si tu relis bien, j'ai écris que j'aimerais lire les infos des autres indigènes du reste du monde. qu'est-ce qu'ils constatent par rapport aux années 80 par exemple.

Azeriop, je pense de plus en plus que l'activité humaine est négligeable au niveau thermique, du moins en ce qui concerne l'effet de serre. Et je suis désormais convaincue que le grand Manitou est le soleil. pour le moment, on a une belle suite d'hivers bien marqués, et même si cela est de la météo, c'est tout de même l’Europe qui est concernée au minimum.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

si tu relis bien, j'ai écris que j'aimerais lire les infos des autres indigènes du reste du monde. qu'est-ce qu'ils constatent par rapport aux années 80 par exemple.

Azeriop, je pense de plus en plus que l'activité humaine est négligeable au niveau thermique, du moins en ce qui concerne l'effet de serre. Et je suis désormais convaincue que le grand Manitou est le soleil. pour le moment, on a une belle suite d'hivers bien marqués, et même si cela est de la météo, c'est tout de même l’Europe qui est concernée au minimum.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

Les années se suivent et ne se ressemblent pas

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/meteorologie-1/d/2011-annee-le-plus-chaude-depuis-1900-en-france_35613/

Quoique:

http://fr.rian.ru/science/20121128/196756981.html

Globalement:

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/top-10-des-annees-les-plus-chaudes-2011-en-est_34949/

donc soyons prudents et limitons les GES. Cela nous fait faire des économies d'argent et de réserves d'hydrocarbures.

Avec une température annuelle inférieure de 0,3 °C à la moyenne de référence 1971-2000, l’année 2010 se positionne en France métropolitaine comme la plus fraîche de ces deux dernières décennies, avec 1996. Pour trouver une année plus froide, il faut remonter en 1987 avec une température moyenne inférieure de 0,5 °C à la normale*. Ces températures basses ont d’ailleurs concerné l’ensemble de l’Europe du Nord.

source météo france

C'est de la météo, pas du climat global :

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

C'est comme la stratégie et la tactique, ce n'est pas la même chose...

Ce n'est pas de la météo, c'est le climat européen qui se refroidit (ce qui est il me semble intégré dans la théorie du changement climatique planétaire).

Ce que miska a posté c'est de la météo

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

je la fais

et si c'est pour tous les continents, le même constat ?

Quand arriverez-vous à faire la différence ?

je la fais

et si c'est pour tous les continents, le même constat ?

Vous saurez quel a été le climat global de la planète en début d'année prochaine, quand tous les relevés auront été faits au cours de 2012 et compilés

Dans une affaire humiliante pour les tenants d’un réchauffement climatique d’origine humaine, le dirigeant de Greenpeace, Gerd Leipold, a été forcé d'admettre que son organisation a publié des informations trompeuses et exagérées quand elle a affirmé que les glaces de l'Arctique pourraient disparaître complètement d'ici à 2030.

La glaciologue Tavi Murray a déclaré : « C’en est fini (…). Pratiquement partout, autour du Sud-Ouest du Groenland, les vitesses d’écoulement son revenues à leur niveau de l’année 2000... et personne ne saurait extrapoler le comportement excessif de la glace de cette époque vers le futur. »

le climat global ne tient pas compte de la cause ..... des faits rien que des faits

personnellement je me fiche de savoir qui a fait quoi, je ne fais que constater que ça se réchauffe

si ça se réchauffe, faut chercher dans la mécanique céleste du côté du Soleil.

il faut chercher partout ... il n'y a pas qu'une seule cause

Une nouvelle étude scientifique autorisée contredisant le ''consensus scientifique'' semeur d'alarme est sortie au mois de mai 2012, qui montre que la période de réchauffement bien documentée ayant eu lieu au Moyen -Âge ne s'est pas limitée à l'Europe, ou même à l'hémisphère nord : elle est allée jusqu'à l'Antarctique.

or on sait qu'au MA, l'activité humaine est loin d'être ce qu'elle est aujourd'hui.

qui parle encore d'activité humaine dans la principale cause ??

tout le monde. ou presque.

on ne parle que de gaz à effet de serre, alors que d'une part, si effet de serre il y a réellement, une plus grande partie du rayonnement est réfléchie, ce qui équilibre, théoriquement, la part qui reste piégée, de sorte que le solde pourrait demeurer sensiblement stable.

par contre une modulation de la puissance du Soleil correspond exactement avec celle des températures du globe. ceci a largement été mis en évidence depuis longtemps.

on notera par ailleurs que le carbone et l'effet de serre sont deux éléments indispensables à la vie sur Terre, et qu'il vaut mieux avoir un peu plus chaud que geler.

