De Gaulle aussi a dit:" à Londres je n'ai trouvé que des juifs ou des Maurassiens". Les communistes n'ont rejoint la Résistance que quand le pacte germano soviétique est tombé à l'eau. Marchais a fait son STO en Allemagne nazie quand à Thorez il s'est réfugié en URSS en attendant des jours meilleurs.

De Gaulle aussi a dit:" à Londres je n'ai trouvé que des juifs ou des Maurassiens". Les communistes n'ont rejoint la Résistance que quand le pacte germano soviétique est tombé à l'eau. Marchais a fait son STO en Allemagne nazie quand à Thorez il s'est réfugié en URSS en attendant des jours meilleurs. Le négationnisme en marche. Ce n'est parce que tu dis la même connerie 50 fois qu'elle deviendra vraie.

: A Londres avec de Gaulle Selon Simon Epstein, à Londres en 1940, autour du général de Gaulle, on trouve une conjonction de Juifs sur-représentés par rapport à leur poids dans la population réelle et d’ancien maurrassiens et cagoulards, eux-mêmes en surnombre par rapport à leur poids politique d’avant-guerre . Selon Simon Epstein, un certain nombre d'attestations indiqueraient que Charles de Gaulle fut maurrassien. Christian Pineau dira à André Gillois « que le général avait reconnu devant lui qu’il avait été inscrit à l’Action française et qu’il s’était rallié à la République pour ne pas aller contre le sentiment des Français ». Lui-même résistant de gauche, Claude Bourdet qualifiera de Gaulle d’homme de droite, longtemps proche de l’Action française, devenu républicain par mimétisme. L’un des témoignages les crédibles selon Simon Epstein serait celui d’Edmond Richelet, qui explique que De Gaulle subit l’influence de Maurras. De Gaulle fréquente certains milieux maurrassiens tel le Cercle Fustel de Coulanges et que Maurras chante ses louanges dans l’Action française du 1er juin 1940. Néanmoins, Charles de Gaulle, qui adhère aux amis de Temps proche de la démocratie chrétienne, est républicain. Dans La France et son armée, il proclame sa neutralité, voire son indifférence en matière idéologique ; De Gaulle n’est pas plus républicain qu’antirépublicain : il est capétien aux premiers temps du royaume, à Bouvines aux côtés de Philippe Auguste, il entre à Orléans derrière Jeanne, il traverse le Rhin avec Turenne. Il congrature Carnot, sous la République, autant qu’il approuvait Louvois sous Louis XIV. Il est révolutionnaire à Valmy et bonapartiste en Italie. Concernant les Juifs, Simon Epstein relève quelques remarques privées désagréables mais aucun antisémitisme explicite n’apparaît dans sa biographie. Pour Simon Epstein, De Gaulle fut vierge de tout antisémitisme officiel mais cela n’exclut pas les sautes d’humeur et les piques assassines. Claude Hettier de Boislambert (1906-1986), membre du conseil international de la chasse, il vient de l’extrême droite et est membre de l’état-major de De Gaulle. Roger Wybot (1912-1997) travaille avec Groussard au sein des GP de Vichy. Chargé du contre-espionnage à Londres, Il participera aux campagnes de Tunisie et d’Italie et créera la DST qu’il dirigera jusqu’en 1958. Il aidera le contre-espionnage isréalien et sera un ami de l’État d’Israël. Stanislas Mangin (1917-1986) est le fils du général Charles Mangin, honni des pacifistes français qui le qualifieront de boucher et des Allemands qui détruiront sa statue. Il anime le réseau Ali-Tir avant de passer à Londres où il est affecté au BCRA. Avant 1939, il considérait les Juifs comme des étrangers mais changera d’opinion à ce sujet. Pierre Tissier, maître des requêts au Conseil d’État, officier de réserve, est l’un des premiers à rejoindre De Gaulle à Londres qui le fera son chef d’état-major. C’est à lui et non à René Cassin que De