Mais tu es ignorante ma parole ... tu lis trop wikipédia.

Un exercice tout simple, tu place deux cuvettes remplies du même volume d'eau, l'une dans un champ, en plein soleil, l'autre dans un sous bois, à l'ombre, a ton avis, les évaporations sont les mêmes ? dans la même durée ? dans les deux configurations qui représentent l'eau dans le sol ...

Force est de constater, invariablement et systématiquement, la cuvette au soleil aura son eau qui s'évaporera plus rapidement, c'est inévitable.

Oui, parce qu'elle reçoit plus d'énergie, mais vous oubliez que dans la nature, les plantes (dont les arbres) transpirent, ce qui s'ajoute à l'eau du sol évaporée (même si celui-ci est à l'ombre) ! Votre analyse du sujet est donc fausse.

Conclusions, évaporation plus rapide = masse d'air plus chargés en eau rapidement = vitesse moins rapide de la masse d'air = modification du conflit de masse entre deux masses d'airs, quand l'air plus chargée rencontre l'air chargée, comme avant un déboisement, elle se détournent, ou se superposent, modifiant obligatoirement le trajet, la hauteur des masses d'airs.
A hypothèse fausse, fausse conclusion. Vous ne connaissez pas grand-chose et vous êtes un animiste (la pluie irait là où il y a besoin !).

En fait, vous êtes ravi de votre liberté d'expression sur Fopo, et vous en profitez pour étaler vos bêtises.

Vous prenez les choses par le petit bout de la lorgnette. Vous êtes un ignorant qui veut "nous" enseigner ses fadaises. La circulation atmosphérique est à une échelle si vaste que ce ne sont pas des petits bouts de champs qui la déterminent.

Pour vous instruire, lisez et surtout réfléchissez :

- :

... Sauf que cette estimation est la première parvenant à concilier les modèles climatiques, qui prédisent un assèchement du bassin de l'Amazone, avec

les observations de terrain

qui

montrent paradoxalement qu'il pleut davantage sur les zones déboisées

.

La clef du mystère sonne comme un gros mot: "évapotranspiration".

Le phénomène est simple. Les arbres tropicaux extraient l'eau du sous-sol profond et la pompent dans l'atmosphère, celle-ci retombant ensuite sous forme de pluie, sur place ou dans d'autres régions.

Dans les zones tropicales humides, qui abritent plus de 35% des forêts du monde sur une surface de 11,5 millions de km2, la quantité de précipitations ainsi recyclée est comprise entre 25% et 56%.

Autrement dit, l'évapotranspiration permet de maintenir l'humidité au niveau local et de fournir de l'eau en abondance à des milieux pourtant situés très loin à l'intérieur des terres.

A grande échelle, les modèles climatiques indiquent tous que la disparition des forêts tropicales va affaiblir ce mécanisme vital. Une simulation suggère ainsi que si 40% de la forêt amazonienne disparaissait, la région basculerait de manière irréversible d'un climat "tropical humide" vers un autre plus sec.

Air + Forêt = Pluie

Pourquoi alors pleut-il davantage sur les zones déboisées ? Evapotranspiration là encore, mais par procuration...

Faute de couverture végétale suffisante,

la température augmente dans les zones déboisées

. Cela crée un

courant d'air ascendant qui aspire l'air humide situé au-dessus des forêts adjacentes. Cet air humide s'élève à son tour et libère alors la pluie sur les zones déboisées.

Dénouer ce paradoxe aura été un travail de titan pour Dominick Spracklen, de l'Université de Leeds (Grande-Bretagne), et ses collègues, qui publient leurs travaux dans la revue britannique Nature. (...)

http://www.terre-finance.fr/Amazonie-la ... -12751.php Eh oui, un paradoxe dénoué dans le sens du GIEC ! On observe plus de pluies, et on dit qu'il y en a moins !

A grande échelle, les modèles climatiques indiquent tous que la disparition des forêts tropicales va affaiblir ce mécanisme vital. Une simulation suggère ainsi que si 40% de la forêt amazonienne disparaissait, la région basculerait de manière irréversible d'un climat "tropical humide" vers un autre plus sec.

les modèles ne font jamais que traduire la pensée de leurs auteurs, néanmoins, d'instinct, on peut largement penser que la dévastation des forêts aura de très graves répercussions, dont il est difficile de mesurer l'ampleur. D'emblée, on peut être certain que les terres arables seront lessivées.

