des juifs en Europe de l’Est de langue allemande est antérieure à la conversion des Khazars, par conséquent un Lévi ou un Cohen de Prague ou de Vienne à le même marqueur génétique que son homonyme originaire d’Iran ou d’Afrique du nord.

Mais ils sont indiscutablement différents physiquement parlant... d’où la thèse du métissage.

Il y a évidement métissage, c’est un fait, au même titre qu’il y a eu aussi métissage chez les juifs orientaux, comment expliquer alors, des blonds et des yeux clairs chez ces derniers ?

Quant aux ashkénazes ; vous divaguez !

La conversion des Khazars n’a concerné que les princes et une partie de la classe aristocratique de ce Royaume.

La présence des juifs en Europe de l’Est de langue allemande est antérieure à la conversion des Khazars, par conséquent un Lévi ou un Cohen de Prague ou de Vienne à le même marqueur génétique que son homonyme originaire d’Iran ou d’Afrique du nord.

Dans tous les cas, le peuple Juif ne s'est jamais défini comme un "race".

La différence entre les deux est plus ou moins expliquée dans une critique du livre de Shlomo Sand : http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/archive/2009/03/29/le-negationnisme-de-shlomo-sand-demonte-par-eric-marty.html

Sand présente le fait qu'il n'y a pas de race juive comme une découverte qui fait du peuple juif une invention historique. Mais ce faisant, il confond deux catégories étrangères l'une à l'autre, celle de "race" et celle de "peuple". La tradition d'Israël n'est pas une tradition raciale comme la Bible l'atteste (l'épouse non juive de Moïse, Séphora, Ruth, l'étrangère, ancêtre du roi David), tradition perpétuée par l'actuel Israël, comme tout visiteur peut le constater en admirant dans le peuple juif son extraordinaire pluralité : juifs noirs, jaunes, blancs, orientaux, blonds, bruns... La substitution race/peuple est révélée par le titre : Comment le peuple juif fut inventé... Or tout le livre consiste à vouloir prouver que les juifs actuels ne sont pas "génétiquement" les descendants des Hébreux.

Peuple unique en ce qu'il est fondamentalement logocentrique - lié au langage, lié au nom - et textocentrique, lié à un texte : la Torah. Que la filiation soit constitutive du peuple juif ne peut apparaître comme un élément ontologique. Le principe de filiation n'est que la régulation civile de l'existence historique de ce peuple, des conditions de possibilité d'une perpétuation qui autorise son inscription dans le temps chronologique, dans le temps de l'histoire humaine. Voilà pourquoi il y a un peuple juif, voilà pourquoi il n'y a pas de "race juive", même s'il est patent que les Cohen et les Lévy du monde entier ont quelques liens incarnés. C'est ce qu'on peut appeler très simplement la facticité juive : le fait d'être juif.

Le livre de Sand manifeste là l'indigence de son "épistémologie". Sand est un "moderne". Il voudrait devenir le Michel Foucault du XXIe siècle. Il espère, en proclamant que le peuple juif est une "invention du XIXe siècle", reproduire, en le mimant, le Foucault de jadis affirmant que l'homme était "une invention récente". Mais, pour Foucault, il était fondamental, à l'intérieur du discours philosophique moderne même, de réfléchir méthodiquement à cette "invention" dans les savoirs - l'homme - et de la déconstruire.

Or c'est sur ce point que le livre de Sand se révèle vide. Car s'il dénie aux juifs une aspiration, qu'ils n'ont jamais eue comme peuple, à se constituer en race, il ne déconstruit pas la notion de race. Au contraire, il lui confère, à dessein ou non, un statut de vérité qui se donne comme vérité ultime. En effet, la conclusion, proprement perverse, de son livre est d'attribuer au peuple palestinien ce qui a été dénié aux juifs, à savoir qu'ils sont - eux, les Palestiniens - les vrais descendants génétiques des Hébreux originaires !

Cet épilogue est le révélateur de la finalité du livre. On y trouve le principe mythologique de l'inversion dont le peuple juif est la victime coutumière : les juifs deviennent des non-juifs et les Palestiniens les juifs génétiques. On peut, dès lors, en déduire qui est l'occupant légitime du pays. En ne déconstruisant pas radicalement la notion d'héritage génétique, en en faisant, au contraire, bénéficier le peuple palestinien, Sand révèle tout l'impensé qui obscurément pourrit ce qu'il tient pour être une entreprise libératrice. Il montre que la méthode substitutive qu'il emploie est tout simplement mystificatrice, et ce d'autant plus qu'elle voudrait être au service de l'entente entre les ennemis.

