Soral est brillantissime, et les nains critikeurs me font bien rigoler. Que ces nains, ces loosers qui n'ont jamais rien fait de leurs dix doigts, se mettent au boulot et tirent un ouvrage à 40 000 exemplaires (vendus), sans publicité.
Si oui, on les autorisera à venir jacter sur Soral.
Pourtant il y a bien un domaine où le type se plante en beauté:
Le texte était trop long pour être copié, mais si l'immigration est un sujet qui vous préoccupe, ce texte mérite votre attention:
http://philippelandeux.hautetfort.com/a ... soral.html
LETTRE OUVERTE A ALAIN SORAL
« Une différence d’opinion entre lui et moi me le faisait épier avec beaucoup de soin, quelquefois avec colère, car je ne partageais pas du tout sa manière de servir le peuple ; en conclurai-je qu’il trahissait sa patrie ? Non. »
Robespierre au sujet de Danton,
Aux Jacobins, le 3 décembre 1793
LETTRE OUVERTE A ALAIN SORAL
communautarisme vs assimilation
Monsieur Soral,
Je vous écoute, je vous suis, je vous admire, je vous félicite, vos vidéos sont un régal, vos positions sont courageuses, vos constats sont justes et, pourtant, je considère les solutions que vous préconisez comme insensées, stériles et fondamentalement contraires au but louable que vous vous proposez, à savoir la réconciliation entre Français « de souche » et de branche (en particulier les Arabo-musulmans). Les commentaires qu’a suscités la vidéo de votre conférence du mois de mai 2012, avec Albert Ali, et auxquels j’ai moi-même pris une part active, m’ont confirmé dans mon opinion.
Essentiellement tire la même conclusion que moi, en plus de détruire au passage plusieurs truismes sur la criminalité et la pauvreté.
2) Les immigrés (au sens propre ou leurs descendants) doivent partir de ces considérations pour comprendre la situation délicate dans laquelle ils se trouvent et l’état d’esprit dans lequel sont les Français à leur endroit. Ils n’ont aucune légitimité (pas plus que n’en avaient les Français dans les colonies). Ils n’ont aucune exigence à avoir. Les Français lambda ne sont pour rien dans leur situation ; c’est à eux seuls qu’il appartient d’assumer le choix qu’ils (ou leurs parents) ont fait d’émigrer. Ce sont eux qui ont choisi la France ; ce ne sont pas les Français qui leur ont demandé de venir. S’ils vivent un drame, nul n’en est moins responsable que les Français « de souche » qui en vivent un de leur côté par la faute des mondialistes (capitalo-gauchistes). Mais espérer la compassion des Français pour le résoudre serait, de leur part, se placer dans une position d’infériorité et s’exclure eux-mêmes de la communauté nationale vue comme « autre ». Le salut est dans la dignité et l’honnêteté. Il n’y a que quatre issues possibles : soit devenir véritablement français, soit assumer d’être un étranger respectable et rester en France en tant que tel, soit, pour les mêmes raisons, retourner dans son pays d’origine, soit rester le cul entre deux chaises (schizophrénie) tout en pleurnichant sur son sort et en pestant contre les méchants Français qui ne peuvent que rejeter des individus qui ne savent pas eux-mêmes où ils campent.
Français, certains plus que d'autres.
1) Les Français « de souche », c’est-à -dire les Blancs, sont les autochtones en France. Eux seuls sont indubitablement chez eux dans ce pays. Eux seuls sont légitimes. Leurs désirs font lois, au-delà de la légalité. Ils se définissent, comme tout peuple, par des spécificités raciales et culturelles qu’ils ont le droit naturel (moral et inaliénable) de préserver, à défaut d’en avoir la force physique ou politique (Cf. Déclaration des droits des peuples autochtones de l’ONU). Les lois officielles — actuellement produites par un système non-démocratique et décrétées à leur insu par des traîtres — qui leur contestent ce droit et font d’eux des parias dans leur propre pays sont tyrannie. Ils n’ont aucun devoirs envers les immigrés dont la présence leur a été imposée par le patronat et la gaucherie pour des raisons économiques (profit), politiques (destruction des nations) et électoralistes. Ils peuvent légitimement regarder les immigrés comme les instruments de leur oppression et les complices de leurs oppresseurs. Accepter leur présence sous certaines conditions est le maximum de ce qu’ils peuvent leur concéder. Seuls les Français « de souche » (et patriotes) sont légitimes pour fixer les conditions en question. Ces conditions portent sur les critères que les immigrés doivent satisfaire, et sur les devoirs qu’ils doivent remplir, pour demeurer en France, en tant qu’étrangers respectables, ou pour devenir Français, à part entière, non pas sur le papier, mais aux yeux des Français « de souche ». Ces conditions ne sont pas négociables — c’est d’ailleurs pourquoi elles doivent être clairement énoncées. Un immigré qui ergote pour s’y soustraire tente d’imposer ses conceptions et de renverser les rôles. Non seulement il abuse de la tolérance des Français (et il s’en trouve malheureusement d’assez bêtes pour l’écouter à leurs dépens), mais, en plus, il indique qu’il ne pense pas comme eux et se désigne lui-même comme un étranger arrogant, dangereux et pour le moins indésirable. Il parle en colon qui aurait la force pour lui alors que ce n’est qu’un immigré qui profite de la complaisance des « lois ».