1) L'ingérence de pesticides augmente le risque de maladies.
Je peux sans aucune hésitation vous répondre que vous racontez des conneries.
L'ingérence de pesticides n'augmente rien et est sans danger.
L'ingestion, éventuellement, l'inhalation, potentiellement, mais l'ingérence, c'est niet.
Encore que je ne connaisse pas la politique extérieure des pesticides.
Dites, pour un diplômé en biologie, ça la fout mal.
2) Les agriculteurs se protègent de ces substances, néanmoins sont bien plus en danger que les consommateurs. C'est pour cela que le risque est plus élevé. Les consommateurs encourent quand même un risque, même si il est moindre, en consommant ces produits toute leur vie.
Oui, en fait, vous admettez que j'ai raison et que vous avez passé votre temps à nier l'évidence.
Merci.
Mais vous n'admettez pas toute l'évidence: le risque est considérable chez l'agriculteur, pas mesurable chez le consommateur.
3) Et pour la quantité, comme je ne l'ai pas calculé, référé vous à ce site ://www.consoglobe.com/pesticides-fruits-legumes-pollues-3076-cg
http://www.notre-planete.info/actualite ... France.php
Entre Berkeley et une ONG non gouvernementale, mon choix de référence est vite fait.
Par exemple, dans votre premier lien, à la fin on trouve les doses mesurées dans les fruits et légumes... mais seulement quand ces valeurs dépassent les limites légales! Alors qu'ils ont quand même l'honnêteté de préciser:
De récentes études réalisées cette fois-ci en France avaient déjà souligné que la moitié de nos fruits et légumes contenaient des résidus de pesticides, et même 10% dans des proportions supérieures aux normes légales.
Ce qui veut dire qu'ils ne donnent en réalité des infos que sur un fruit et légume sur 10. Pourquoi? Je vais vous le dire: parce que les valeurs moyennes globales sont ridiculement faibles.
Dans votre deuxième lien, c'est exactement ce qui est dit:
En Europe, près de 6 fruits et légumes sur 10 ne présentent aucune trace de pesticide. Sur les 41% restant, 37% présentent des résidus à un niveau inférieur aux limites maximales (LMR) retenues au niveau national ou européen et 3,9% sont en infraction avec ces seuils réglementaires.
Conclusion: pesticides ingérés = quantité ridiculement faible.
Nonobstant qu'il n'y a aucune quantification du risque en fonction de la dose...
Bon, je me casse.