si tu relis bien, j'ai écris que j'aimerais lire les infos des autres indigènes du reste du monde. qu'est-ce qu'ils constatent par rapport aux années 80 par exemple.

Azeriop, je pense de plus en plus que l'activité humaine est négligeable au niveau thermique, du moins en ce qui concerne l'effet de serre. Et je suis désormais convaincue que le grand Manitou est le soleil. pour le moment, on a une belle suite d'hivers bien marqués, et même si cela est de la météo, c'est tout de même l’Europe qui est concernée au minimum.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

si tu relis bien, j'ai écris que j'aimerais lire les infos des autres indigènes du reste du monde. qu'est-ce qu'ils constatent par rapport aux années 80 par exemple.

Azeriop, je pense de plus en plus que l'activité humaine est négligeable au niveau thermique, du moins en ce qui concerne l'effet de serre. Et je suis désormais convaincue que le grand Manitou est le soleil. pour le moment, on a une belle suite d'hivers bien marqués, et même si cela est de la météo, c'est tout de même l’Europe qui est concernée au minimum.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

Les années se suivent et ne se ressemblent pas

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/meteorologie-1/d/2011-annee-le-plus-chaude-depuis-1900-en-france_35613/

Quoique:

http://fr.rian.ru/science/20121128/196756981.html

Globalement:

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/top-10-des-annees-les-plus-chaudes-2011-en-est_34949/

donc soyons prudents et limitons les GES. Cela nous fait faire des économies d'argent et de réserves d'hydrocarbures.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

C'est de la météo, pas du climat global :

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

C'est comme la stratégie et la tactique, ce n'est pas la même chose...

Ce n'est pas de la météo, c'est le climat européen qui se refroidit (ce qui est il me semble intégré dans la théorie du changement climatique planétaire).

Ce que miska a posté c'est de la météo

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

je la fais

et si c'est pour tous les continents, le même constat ?

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

je la fais

et si c'est pour tous les continents, le même constat ?

Vous saurez quel a été le climat global de la planète en début d'année prochaine, quand tous les relevés auront été faits au cours de 2012 et compilés

Dans une affaire humiliante pour les tenants d’un réchauffement climatique d’origine humaine, le dirigeant de Greenpeace, Gerd Leipold, a été forcé d'admettre que son organisation a publié des informations trompeuses et exagérées quand elle a affirmé que les glaces de l'Arctique pourraient disparaître complètement d'ici à 2030.

La glaciologue Tavi Murray a déclaré : « C’en est fini (…). Pratiquement partout, autour du Sud-Ouest du Groenland, les vitesses d’écoulement son revenues à leur niveau de l’année 2000... et personne ne saurait extrapoler le comportement excessif de la glace de cette époque vers le futur. »

le climat global ne tient pas compte de la cause ..... des faits rien que des faits

personnellement je me fiche de savoir qui a fait quoi, je ne fais que constater que ça se réchauffe

si ça se réchauffe, faut chercher dans la mécanique céleste du côté du Soleil.

il faut chercher partout ... il n'y a pas qu'une seule cause

Une nouvelle étude scientifique autorisée contredisant le ''consensus scientifique'' semeur d'alarme est sortie au mois de mai 2012, qui montre que la période de réchauffement bien documentée ayant eu lieu au Moyen -Âge ne s'est pas limitée à l'Europe, ou même à l'hémisphère nord : elle est allée jusqu'à l'Antarctique.

or on sait qu'au MA, l'activité humaine est loin d'être ce qu'elle est aujourd'hui.

qui parle encore d'activité humaine dans la principale cause ??

tout le monde. ou presque.

on ne parle que de gaz à effet de serre, alors que d'une part, si effet de serre il y a réellement, une plus grande partie du rayonnement est réfléchie, ce qui équilibre, théoriquement, la part qui reste piégée, de sorte que le solde pourrait demeurer sensiblement stable.

par contre une modulation de la puissance du Soleil correspond exactement avec celle des températures du globe. ceci a largement été mis en évidence depuis longtemps.

on notera par ailleurs que le carbone et l'effet de serre sont deux éléments indispensables à la vie sur Terre, et qu'il vaut mieux avoir un peu plus chaud que geler.