Nier l'identité juive est une vieille marotte, aujourd'hui parasite obstiné de la pensée contemporaine. D'où vient ce vertige du négatif ? On l'aura compris en lisant le livre de Shlomo Sand : d'un désir obscur de faire des juifs de purs fantômes, de simples spectres, des morts-vivants, figures absolues et archétypales de l'errance, figures des imposteurs usurpant éternellement une identité manquante. Eternelle obsession qui, loin de s'éteindre, ne cesse de renaître avec, désormais, un nouvel alibi mythologique : les Palestiniens.

http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/archive/2009/03/29/le-negationnisme-de-shlomo-sand-demonte-par-eric-marty.html

Sand présente le fait qu'il n'y a pas de race juive comme une découverte qui fait du peuple juif une invention historique. Mais ce faisant, il confond deux catégories étrangères l'une à l'autre, celle de "race" et celle de "peuple". La tradition d'Israël n'est pas une tradition raciale comme la Bible l'atteste (l'épouse non juive de Moïse, Séphora, Ruth, l'étrangère, ancêtre du roi David), tradition perpétuée par l'actuel Israël, comme tout visiteur peut le constater en admirant dans le peuple juif son extraordinaire pluralité : juifs noirs, jaunes, blancs, orientaux, blonds, bruns... La substitution race/peuple est révélée par le titre : Comment le peuple juif fut inventé... Or tout le livre consiste à vouloir prouver que les juifs actuels ne sont pas "génétiquement" les descendants des Hébreux.

Peuple unique en ce qu'il est fondamentalement logocentrique - lié au langage, lié au nom - et textocentrique, lié à un texte : la Torah. Que la filiation soit constitutive du peuple juif ne peut apparaître comme un élément ontologique. Le principe de filiation n'est que la régulation civile de l'existence historique de ce peuple, des conditions de possibilité d'une perpétuation qui autorise son inscription dans le temps chronologique, dans le temps de l'histoire humaine. Voilà pourquoi il y a un peuple juif, voilà pourquoi il n'y a pas de "race juive", même s'il est patent que les Cohen et les Lévy du monde entier ont quelques liens incarnés. C'est ce qu'on peut appeler très simplement la facticité juive : le fait d'être juif.

Le livre de Sand manifeste là l'indigence de son "épistémologie". Sand est un "moderne". Il voudrait devenir le Michel Foucault du XXIe siècle. Il espère, en proclamant que le peuple juif est une "invention du XIXe siècle", reproduire, en le mimant, le Foucault de jadis affirmant que l'homme était "une invention récente". Mais, pour Foucault, il était fondamental, à l'intérieur du discours philosophique moderne même, de réfléchir méthodiquement à cette "invention" dans les savoirs - l'homme - et de la déconstruire.

Or c'est sur ce point que le livre de Sand se révèle vide. Car s'il dénie aux juifs une aspiration, qu'ils n'ont jamais eue comme peuple, à se constituer en race, il ne déconstruit pas la notion de race. Au contraire, il lui confère, à dessein ou non, un statut de vérité qui se donne comme vérité ultime. En effet, la conclusion, proprement perverse, de son livre est d'attribuer au peuple palestinien ce qui a été dénié aux juifs, à savoir qu'ils sont - eux, les Palestiniens - les vrais descendants génétiques des Hébreux originaires !

Cet épilogue est le révélateur de la finalité du livre. On y trouve le principe mythologique de l'inversion dont le peuple juif est la victime coutumière : les juifs deviennent des non-juifs et les Palestiniens les juifs génétiques. On peut, dès lors, en déduire qui est l'occupant légitime du pays. En ne déconstruisant pas radicalement la notion d'héritage génétique, en en faisant, au contraire, bénéficier le peuple palestinien, Sand révèle tout l'impensé qui obscurément pourrit ce qu'il tient pour être une entreprise libératrice. Il montre que la méthode substitutive qu'il emploie est tout simplement mystificatrice, et ce d'autant plus qu'elle voudrait être au service de l'entente entre les ennemis.

Nier l'identité juive est une vieille marotte, aujourd'hui parasite obstiné de la pensée contemporaine. D'où vient ce vertige du négatif ? On l'aura compris en lisant le livre de Shlomo Sand : d'un désir obscur de faire des juifs de purs fantômes, de simples spectres, des morts-vivants, figures absolues et archétypales de l'errance, figures des imposteurs usurpant éternellement une identité manquante. Eternelle obsession qui, loin de s'éteindre, ne cesse de renaître avec, désormais, un nouvel alibi mythologique : les Palestiniens.

Sand n’a pas tort sur toute la ligne, quant il dit que les juifs actuels ne sont pas tous des descendants des hébreux antiques, cela est une évidence.

Je rebondissais juste sur le fait que ''tous les ashkénazes seraient des descendants des Khazars''.

@ Royaliste.