... D'emblée, on peut être certain que les terres arables seront lessivées.
C'est déjà le cas des régions équatoriales ou tropicales humides, en l'absence de toute déforestation.

... Plus des deux-tiers des forêts tropicales humides du monde, et les trois-quart de la forêt tropicale humide Amazonienne peuvent être considérées comme étant des "déserts-humides" dans le sens ou elles poussent sur des sols de latérite rouge et jaune ressemblant à de l'argile, acides et pauvres en nutriments.

De nombreux sols de forêt tropicale humide sont très vieux et pauvres, surtout dans des régions telles que celles du bassin de l'Amazone où il n'y a eu aucune activité volcanique récente pour amener de nouveaux nutriments. Les sols Amazoniens sont tellement usés qu'ils sont presque dépourvus de minéraux tels que le phosphore, potassium, calcium, et magnésium, qui proviennent de sources "rocheuses", mais sont riches en oxyde d'aluminium et oxyde de fer, qui donnent aux (sols des) forêts tropicales humides leur couleur distinctive rougeâtre ou jaunâtre et sont toxiques en forte quantités. Avec de telles conditions, on peut se demander comment des sols si pauvres peuvent sembler supporter des croissances si vigoureuses.

Les forêts tropicales humides ont une végétation très dense. Les premiers colons Européens dans les tropiques étaient convaincus (et même assurés par les scientifiques de l'époque) que la luxuriance de la "jungle" était due à la richesse des sols, et ils ont donc coupé de larges secteurs de forêt pour y faire des récoltes. Les secteurs dégagés supportèrent de bonne récoltes, mais seulement pendant 1 à 4 ans, jusqu'à ce que mystérieusement, la croissance des plantes déclina au point que d'importantes doses de fertilisants furent nécessaire pour obtenir la moindre pousse. Les colons se demandèrent pourquoi leurs récoltes périssaient et pourquoi de tels sols pouvaient supporter la croissance luxuriante de la forêt tropicale humide. La réponse se trouve dans le recyclage rapide des nutriments de la forêt tropicale humide.

Les colons ne réalisèrent pas qu'ils avaient à faire à un écosystème entièrement différent de celui des forêts des climats tempérés où les nutriments sont présents dans le sol. Dans la forêt tropicale humide, la majeure partie du carbone et des nutriments essentiels sont enfermés dans la végétation vivante, le bois mort, et les feuilles pourrissantes. Au fur et à mesure que les matières organiques se décomposent, elles sont recyclées si rapidement que très peu de nutriments atteignent le sol, le laissant quasiment stérile.

La décomposition des matières (bois mort et feuilles mortes) s'effectue de manière aussi efficace grâce à l'abondance de bactéries, champignons, et termites. Ces organismes ramassent les nutriments qui sont alors relâchés sous forme de déchets lorsque l'organisme meurt. Presque toutes les matières organiques sont rapidement processées, même les matières fécales et la transpiration. Dans de nombreuses forêts tropicales humides ce n'est souvent qu'une question de minutes, avant qu'un excrément ne soit découvert et utilisé par divers insectes. Les excréments peuvent êtres couverts de papillons de couleurs vives, de coléoptères, et de mouches, tandis que les insectes bousiers roulent fébrilement des morceaux de déchets en boules pour les utiliser plus tard comme nourriture pour leurs larves. Les insectes ne sont pas seulement attirés par les excréments pour leur valeur énergétique, mais souvent pour la présence de nutriments tels que des sels de calcium. La sueur humaine est un trésor pour plusieurs espèces de papillons, qui se rassemblent sur les cous et chapeaux des touristes, et pour les ennuyeuses abeilles de sueur, qui peuvent recouvrir chaque morceau de peau exposée dans certaines forêts. (...)

Les arbres des forêts tropicales humides sont bien adaptés à leur environnement et ont maîtrisé le problème des sols pauvres. Du fait que les 6 à 8 premiers inches (15-20 cm) du sol est un compost de feuilles, bois et autres matières organiques en décomposition, c'est la source la plus riche en nutriments sur le sol. Pour drainer ces ressources, les arbres de la canopée ont des racines peu profondes, tandis que les arbres des forêts tempérées ont des racines s'enfonçant sur plus de 5 pieds (1.5 m). De nombreuses espèces tropicales ont des racines qui poussent en fait hors du sol pour former un tapis sur le sol de la forêt afin d'être plus efficaces dans leur collecte de nutriments. Ces petites racines forment un réseau qui, avec le champignon mycorhize, absorbent rapidement les nutriments. (...)