Gaulle confie la rédaction des statuts du comité national français instauré en septembre 1941. A Londres, il reste antisémite et cherche à réduire l’influence de René Cassin et Georges Boris. Partisan d’un statut des Juifs atténué, ce gaulliste sera président de la SNCF Jean Escarra, professeur de droit international, rallie la France lilvre début 1941. Comme Tissier, il intrigue pour écarter les Juifs à Londres et accepte le principe de loi racial pour écarter les Juifs. Il envoie un long mémorandum à René Pléven exposant son point de vue sur le rapport entre la France libre et le congrès juif mondia en 15 points où il attaque les Juifs tout en se désolidarisant de leurs persécuteurs. Il s’oppopse à la suppression des discrimination antijuives au prétexte que « la mentalité israélite est prompte à s’emparer de toute marque de sympathie pour s’en faire un titre à des exigences sans cesse croissantyes » et redoute « la mainmise totale des Juifs sur notre mouvement ». André Dewavrin (1911-1198), militaire de carrière et maurrassien qui enseigne les fortification à Saint-Cyr à la fin des années 1930, sera le fameux Colonel Passy. Il se présente à Londres le 1er juillet 1940 et De Gaulle le nomme chef des services secrets encore inexistants. Il deviendra le chef du BCRA. A la Libération, il est injustement accusé d’avoir détourné des fonds à des fins politiques mais cette affaire le laissera meurtri en dépit de son innoncence. Parmi les premiers agents de Passy, on trouve de nombreux cagoulards et royalistes. Maurice Duclos (1906-1981) fut un cagoulard actif. Il rejoint de Gaulle à Londres et sous le pseudonyme de Saint-Jacques, il est envoyé en France occupée où il monte un réseau de renseignement. Après une autre mission, il sera nommé par Passy chef de la section « Action » du BRA. Compagnon de la Libération, il fera pendant la guerre des déclarations hostiles aux Juifs. Pierre Fourcaud (1900-1992) est parmi les premiers agents de la France libre. Il rejoint Londres où il est affecté au 2e bureau gaulliste. Il initie le réseau Brutus, lequel d’abord droitier, recrutera parmi les militants socialistes. Il est compagnon de la Libération. Honoré d’Estienne d’Orves (1901-1941) issu d’une famille légitilmiste. Son biographe, Étienne de Montety affirme que rien de permet d’affirmer qu’il était d’Action française. Peu de temps avant d’être fusillé, il rédige un texte sur les Juifs qui est un plaidoyer en leur faveur reprenant point par point les critiques qui leur sont faites. Gilbert Renaud (1904-1984), mieux connu sous le nom de Colonel Rémy est lui aussi catholique et royaliste. Il participe au 6 février 1934 aux côtés des camelots du roi. Distinguant parmi les Juifs ceux qui ont gagné leur qualité de Français, des autres qui doivent quitter la France, il montera l’un des réseaux d’espionnage les plus solides et les plus performants de la France Libre, la Confrérie Notre-Dame. De Gaulle, dans ses mémoires de guerre, dédie des lignes particulièrement chaleureuses et le qualifiera d’« animateur magnifique et organisateur pratique menant l’action secrète comme un sport grandiose mais calculé ». Après la guerre, il défendra la thèse de l’Epée et du bouclier, De gaulle et Pétain, tous deux nécessaires à la France. Après la guerre, il quittera la RPF et demandera la révision du procès Maurras « déshonoarante pour la justice française et pour la France » Dans un texte publié en 1971, il dénoncera l’holocauste qui tua des millions de Juifs et affirma admier l’État d’Israël, tout en distinguant entre les bons juifs patriotes et les mauvais juifs apatrides. Robert Buron (1910-1973) fut maurrassien avant de se rapprocher de la démocratie