Le jour, où on mettra en évidence un refroidissement spectaculaire à venir, alors l'humanité pourra vraiment s'affoler.

-

On dit couramment que le climat s'est réchauffé de 1°C en 100 ans. Je me demande dans quelle mesure sont faussées les analyses des relevés météorologiques, étant donné que les parcs météorologiques qui ont de longues séries de données, sont installés dans des zones dont le climat local s'est réchauffé. Je pense par exemple, à l'observatoire de Montsouris (îlot urbain plus grand et mieux chauffé qu'en 1900, y compris par le trafic automobile). De nombreux parcs météorologiques sont situés dans les aéroports, en bordure de piste, alors que le trafic aérien a considérablement augmenté (pleins gaz au décollage).

En 1870, le ministre de lʼInstruction publique, Victor Duruy, suggère la création dʼun observatoire spécialisé en dehors de Paris. La ville de Paris achète au baron Jules de Lesseps le palais du Bardo dans le parc de Montsouris, qui devient une succursale de l'Observatoire avant dʼêtre dévolu à la ville de Paris.

http://expositions.obspm.fr/leverrier/L ... ouris.html Il y a belle lurette que cet observatoire n'est plus en dehors de Paris !

"Le microclimat transporte Paris à la latitude de Toulouse. Une étude inventorie les changements de climat produits par un siècle d'urbanisation en Ile-de-France..".

Ca chauffe à Paris. En un siècle, l'urbanisation bouillonnante du Bassin parisien a fait monter la température de son centre de quatre degrés. Abonnée jusqu'alors au régime océanique tempéré par son éloignement de la mer, la capitale a développé un microclimat original. « C'est comme si Paris avait été transporté à Toulouse, soit un gain de six degrés de latitude vers le sud », explique Gisèle Escourrou. Professeur de climatologie à la Sorbonne, elle vient de publier, via l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Ile-de-France (Iaurif), une étude qui mesure l'évolution du temps francilien à partir de plusieurs milliers de relevés météo (lire Libération du 9 mars 1995).

Surprise, il fait plus chaud à Paris qu'à Bordeaux pendant la moitié de l'année. Mieux: « La température moyenne du centre de Paris est sensiblement la même que celle de Toulouse », note Gisèle Escourrou. Il en est ainsi de toute les métropoles développées. A partir d'un million d'habitants, l'énergie qu'elles produisent modifie leur climat. Voitures, chauffage, éclairage ont créé « un îlot de chaleur » qui « ne cesse de croître tant en superficie qu'en intensité ». Surtout la nuit, quand ressort la chaleur diurne emmagasinée dans les maisons, « alors que pendant la journée, une partie de la radiation solaire n'atteint plus le sol en raison du filtre des petites particules de la pollution », explique Gisèle Escourrou.

Si les nuits parisiennes sont de plus en plus chaudes, « l'air se refroidit à mesure que l'on s'éloigne du centre », selon la climatologue: « Entre Paris et la grande couronne, on note des écarts de température de 4 à 6° sous anticyclone. » Le thermomètre chute d'un degré entre le secteur de l'église de Saint-Philippe-du-Roule (VIIIe arrondissement), avec ses rues étroites et hautes, où se situe le pôle le plus chaud, et le quartier de la tour Saint-Jacques (IVe), lui-même plus chaud d'un degré que le secteur du parc Montsouris (sur les bords du XIVe). Plus loin, le Bourget (Seine-Saint-Denis) perd un degré.

Depuis 1974, des étudiants du centre de climatologie et d'hydrologie de la Sorbonne ont pris la température de la capitale en des endroits précis. A conditions météo égales, les différences obtenues révèlent l'impact de la topographie de la ville sur le climat. Ainsi les rues étroites sont plus chaudes que les grandes avenues: un degré de plus rue Saint-Jacques par rapport au boulevard Saint-Michel, parallèle et tout proche.