Dans les plus petits secteurs déboisés par les habitants des forêts, la forêt peut facilement recoloniser les secteurs une fois que les cultures ont été abandonnées, surtout si la partie déboisée est restée entourée de forêt. En 20 ans, un forêt secondaire relativement bien développée peut reprendre possession d'un tel champ.

Tous les sols des forêts tropicales humide ne sont pas aussi pauvres. Certaines forêts tropicales poussent sur des plaines et sols volcaniques riches en nutriments. Certains des meilleurs sols se trouvent sur de fortes pentes car les minéraux sont libérés lorsque la couche arable s'érode. De tels sols se rencontrent dans les plaines inondables Amazoniennes, les contreforts andins, et les secteurs volcaniques d'Asie du Sud-Est (Java), d'Afrique, d'Amérique Centrale, et des Caraïbes. Cependant, sans une gestion correcte, ces sols peuvent être rapidement lessivés de leurs nutriments par de fortes pluies et le soleil.

(...) un hectare de forêt tropicale humide perd rarement plus d'1 tonne de sol par an. Cependant, lorsque le sol de la forêt est plat et planté de diverses essences, l'érosion augmente dramatiquement. Si la forêt est remplacée par de la végétation dense telles qu'une plantation de café, l'hectare perd entre 20 et 160 tonnes, tandis que si elle est remplacé par des champs de récoltes, l'hectare peut perdre plus de 1 000 tonnes annuellement.

REPOUSSE APRES DEBOISEMENT

Lorsque les Européens déboisèrent la forêt pour l'agriculture, ils supposèrent probablement que les forêts repousseraient relativement rapidement comme les forêts des climats tempérés d'Europe et Amérique du Nord. Mais la forêt tropicale ne repousse pas facilement sur des terres couvertes de monocultures agricoles qui ont été dépourvues de forêt pendant plusieurs années et ont des sols fortement dégradés. les sols tropicaux deviennent vite inhospitaliers à cause du rapide lessivage des nutriments par les fortes pluies et l'intense luminosité. En plus, de nombreux feuillus tropicaux dépendent d'une certaine espèce d'animaux pour la pollinisation, la dispersion des graines, et le traitement des graines. Les graines de nombre de forêts tropicales humides sont grosses (car elles germent dans l'ombre de la canopée, elles doivent avoir assez de réserves de nourriture pour pousser dans les pauvres conditions lumineuses du sol de la forêt) et elles ont besoin d'animaux disperseurs (le vent et autres moyens mécaniques ne sont souvent pas suffisants pour disperser des graines de cette taille). La perte de ces espèces dispersantes, lorsque la forêt est uniformisée, signifie que les graines avaient peu de chances d'être dispersées dans les endroits déboisés. Ainsi, ces importantes espèces d'arbres ne repousseront pas.

Les graines et pousses de ces espèces d'arbres non limitées par la dispersion animale et les agents pollinisateurs sont souvent adaptés aux conditions climatiques et de lumière du sol ombragé de la forêt tropicale humide. Ces graines ne germeront pas dans les conditions chaudes et arides des parties déboisées, et celles qui le feront succomberont rapidement au soleil et dans les sols pauvres. Les plantes des forêt tropicales humides sont habituées à la stabilité de la forêt tropicale où elles sont robustes. Lorsque, elles et leur graines, sont confrontées à des conditions totalement différentes comme celles d'un secteur déboisé, elles ne se portent pas bien. Leurs graines ont ou pas de capacité à rester dormantes car ce n'est pas un besoin dans les conditions normales de la forêt.

L'air sec des parties déboisées déshydrate le tapis de feuilles causant la mort des mycorhizes. L'élimination du mycorhize symbiotique réduit la capacité des arbres de se nourrir des nutriments du sol. Ce champignon est particulièrement difficile à remplacer car chaque espèce d'arbre a sa propre espèce symbiotique de mycorhize. La régénération est rendue plus difficile par l'empiétement rapide d'herbes dures et d'arbustes après le déboisement de la forêt.