chrétienne avant la guerre. Ses activités résistantes le conduisent au MRP. Ministre sous la IVe et la Ve République, il rejoindra le parti socialiste en 1971. Alexandre Sanguinetti (1913-1981) vient de l’Action française et des Camelots du roi. Ce nationaliste d’extrême droite fait une belle guerre. Plusieurs fois ministre, il sera à la fois un gaulliste intransigeant et fortement pro-israélien. Raymond Triboulet (1906-2006), lecteur de L’Action française, militant des Chemises vertes d’Henri Dorgères, publiant des articles dans Je suis partout dans la seconde moitié des années 1930, il dénonce le pacifisme pro-allemand de Robert Brasillach. Il s’engage dans l’action clandestine dans le cadre de Ceux de la Résistance, il sera plusieurs fois ministre gaulliste, membre actif de l’Alliance France-Israël et président du groupe d’amitié France-Israël de l’Assemblée nationale. René Pléven (1901-1993) ne fut proche de l’Action française que lors de ses années lycéennes et étudiantes. Il rejoint de Gaulle dès juin 1940 et assume des fonctions très importante à Londres et à Alger. Pierre Messmer, militaire de carrière combat dans les rangs de la France libre et sera l’un des gardiens de l’orthodoxie gaulliste ; d’après un témoignage rapporté par François-Marin Fleutot, il fut Camelot du roi. André Bettencourt est recruté par François Mitterrand et adhère à un réseau clandestin d’action parmi les prisonniers de guerre. Il a cependant commencé la guerre en écrivant une rubrique régulière dans l’organe pronazi La Terre française où il se livre à des attaques vengeresses contre les Juifs. Après la guerre, il sera secrétaire d’État dans le gouvernement Mendès France et sera membre de la LICA. Henri d'Astier de La Vigerie (1897-1952) est un homme d’Action française. Replié en Algérie, il instaure une étroite coopération entre les conspirateurs d’extrême droite qu’il a assemblé et les réseaux juifs résistants animés par José Aboulker. Non gaulliste, il rejoint l’équipe gouvernementale de l’Amiral Darlan quand les Américains prenant acte de son changement de camp lui confie le pouvoir à Alger. Le colonel Henri Giraud (1879-1949) est proche de la Cagoule et l’historien Jean Planchais dira qu’il était antidreyfusard et discrètrement antisémite. Emprisonné par les Allemands au début de la guerre, il s’échappe. Soutenu par les Américains qui le préfèrent à De Gaulle, ce patriote intraitable et hostile à toute collaboration est contacté par le cagoulard Lemaigre-Dubreuil au nom des « conjurés d’Alger » et les américains avec qui et pour qui il travaille. Après la mort de Darlan, il exerce le pouvoir avec la bénédiction des Américains. Pendant sa courte période, il supprimera certaines mesures antijuives de Vicy mais pas toutes, en particulier il refusera le rétablissement du décret Crémieux. Fernand Bonnier de la Chapelle (1922-1942) est un jeune résistant royaliste, lecteur de L’Action française au lycée qui assassinera l’Amiral Darlan. Il est de ceux qui n’admettent pas que ce dernier, après avoir mené une politique de collaboration avancée à Vichy, se trouve investi du pouvoir suprême par les Américains à Alger libéré. Paul Colette (1920-1995), probablement ancien de l’Action française, membre du PSF du colonel de la Rocque, il ne supporte pas les collaborateurs. Il s’engage dans la LVF et à l’occasion d’une cérémoinie officielle à Versailles le 27 août 1941, il tire au revolver sur Pierre Laval et Marcel Déat. Les deux sont condamnés. Transféré en Allemagne, il connaît les passages à tabac, les menottes qui déchirent les poignées, les tortures diverses. Il assistera à toutes les formes de mise à mort dont les Juifs sont victimes.