Il ne me semble pas qu’il existe un shiisme au sein même du judaïsme mais, différents courants.

Quant aux ashkénazes ; vous divaguez !

La conversion des Khazars n’a concerné que les princes et une partie de la classe aristocratique de ce Royaume.

La présence des juifs en Europe de l’Est de langue allemande est antérieure à la conversion des Khazars, par conséquent un Lévi ou un Cohen de Prague ou de Vienne à le même marqueur génétique que son homonyme originaire d’Iran ou d’Afrique du nord.

Vous avez raison sur les ashkénazes, j'aurais du être plus nuancé sur ce point. Mea culpa, mea maxima culpa

Concernant le schisme, je suis plus affirmatif, il suffit de voir les propos de certains juifs diasporiques à propos du sionisme, il y a une différence quasi-complète en ce qui concerne le spirituel et le temporel.

Voici l'enseignement d'un rabbin antisioniste qui est très éclairant sur la réalité des choses :

MqS-LJyeofc

Sur ce thème, je conseille les livres suivants :

Le printemps des sayanim - Jacob Cohen

Les Mythes fondateurs de la politique israélienne - Roger Garaudy

Autoémancipation ! : Avertissement d'un Juif russe à ses frères - Léon Pinsker

Ces livres permettent d'avoir un bon regard sur tout ce qui concerne le sionisme, son histoire et le fossé qui le sépare du judaïsme traditionnel.

@ Royaliste.

Il ne me semble pas qu’il existe un shiisme au sein même du judaïsme mais, différents courants.

Quant aux ashkénazes ; vous divaguez !

La conversion des Khazars n’a concerné que les princes et une partie de la classe aristocratique de ce Royaume.

La présence des juifs en Europe de l’Est de langue allemande est antérieure à la conversion des Khazars, par conséquent un Lévi ou un Cohen de Prague ou de Vienne à le même marqueur génétique que son homonyme originaire d’Iran ou d’Afrique du nord.

Vous avez raison sur les ashkénazes, j'aurais du être plus nuancé sur ce point. Mea culpa, mea maxima culpa

Concernant le schisme, je suis plus affirmatif, il suffit de voir les propos de certains juifs diasporiques à propos du sionisme, il y a une différence quasi-complète en ce qui concerne le spirituel et le temporel.

Voici l'enseignement d'un rabbin antisioniste qui est très éclairant sur la réalité des choses :

MqS-LJyeofc

Sur ce thème, je conseille les livres suivants :

Le printemps des sayanim - Jacob Cohen

Les Mythes fondateurs de la politique israélienne - Roger Garaudy

Autoémancipation ! : Avertissement d'un Juif russe à ses frères - Léon Pinsker

Ces livres permettent d'avoir un bon regard sur tout ce qui concerne le sionisme, son histoire et le fossé qui le sépare du judaïsme traditionnel.

Mais certains orthodoxes ne peuvent être qu’en désaccord avec des juifs sionistes et laïques, cela peut se comprendre aisément non ?

Mais de dire qu’il y a un shiisme dans la religion juive sur un plan théologique est absolument faux, le dernier réel shiisme religieux remonte à Paul de Tarse et, par voie de conséquence à la naissance du Christianisme.

Voici l'enseignement d'un rabbin antisioniste qui est très éclairant sur la réalité des choses :

MqS-LJyeofc

.

Que ce soi-disant Rabbin ne soit pas d’ accord avec la politique laïque menée par les différents partis de la politique israélienne est somme toute assez logique.

Mais quant il dit que le peuple juif n’ a rien à faire en Israël, il semblerait sur un plan théologique (j’entends), que ce soit inéluctable.

Voici, je les ramène du pays du septentrion, je les rassemble des extrémités de la terre ; Parmi eux sont l'aveugle et le boiteux, La femme enceinte et celle en travail ; c'est une grande multitude, qui revient ici ". (Jer. 31/8)

A moins que cet érudit en Thora contredise les prophéties de Jérémie et d’ Esai.

Mais certains orthodoxes ne peuvent être qu’en désaccord avec des juifs sionistes et laïques, cela peut se comprendre aisément non ?

Mais de dire qu’il y a un shiisme dans la religion juive sur un plan théologique est absolument faux, le dernier réel shiisme religieux remonte à Paul de Tarse et, par voie de conséquence à la naissance du Christianisme.

Vous avez raison dans le sens où le schisme dont je parle n'est pas finalisé ni théorisé théologiquement, il est en cours de maturation; cela provient, d'après moi, du fait que la plupart des sionistes n'ont pas la volonté d'affirmer leurs différences mais qu'ils veulent asseoir leur légitimité et leur suprématie à l'intérieur de leur religion en éradiquant l'orthodoxie... pour qu'il y ait un schisme complet, il faudrait que les réformateurs aient une volonté d'indépendance, ce que les sionistes n'ont pas vis-à-vis du judaïsme. C'est un peu comme si St Paul de Tarse à l'époque avait voulu imposé les évangiles et le Christ dans le dogme judaïque, ce qu'il a d'ailleurs essayé de faire (Cf les épitres) mais qui a échoué partiellement et qui a fini par le schisme des chrétiens.