Ce dôme de chaleur qui flotte au-dessus de la capitale a par ailleurs modifié les pluies, les orages et les brouillards. L'hiver, il agit comme un mini-anticyclone: les petites pluies, produites par des masses d'air stables, le contournent par le nord et le sud. L'été, l'îlot de chaleur urbain se cogne aux masses d'air fraîches. Les orages sont plus violents. Venus du sud et du sud-est, ils arrosent donc en priorité le XIXe, le XXe et les banlieues nord et est (Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

En toute saison, l'écoulement des pluies sur l'asphalte et vers les égouts avant toute évaporation contribue a diminuer le taux d'humidité de l'air. En résumé, il pleut moins et plus dru à Paris qu'au début du siècle. Au final, le bilan des précipitations ­ l'un des plus bas de France, place Paris juste après la Beauce et le Languedoc, les deux régions les plus sèches. « En volume, il pleut moins à Paris qu'à Nice, ce qui ne veut pas dire qu'il y fasse plus beau: les averses parisiennes tombent pendant des heures », précise Gisèle Escourrou. La chaleur croissante des nuits parisiennes a enfin réduit par dix le nombre de jours de brouillards depuis cinquante ans. L'humidité est trop faible pour qu'il y ait une condensation de vapeur d'eau. Malgré la pollution, il y a seulement dix jours de « fog » par an à Paris. Les polluants liés au trafic automobile restent donc en suspension dans l'air, mais pas sous forme de brouillard. « S'il n'y avait la pollution, le microclimat parisien, sans forte amplitude thermique, serait meilleur pour la santé que celui de la campagne », conclut la dame des climats. Mais on sait depuis belle lurette qu'avec des « si » on mettrait Paris en bouteille.

http://www.liberation.fr/metro/01011527 ... -de-france

"Coupable, le microclimat des villes.".

http://www.lepoint.fr/actualites-societ ... 20/0/88861

L'urbanisation intense modifie le climat localement et la pollution atmosphérique est cause d'une perte de 15 à 20 % du rayonnement solaire global. L’écart de chaleur entre la campagne proche de Paris et le centre est de 2,5°C en moyenne annuelle. Il peut atteindre environ 8°C au lever du soleil dans le cas d’un vent faible et d’une nuit sans nuage. L’écart se fait sentir davantage la nuit que la journée, ce phénomène est lié aux surfaces bétonnées qui accumulent la chaleur du jour et surtout le vent qui souffle moins la nuit. La chaleur des habitations, la circulation automobile entre autres, sont des conséquences de l’îlot de chaleur.

De 30 à 40 km du centre le nombre de jours de gelée par an est supérieur à 40 alors qu’il est de 15 à la Tour-St-Jacques (centre de Paris). A distance égale du centre de la capitale on y observe moins de jours de brouillard à l’est qu’à l’ouest, car les vents dominants sont d’ouest. Si la capitale compte en moyenne 6 jours de brouillard par an sur la période 1992-2001, la ligne des vingt jours de brouillard coupe le département du Val-de-Marne en deux, laissant Créteil au-dessus de cette ligne et Orly (23) en dessous.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Climat_du_Val-de-Marne

tout ce laïus pour faire de la météo locale :

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?

-

En fait, les climatologues ont "corrigé" les relevés anciens pour "gommer" au mieux le fait que les sites de mesures ont évolué. Il reste à espérer qu'ils n'ont pas fait d'erreur d'appréciation.

... Pour être comparables, les conditions de mesures doivent être identiques au cours du temps. C'est l'objectif de l'homogénéisation des données. Les données brutes sont en effet rarement comparables : des différences entre les appareils de mesure, des changements au cours du temps, des déplacements de postes, des modifications dans son environnement... sont autant de facteurs masquant le signal, de ruptures que le climatologue s'efforce de supprimer. (...)

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?

Si vous connaissiez le sujet, vous verriez que les stations météo françaises sont dans des points dont la situation urbanistique n'a pas spécialement évolué. Les stations principales sont situées près des aéroports dans des lieux non efficandi.

Et puis ne prenez pas les météorologues pour des idiots!