De Gaulle aussi a dit:" à Londres je n'ai trouvé que des juifs ou des Maurassiens". Les communistes n'ont rejoint la Résistance que quand le pacte germano soviétique est tombé à l'eau. Marchais a fait son STO en Allemagne nazie quand à Thorez il s'est réfugié en URSS en attendant des jours meilleurs. Le négationnisme en marche. Ce n'est parce que tu dis la même connerie 50 fois qu'elle deviendra vraie. :

Il y a 3 livres à lire avant de venir poster sur le FoPo (pour mettre en perspective la situation actuelle):

j'étais MDR à la fin : merci G pour cette vidéo supermikou, tu es irrécupérable

La collaboration fut une affaire de la gauche .... oui c'est pas un mystère pour moi, je l'ai toujours entendu dire dans ma famille, car ma famille a lutté contre eux ... contre cette gauche collabo

Camarade Garebwyn: Le FoPo te sera redevable pour longtemps. Après ce haut fait d'armes je crois bien que tu es immunisé contre toute forme de réprimandes futures de la strass. D'ailleurs j'attends, avec mes camarades, que la strass t'enlève tes 3 cartons.

La collaboration fut une affaire de la gauche .... oui c'est pas un mystère pour moi, je l'ai toujours entendu dire dans ma famille, car ma famille a lutté contre eux ... contre cette gauche collabo MAis oui... Touvier était de Gauche, c'est bien connu.

Et les communisstes ont attendu avant d'entrer dans la résistance. Certes, les communistes furent les premiers à "inaugurer" les premiers camps de concentrations nazis dès mars 1933. Pour autant, il faut rétablir la vérité. Les premiers Résistants (dès l'été 1940) ne furent pas des communistes, mais bien souvent des nationalistes de droite, comme La Rocque par exemple. A cause du traité germano-soviétique signé fin août 1939, les communistes français, qui prennaient leurs ordres directement de Moscou, reçurent l'ordre de ne rien faire contre l'occupant allemand. Ce qui n'empecha pas, bien sûr, quelques actes isolés de militants communistes qui voulaient chasser l'Allemand de leur pays. Mais pour avoir une action de masse bien organisée, il faut attendre en effet l'attaque de l'URSS par l'Allemagne en juin 1941. Entre juin 1940 et juin 1941, il n'y avait donc pratiquement pas de communistes dans la Résistance. Ce qui ne veut pas dire qu'ils collaboraient.

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La Collaboration et la Résistance

garebwyn

Je te donne une espérance de vie de 10 minutes avant que la Smala ne débarque.

Smala ??

Yoan Amar, vive_2012, supermikou, nowhere man, markus73, Olympe, AceBang, Gfrey : la Smala du fopo.

Si tu veux discuter avec des gauches intelligents et abordables : jct57, Hacker, Le çhalenar.

J'en oublie surement dans les deux catégories.

zzz

***inutile***cemab

supermikou

A te lire, à lire Olympe, à lire vive_2012, à lire feu markus, à lire AceBang, à lire nowhere man, à lire toute la clique, on sent que vous avez la tête dure.

Les intervenants de gauche disent que les gens de gauche sont gentils? Tu voudrais qu'on dise que les gens de gauche sont méchants :

Ainsi nous autre à gauche nous serions "méchants" parce que la majorité des hommes de gauches étaient collabos.... Ce que tu oublie de dire c'est que la majorité des gens de droite étaient... des collabos.... Ben ouais les fameux "résistants de la 1ere heure", c'était une extrême minorité de la population française.

Ils étaient gentils les résistants de la première heure.... Les cagoulards étaient fasciste, antisémites il voulaient exterminer les juifs... Mais ont fait parti de résistants de la première heure... Si tu cherche à montrer que les droitards sont gentils, t'es mal baré.

Yoan Amar, vive_2012, supermikou, nowhere man, markus73, Olympe, AceBang, Gfrey : la Smala du fopo.

Me coller dans la même catégorie que Gfrey... fallait le faire

garebwyn

A te lire, à lire Olympe, à lire vive_2012, à lire feu markus, à lire AceBang, à lire nowhere man, à lire toute la clique, on sent que vous avez la tête dure.

Les intervenants de gauche disent que les gens de gauche sont gentils? Tu voudrais qu'on dise que les gens de gauche sont méchants :

Yoan Amar, vive_2012, supermikou, nowhere man, markus73, Olympe, AceBang, Gfrey : la Smala du fopo.

Me coller dans la même catégorie que Gfrey... fallait le faire

Pauvre clown.

Population française pendant la Seconde guerre mondiale :

- une minorité résistante (au départ l'extrême-droite, puis les communistes à partir de juin 1941, puis les socialistes)

- une minorité collabo (dans cette minorité, une majorité de gauches)

- et une majorité qui a oscillé entre la Résistance et la Collaboration, se plaçant là où elle pouvait pour s'en sortir, suivant les époques, les régions, etc...