C'est ainsi qu'on se retrouve ici à discuter de la différence entre sémitisme, sionisme et judaïsme orthodoxe qui est pourtant on ne peut plus clair pour qui se penche sur le problème.

Il est à noter qu'il existe un problème quasi-similaire, mais à moins grande échelle et à l'envers, au sein de l’Église catholique avec la fraternité St Pie X, qui est en quasi-schisme avec l’Église de Rome suite au concile Vatican II. Dans ce cas, ce sont les catholiques traditionalistes qui ont créé la rupture avec le courant majoritaire progressiste. Cela pourrait bien arriver aussi chez les juifs, plusieurs hypothèses sont envisageables.

Excusez les approximations, je ne suis qu'un profane en ce qui concerne la théologie judaïque... mais cette question m'intéresse car elle est selon moi à l'origine de la plupart des hérésies modernistes actuelles.

Vous avez raison dans le sens où le schisme dont je parle n'est pas finalisé ni théorisé théologiquement, il est en cours de maturation; cela provient, d'après moi, du fait que la plupart des sionistes n'ont pas la volonté d'affirmer leurs différences mais qu'ils veulent asseoir leur légitimité et leur suprématie à l'intérieur de leur religion en éradiquant l'orthodoxie... pour qu'il y ait un schisme complet, il faudrait que les réformateurs aient une volonté d'indépendance, ce que les sionistes n'ont pas vis-à-vis du judaïsme. C'est un peu comme si St Paul de Tarse à l'époque avait voulu imposé les évangiles et le Christ dans le dogme judaïque, ce qu'il a d'ailleurs essayé de faire (Cf les épitres) mais qui a échoué partiellement et qui a fini par le schisme des chrétiens.

C'est ainsi qu'on se retrouve ici à discuter de la différence entre sémitisme, sionisme et judaïsme orthodoxe qui est pourtant on ne peut plus clair pour qui se penche sur le problème.

Il est à noter qu'il existe un problème quasi-similaire, mais à moins grande échelle et à l'envers, au sein de l’Église catholique avec la fraternité St Pie X, qui est en quasi-schisme avec l’Église de Rome suite au concile Vatican II. Dans ce cas, ce sont les catholiques traditionalistes qui ont créé la rupture avec le courant majoritaire progressiste. Cela pourrait bien arriver aussi chez les juifs, plusieurs hypothèses sont envisageables.

Excusez les approximations, je ne suis qu'un profane en ce qui concerne la théologie judaïque... mais cette question m'intéresse car elle est selon moi à l'origine de la plupart des hérésies modernistes actuelles.

Les sionistes du XIX ème siècle, laïques et influencés par d’autres idéologies européennes, vous leur auriez donné un bout de terre en Ouganda voire même dans la pampa argentine (c’était prévu) pour construire un (foyer national) ils l’auraient pris.

Quant au sionisme messianique, cela concerne l’ensemble du peuple juif qu’il soit de l’Est de l’Europe ou d’Orient et cette croyance au retour à la terre est intemporelle.

Preuve en est, après vingt siècles de diaspora, qui plus est, par définition ‘’sionisme’’ ne veut –il pas dire : ‘’retour à Sion’’.

Le reste n’est que manigance, maffieuses, financières, où chaque groupe cherche à tirer son épingle du jeu, sur le dos de toutes les religions (confondues), hein, ne parlons pas des loges P2 ou P4 vaticanes, ce n’ est pas le sujet… Quoi que…en fouillant bien on devrait trouver des juifs là dedans, n’est-ce pas ?

De toute façon il y a un terrible paradoxe avec les juifs:

1/ Soit on considère qu'ils vampirisent un pays qui n'est pas censé être le leur (en EUrope, Amérique), qu'ils domiment les différents secteurs de la société; médias, finances, spectacle, médecine etc...Apparaît alors un antisémitisme, et l'on voudrait qu'ils partent du pays en question ( c'est ce dont il était question au départ dans l'Allemagne d'Hitler).

2/ SI les juifs prennent acte et décident se s'établir en Palestine (où il y a toujours existée une population non négligeable de juifs), ils deviennent des méchants colons sionistes. (Je passe sur l'antisémitisme religieux qu'il soit chrétien ou musulman).

DOnc quelle solution?

DOnc quelle solution?

Qu'ils continuent à inventer et à déposer des Brevets