Le jour, où on mettra en évidence un refroidissement spectaculaire à venir, alors l'humanité pourra vraiment s'affoler.

-

On dit couramment que le climat s'est réchauffé de 1°C en 100 ans. Je me demande dans quelle mesure sont faussées les analyses des relevés météorologiques, étant donné que les parcs météorologiques qui ont de longues séries de données, sont installés dans des zones dont le climat local s'est réchauffé. Je pense par exemple, à l'observatoire de Montsouris (îlot urbain plus grand et mieux chauffé qu'en 1900, y compris par le trafic automobile). De nombreux parcs météorologiques sont situés dans les aéroports, en bordure de piste, alors que le trafic aérien a considérablement augmenté (pleins gaz au décollage).

En 1870, le ministre de lʼInstruction publique, Victor Duruy, suggère la création dʼun observatoire spécialisé en dehors de Paris. La ville de Paris achète au baron Jules de Lesseps le palais du Bardo dans le parc de Montsouris, qui devient une succursale de l'Observatoire avant dʼêtre dévolu à la ville de Paris.

http://expositions.obspm.fr/leverrier/L ... ouris.html Il y a belle lurette que cet observatoire n'est plus en dehors de Paris !

"Le microclimat transporte Paris à la latitude de Toulouse. Une étude inventorie les changements de climat produits par un siècle d'urbanisation en Ile-de-France..".

Ca chauffe à Paris. En un siècle, l'urbanisation bouillonnante du Bassin parisien a fait monter la température de son centre de quatre degrés. Abonnée jusqu'alors au régime océanique tempéré par son éloignement de la mer, la capitale a développé un microclimat original. « C'est comme si Paris avait été transporté à Toulouse, soit un gain de six degrés de latitude vers le sud », explique Gisèle Escourrou. Professeur de climatologie à la Sorbonne, elle vient de publier, via l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Ile-de-France (Iaurif), une étude qui mesure l'évolution du temps francilien à partir de plusieurs milliers de relevés météo (lire Libération du 9 mars 1995).

Surprise, il fait plus chaud à Paris qu'à Bordeaux pendant la moitié de l'année. Mieux: « La température moyenne du centre de Paris est sensiblement la même que celle de Toulouse », note Gisèle Escourrou. Il en est ainsi de toute les métropoles développées. A partir d'un million d'habitants, l'énergie qu'elles produisent modifie leur climat. Voitures, chauffage, éclairage ont créé « un îlot de chaleur » qui « ne cesse de croître tant en superficie qu'en intensité ». Surtout la nuit, quand ressort la chaleur diurne emmagasinée dans les maisons, « alors que pendant la journée, une partie de la radiation solaire n'atteint plus le sol en raison du filtre des petites particules de la pollution », explique Gisèle Escourrou.

Si les nuits parisiennes sont de plus en plus chaudes, « l'air se refroidit à mesure que l'on s'éloigne du centre », selon la climatologue: « Entre Paris et la grande couronne, on note des écarts de température de 4 à 6° sous anticyclone. » Le thermomètre chute d'un degré entre le secteur de l'église de Saint-Philippe-du-Roule (VIIIe arrondissement), avec ses rues étroites et hautes, où se situe le pôle le plus chaud, et le quartier de la tour Saint-Jacques (IVe), lui-même plus chaud d'un degré que le secteur du parc Montsouris (sur les bords du XIVe). Plus loin, le Bourget (Seine-Saint-Denis) perd un degré.

Depuis 1974, des étudiants du centre de climatologie et d'hydrologie de la Sorbonne ont pris la température de la capitale en des endroits précis. A conditions météo égales, les différences obtenues révèlent l'impact de la topographie de la ville sur le climat. Ainsi les rues étroites sont plus chaudes que les grandes avenues: un degré de plus rue Saint-Jacques par rapport au boulevard Saint-Michel, parallèle et tout proche.