Les résistants de la première heure n'étaient pas que antisémites et fascistes. Ils étaient aussi patriotes, monarchistes. Ca nuance fortement ton propos. Méthode de gauche : prendre que ce qui nous arrange. :

cemab

Me coller dans la même catégorie que Gfrey... fallait le faire

c'est clair, il ne mérite quand même pas ça.

minautore

bon,pour en revenir au sujet.

la résistance fut surtout une affaire "humaine" personnel et non une pensée idéologique.

certes en 40,de gaulle a essentiellement des maurassien et quelques juifs de gauche,mais ont doit en tirer aucune théorie.

aprés juin 41 un gros bataillon communiste compose la résitance.et aprés kourks en aout 43 et le debarquement en algerie en 42 les socialistes qui le pouvaient se sont joint au general de gaulle

la collaboration fut sans doute une longue derive humaniste/pacifiste vers un faschisme le plus vil.

les socialistes ont crue de bonne foi faire une "bonne action" en donnant les plein pouvoir à petain;helas pour eux de mediocres arrivistes(doriot,laval...)ont glisser vers une collaboration la plus honteuse.

supermikou

Pauvre clown.

Population française pendant la Seconde guerre mondiale :

- une minorité résistante (au départ l'extrême-droite, puis les communistes à partir de juin 1941, puis les socialistes)

- une minorité collabo (dans cette minorité, une majorité de gauches)

- et une majorité qui a oscillé entre la Résistance et la Collaboration, se plaçant là où elle pouvait pour s'en sortir, suivant les époques, les régions, etc...

Ben bien sur... Quand la droite collabore, on dit que ce n'était pas de la vrai collaboration, mais juste de l'opportunisme... Sinon on serait obligé de dire que la droite à collaboré autant que la droite.... Et le but du bouquin est de faire l'inverse.

Ouais... des monarchistes... Comme, par exemple, l'Action Française.... Des gens vachement gentils qui n'avaient pas grands chose à reprocher à Hitler a part que ce dernier soit allemand.

Négationnisme et révisionnisme sont les deux mamelles de l’extrême droite, merci de l'illustrer.

cemab

bon,pour en revenir au sujet.

la résistance fut surtout une affaire "humaine" personnel et non une pensée idéologique.

certes en 40,de gaulle a essentiellement des maurassien et quelques juifs de gauche,mais ont doit en tirer aucune théorie.

ah bon ? pourquoi ?

garebwyn

Pauvre clown.

Population française pendant la Seconde guerre mondiale :

- une minorité résistante (au départ l'extrême-droite, puis les communistes à partir de juin 1941, puis les socialistes)

- une minorité collabo (dans cette minorité, une majorité de gauches)

- et une majorité qui a oscillé entre la Résistance et la Collaboration, se plaçant là où elle pouvait pour s'en sortir, suivant les époques, les régions, etc...

Où ai-je dit que dans la majorité vacillante il n'y avait que des gens de droite ? Encore une preuve de ta méthode fumeuse.

Les résistants de la première heure n'étaient pas que antisémites et fascistes. Ils étaient aussi patriotes, monarchistes. Ca nuance fortement ton propos. Méthode de gauche : prendre que ce qui nous arrange. :

Ouais... des monarchistes... Comme, par exemple, l'Action Française.... Des gens vachement gentils qui n'avaient pas grands chose à reprocher à Hitler a part que ce dernier soit allemand.

Négationnisme et révisionnisme sont les deux mamelles de l’extrême droite, merci de l'illustrer.

Le général a été formé par l'idéologie maurassienne. S'il y a un négationniste et un révisionniste ici, c'est toi. Moi je cite mes sources, toi tu balances des lieux communs. Retourne au bac à chien.

Et pour ta gouverne, les monarchistes qui sont entrés en Résistance le feront contre Maurras.

cemab

Négationnisme et révisionnisme sont les deux mamelles de l’extrême droite, merci de l'illustrer.

Après la guerre, La Vieille Taupe "inaugure" le négationnisme ; elle est composée de gens de gauche et d'ultra-gauche.

parmi lesquels des noms connus.

personne de droite. ils résistaient faut dire, on ne peut être au four et au moulin

nimzegin

Négationnisme et révisionnisme sont les deux mamelles de l’extrême droite, merci de l'illustrer.