La situation est différente lorsque la partie déboisée est laissée entourée de forêt et que les sols n'ont pas été décimés. Dans ces conditions, la forêt peut rapidement repousser sur la surface vide lorsque des plantes pionnières envahissantes et à croissance rapide telles que des herbes de forêt, des bananiers (Heliconia), gingembres, et lianes envahissent la partie déboisée. Les espèces d'arbres pionnières - qui ont besoin pour pousser de conditions très ensoleillées et de faible humidité - tels que le cecropia (neotropiques) et le macaranga (Asie) colonisent rapidement les trous de la forêt. Après plusieurs années, le petit nombre de plantes pionnières et d'arbres tels que le Kapok et le cecropia sont graduellement remplacés par diverses espèces plus caractéristiques de la forêt primaire ancienne. Le nécessaire champignon mycorhize peut recoloniser depuis la forêt environnante et faciliter la consommation des nutriments. Au bout de 20 ans, la terre anciennement nettoyée peut à nouveau supporter une pousse vigoureuse, bien qu'elle ne soit plus que l'ombre de la forêt originale primaire. La nouvelle forêt secondaire, est beaucoup moins diverse, a une canopée moins développée, moins d'animaux, et un végétation au sol plus dense. On ne sait pas combien de temps il faut à la forêt secondaire pour recouvrer la complexité de la forêt primaire, mais les estimations vont de centaines à des milliers d'années.

http://fr.mongabay.com/rainforests/0502.htm

Bonne lecture à ceux que ça intéresse.

Les sols humides peuvent "transpirer" plus longtemps, même sans végétation, a la fin, se genre de sol deviendra très sec.

Si je dois avoir des comptes rendus sur le terrains, je contact une personne de confiance, au lieu de lire un article rassurant sans jamais avoir vérifié si l'article était réaliste, véridique, si l'étude couvre assez de territoire, sur plusieurs point du globe, car pour la chine, les déboisements, puis la désertification ont tués les sols, qui partent en poussière, c'est aussi le cas pour l'Australie ... pour l'Amazonie, qui couvre un territoire immense, plusieurs cas de figure peuvent se présenter.

En France, les masses d'airs changent, elles oscillent plus rapidement entre le nord et le sud, la pluviométrie change, les températures changent, avec des étés plus tardifs, puis des chutes de températures brutales, les modèles météorologiques changent, c'est évident, sinon pourquoi les glaciers Européens rétrécissent, si le climat était stable, les glaciers seraient stables eux aussi ... c'est quand même simple de faire des études sérieuses, au lieu de lire des articles complices rassurants, il existe d'autres articles, plus alarmistes, ceux là, tu les ignores ... logique, moi, je garde les deux, et j'observe, je compare, j'analyse ...

Enfin bref, toujours le protectionnisme climatique, ou tout va bien madame la marquise ... enfin presque.

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Je n'ai jamais vu de sol déboisé rester sans végétation, que celle-ci soit naturelle ou issue de semis ou plantations.

Les sols humides peuvent "transpirer" plus longtemps, même sans végétation, a la fin, se genre de sol deviendra très sec.
Non, car il y aura toujours des pluies ! Je sais, c'est contraire à vos convictions, mais Dame Nature est là !

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Je n'ai jamais vu de sol déboisé rester sans végétation, que celle-ci soit naturelle ou issue de semis ou plantations.

Les sols humides peuvent "transpirer" plus longtemps, même sans végétation, a la fin, se genre de sol deviendra très sec.

Non, car il y aura toujours des pluies ! Je sais, c'est contraire à vos convictions, mais Dame Nature est là

Ben voyons, une certaine partie des anciennes civilisations sont dans des déserts ... et là, il y aura toujours des pluies ? ou elles manquent de nos jours !?

Il ne s'agit pas de conviction, mais d'études, en premier une étude des mouvements des masses d'airs, en prenant pour base les plus anciennes animations satellites, puis de remonter le temps jusqu'à nous, simple de constater les différences de mouvements, de formation des nuages ... les modèles changent, avec des amplitudes brutales plus importantes entre les périodes chaudes et les périodes froides, des écarts de températures exceptionnelles de plus en plus fréquentes, les satellites ne mentent pas, ils retracent une observation.

Les gens mentent, pour couvrir, pour salir, pour attaquer ...

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Je n'ai jamais vu de sol déboisé rester sans végétation, que celle-ci soit naturelle ou issue de semis ou plantations.

Les sols humides peuvent "transpirer" plus longtemps, même sans végétation, a la fin, se genre de sol deviendra très sec.

Non, car il y aura toujours des pluies ! Je sais, c'est contraire à vos convictions, mais Dame Nature est là

mais il n'en demeure pas moins vrai qu'il y a des endroits où il ne pleut pratiquement jamais.

les satellites ne mentent pas, ils retracent une observation.

les satellites sont plus que jeunes dans l'observation de la Terre.