Après la guerre, La Vieille Taupe "inaugure" le négationnisme ; elle est composée de gens de gauche et d'ultra-gauche.

parmi lesquels des noms connus.

supermikou a de quoi combler ses lacunes

cemab

Négationnisme et révisionnisme sont les deux mamelles de l’extrême droite, merci de l'illustrer.

Après la guerre, La Vieille Taupe "inaugure" le négationnisme ; elle est composée de gens de gauche et d'ultra-gauche.

parmi lesquels des noms connus.

supermikou a de quoi combler ses lacunes

non, les danaïdes avaient un tonneau, lui c'est un silo.

je serai mort avant la fin.

rexmilites

(...)

écoutes minautore, donnes-moi tes sources car là, tu te répètes et moi je hais me répéter même différemment

mes sources =>

, il y a 5 DVD avec une durée de 480 environ.

J'ai un autre documentaire rempli de DVD (12) que je n'ai pas encore vu et il détaille justement la Bataille de Verdun où un DVD est consacré.. mais je t'assure que l'autre est tout à fait respectable, il est très bien et j'ai le même pour la seconde guerre mondiale.

Pétain dès le début était aimé de ses soldats, et ça tu ne peux le nier et c'est justement pour ça que Joffre par désespoir confie le commandement à Pétain qui cesse de suite, toute offensive stupide et assure le quotidien de tous les soldats (avec les moyens du bord évidemment, en prenant en compte les débuts de pénuries alimentaires dont la viande qui se fait déjà cruellement sentir pour les non-combattants qui travaillent pour les soldats). Le petit colonel proche de la retraite était déjà très populaire, alors que Nivelle s'était déjà construite une réputation surnommé le boucher. Pétain vainc les allemands et reprends le fort de d. Nivelle prend la charge par la suite avec Foch (quand je pense que cette p*tte a son nom dans l'une des plus belles avenues de Paris et qu'aux Pyrénées il y a des hommages qui lui sont faits.. ça me sidère cet oublie). On ne préfère retenir que les victoire alors crois-moi avec la mal-honnêteté gratuite (comme l'école lol) de l'enseignement républicain, on bannit Pétain et on fait l'éloge de Joffre et Foch. Bizarrement, on a comme même toujours dédié la victoire à Pétain. Pourquoi ? Parce qu'une nouvelle stratégie est faite et adoptée, ça réussi jusqu'à ce qu'il s'oppose à Joffre en personne plus fidèle à la tactique de Nivelle. On connait le résultat et d'ailleurs, l'Allemagne n'a été vaincu que par incompétence de ses généraux, qu'au suicide impérial, qu'à la défaite autrichienne face à l'armée du Roy serbe (au tout début) et surtout, surtout la ruine de l'économie allemande. Car les troupes allemandes étaient encore dans le territoire français lors de l'armistice, qu'à quelques dizaines de km de Paris.

minautore

bon,pour en revenir au sujet.

la résistance fut surtout une affaire "humaine" personnel et non une pensée idéologique.

certes en 40,de gaulle a essentiellement des maurassien et quelques juifs de gauche,mais ont doit en tirer aucune théorie.

ah bon ? pourquoi ?

parce que le facteur humain prend le pas sur ce genre d'engagement en 40.

la preuve de gaulle etait le plus vieus et le seul general a se rendre à londres en 40.

si c'etait une idéologie maurras n'aurai pas soutenu petain en 40,si l'exteme droite française etait pro de gaulle en juin 40,au moins la moitier des officiers français aurai rejoint londres.

ce ne fut pas le cas.

l'histoire meme de la cagoule et revelateur.

la moitier fut résistant,l'autre moitier a collaboré.donc aucune idéologie d'ED dans la resistance.

donc le fait qu'il y ait des maurrassien à londres fut un fait de "téléphone arabe" entre eux et surtout auprés des jeunes qui etait les plus revenchards.

sans doute par romantisme du combat à venir,et de ne pas finir à dunkerque comme des cons les pieds dans la manche.ils ont preferés continuer la guerre.

par defie ils ont choisit le combat et la mort plutot que le stalag...