Je n'ai jamais vu de sol déboisé rester sans végétation, que celle-ci soit naturelle ou issue de semis ou plantations.Les sols humides peuvent "transpirer" plus longtemps, même sans végétation, a la fin, se genre de sol deviendra très sec.
Non, car il y aura toujours des pluies ! Je sais, c'est contraire à vos convictions, mais Dame Nature est là mais il n'en demeure pas moins vrai qu'il y a des endroits où il ne pleut pratiquement jamais. Oui, je l'ai vu en Egypte. Mais "Ultra Pink Noise" parle de déforestation récente où le sol, humide, deviendra sec. Or qui dit sol boisé, signifie région où il pleut, donc les pluies reviendront à court terme et le sol continuera d'être humide. Un arbre transpire 200 à 300 litres d'eau par jour (parfois plus), cette eau vient bien de quelque part !

Un exemple de reboisement spontané dans d'anciennes friches de Lorraine :

http://www.buvettedesalpages.be/images/ ... 50_ans.jpg

from : http://www.buvettedesalpages.be/2007/12 ... -spon.html

Je conseille de lire l'article.

on sait que les incendies de forêt sont bénéfiques en fait, car ils renouvellent totalement la végétation, et permettent ainsi à des variétés étouffés, de se redéployer. Dixit les spécialistes.

« Ça y est, ils ont admis. » C’est ainsi que la communauté climato-sceptique a « vendu » son nouveau scandale. Vendredi 14 décembre, Alec Rawls, un scientifique et blogueur américain de peu de renommée a « fuité » sur son site « Stop Green Suicide » (« Arrêtez le suicide vert ») le cinquième rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) dans sa version provisoire. Et l’homme y a trouvé, assure-t-il, ce qu’il était venu y chercher : la preuve que le soleil, et non l’homme, serait à l’origine du changement climatique.

http://www.terraeco.net/Rapport-du-Giec ... 47472.html

De quoi remettre les pendules à l'heure

le Giec, un gland tombé d'un arbre. y en a plein.

les cochonnes en raffolent.

« Ça y est, ils ont admis. » C’est ainsi que la communauté climato-sceptique a « vendu » son nouveau scandale. Vendredi 14 décembre, Alec Rawls, un scientifique et blogueur américain de peu de renommée a « fuité » sur son site « Stop Green Suicide » (« Arrêtez le suicide vert ») le cinquième rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) dans sa version provisoire. Et l’homme y a trouvé, assure-t-il, ce qu’il était venu y chercher : la preuve que le soleil, et non l’homme, serait à l’origine du changement climatique.

http://www.terraeco.net/Rapport-du-Giec ... 47472.html

De quoi remettre les pendules à l'heure

Moi, je regarde le graphique, et qu'est-ce que j'y vois : des points noirs qui représentent des données d'observation (de 1990 à 2010). A vue de nez, le réchauffement climatique serait de l'ordre de 0,15 °C en moyenne depuis 1990 (en faisant abstraction des données qui ont chuté vers 1992). Rien de bien inquiétant car on est dans une période de réchauffement interglaciaire, réchauffement qui est dû au soleil (tous les 10 à 11 000 ans).

http://www.terraeco.net/local/cache-vig ... -73462.jpg

from : http://www.terraeco.net/Rapport-du-Giec ... 47472.html

L'imbroglio médiatique ne m'intéresse pas. C'est du pinaillage !

le Giec, un gland tombé d'un arbre. y en a plein. les cochonnes en raffolent.
Les sangliers corses aussi !

8)

le Giec, un gland tombé d'un arbre. y en a plein.

les cochonnes en raffolent.

Et vous savez de quoi vous parlez

« Ça y est, ils ont admis. » C’est ainsi que la communauté climato-sceptique a « vendu » son nouveau scandale. Vendredi 14 décembre, Alec Rawls, un scientifique et blogueur américain de peu de renommée a « fuité » sur son site « Stop Green Suicide » (« Arrêtez le suicide vert ») le cinquième rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) dans sa version provisoire. Et l’homme y a trouvé, assure-t-il, ce qu’il était venu y chercher : la preuve que le soleil, et non l’homme, serait à l’origine du changement climatique.

http://www.terraeco.net/Rapport-du-Giec ... 47472.html

De quoi remettre les pendules à l'heure

Ouf, l'homme peut continuer a faire l'idiot sans remords ...