En cela nous ne pouvons théoriser idéologiquement sur le fait que la droite fut plus resistant en 40 que la gauche.se fut surtout un chois personnel.

rexmilites

justement, l'idéologie marque toujours plus d'ambitions que sa capacité physique. Elle joue un rôle psychologique et de détermination. C'est pourquoi les plus extrémistes de foi (communistes, royalistes, ED...) ont été en Résistance en masse. La volonté de changer le monde, changer la société est souvent forte dans ces milieux. A la limite, leur vie n'importe peu, seul leur famille pourrait les restreindre.

Quand aux autres, ils sont plus préoccupés par la faim et le logement que la Résistance ou la collaboration. D'ailleurs de nombreuses personnes collaboraient pour de l'argent, pour leur survie. Cela n'a rien d'extraordinaire mais en République on oublie. Heureusement que certains historiens sont là pour mettre les points sur les i.

cemab

bon,pour en revenir au sujet.

la résistance fut surtout une affaire "humaine" personnel et non une pensée idéologique.

certes en 40,de gaulle a essentiellement des maurassien et quelques juifs de gauche,mais ont doit en tirer aucune théorie.

ah bon ? pourquoi ?

parce que le facteur humain prend le pas sur ce genre d'engagement en 40.

la preuve de gaulle etait le plus vieus et le seul general a se rendre à londres en 40.

si c'etait une idéologie maurras n'aurai pas soutenu petain en 40,si l'exteme droite française etait pro de gaulle en juin 40,au moins la moitier des officiers français aurai rejoint londres.

ce ne fut pas le cas.

l'histoire meme de la cagoule et revelateur.

la moitier fut résistant,l'autre moitier a collaboré.donc aucune idéologie d'ED dans la resistance.

donc le fait qu'il y ait des maurrassien à londres fut un fait de "téléphone arabe" entre eux et surtout auprés des jeunes qui etait les plus revenchards.

sans doute par romantisme du combat à venir,et de ne pas finir à dunkerque comme des cons les pieds dans la manche.ils ont preferés continuer la guerre.

par defie ils ont choisit le combat et la mort plutot que le stalag...

En cela nous ne pouvons théoriser idéologiquement sur le fait que la droite fut plus resistant en 40 que la gauche.se fut surtout un chois personnel.

ah, en fait, il préférait le plus vieux et le plus "neuf" des généraux, et ils avaient réussi à anticiper Dunkerque...

okay...

supermikou

Où ai-je dit que dans la majorité vacillante il n'y avait que des gens de droite ?

Ou ai je dis l'inverse? Nulle part.

Le général a été formé par l'idéologie maurassienne.

Me dis le mec qui me reproche de balancer des lieux commun.

Et non je ne suis pas négationniste.... Je ne nie pas, contrairement à toi, l'antisémitisme de tes héros (tellement que De Gaulle dû les séparer). Mais tu l'as dit : ce sont des gentils. Dreyfuss n'aurait probablement pas été de cet avis.

Bien entendu, tu cites toujours le même auteur (normal venant d'un mec qui n'a probablement lu qu'un livre de sa vie)... Et, bien entendu... Tu cherche pas plus loin... Bien ouais, le bouquin étant à charge contre la gauche, c'est la gauche qui est responsable.

Après je pourrais pinailler et dire que réduire les "résistants de la première heures" à ceux qui on rejoint Ge Gaulle est digne d'un imbécile, mais tu n'est plus à cela près.

cemab

la smala n'est pas loin, un dromadaire est déjà arrivé.

garebwyn

Bien sûr que non, le facteur humain ne prend pas le dessus sur le facteur idéologique. C'est par patriotisme que les Résistants ont résisté. Après vient le facteur humain, même si le terme est impropre : oui les monarchistes étaient habitués à agir dans l'ombre, à s'organiser en groupes, à partir lutter. Mais n'inversons pas les choses.

Les monarchistes ont résisté par patriotisme et les communistes obéissaient à Moscou qui disaient que l'ennemi de la France n'était pas l'Allemagne mais l'Angleterre. Le PCF français prenait l'exemple sur les communistes belges, danois ou encore norvégiens, qui collaboraient avec les nazis pour que leur presse soit de nouveau publiée.

supermikou

Les monarchistes ont résisté par patriotisme.

Par germanophobie, mais bon t'es plus à ça près...

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