Ce dôme de chaleur qui flotte au-dessus de la capitale a par ailleurs modifié les pluies, les orages et les brouillards. L'hiver, il agit comme un mini-anticyclone: les petites pluies, produites par des masses d'air stables, le contournent par le nord et le sud. L'été, l'îlot de chaleur urbain se cogne aux masses d'air fraîches. Les orages sont plus violents. Venus du sud et du sud-est, ils arrosent donc en priorité le XIXe, le XXe et les banlieues nord et est (Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

En toute saison, l'écoulement des pluies sur l'asphalte et vers les égouts avant toute évaporation contribue a diminuer le taux d'humidité de l'air. En résumé, il pleut moins et plus dru à Paris qu'au début du siècle. Au final, le bilan des précipitations ­ l'un des plus bas de France, place Paris juste après la Beauce et le Languedoc, les deux régions les plus sèches. « En volume, il pleut moins à Paris qu'à Nice, ce qui ne veut pas dire qu'il y fasse plus beau: les averses parisiennes tombent pendant des heures », précise Gisèle Escourrou. La chaleur croissante des nuits parisiennes a enfin réduit par dix le nombre de jours de brouillards depuis cinquante ans. L'humidité est trop faible pour qu'il y ait une condensation de vapeur d'eau. Malgré la pollution, il y a seulement dix jours de « fog » par an à Paris. Les polluants liés au trafic automobile restent donc en suspension dans l'air, mais pas sous forme de brouillard. « S'il n'y avait la pollution, le microclimat parisien, sans forte amplitude thermique, serait meilleur pour la santé que celui de la campagne », conclut la dame des climats. Mais on sait depuis belle lurette qu'avec des « si » on mettrait Paris en bouteille.

http://www.liberation.fr/metro/01011527 ... -de-france

"Coupable, le microclimat des villes.".

http://www.lepoint.fr/actualites-societ ... 20/0/88861

L'urbanisation intense modifie le climat localement et la pollution atmosphérique est cause d'une perte de 15 à 20 % du rayonnement solaire global. L’écart de chaleur entre la campagne proche de Paris et le centre est de 2,5°C en moyenne annuelle. Il peut atteindre environ 8°C au lever du soleil dans le cas d’un vent faible et d’une nuit sans nuage. L’écart se fait sentir davantage la nuit que la journée, ce phénomène est lié aux surfaces bétonnées qui accumulent la chaleur du jour et surtout le vent qui souffle moins la nuit. La chaleur des habitations, la circulation automobile entre autres, sont des conséquences de l’îlot de chaleur.

De 30 à 40 km du centre le nombre de jours de gelée par an est supérieur à 40 alors qu’il est de 15 à la Tour-St-Jacques (centre de Paris). A distance égale du centre de la capitale on y observe moins de jours de brouillard à l’est qu’à l’ouest, car les vents dominants sont d’ouest. Si la capitale compte en moyenne 6 jours de brouillard par an sur la période 1992-2001, la ligne des vingt jours de brouillard coupe le département du Val-de-Marne en deux, laissant Créteil au-dessus de cette ligne et Orly (23) en dessous.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Climat_du_Val-de-Marne

tout ce laïus pour faire de la météo locale :

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?

-

En fait, les climatologues ont "corrigé" les relevés anciens pour "gommer" au mieux le fait que les sites de mesures ont évolué. Il reste à espérer qu'ils n'ont pas fait d'erreur d'appréciation.

... Pour être comparables, les conditions de mesures doivent être identiques au cours du temps. C'est l'objectif de l'homogénéisation des données. Les données brutes sont en effet rarement comparables : des différences entre les appareils de mesure, des changements au cours du temps, des déplacements de postes, des modifications dans son environnement... sont autant de facteurs masquant le signal, de ruptures que le climatologue s'efforce de supprimer. (...)

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?

Si vous connaissiez le sujet, vous verriez que les stations météo françaises sont dans des points dont la situation urbanistique n'a pas spécialement évolué. Les stations principales sont situées près des aéroports dans des lieux non efficandi.

Et puis ne prenez pas les météorologues pour des idiots!

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?Si vous connaissiez le sujet, vous verriez que les stations météo françaises sont dans des points dont la situation urbanistique n'a pas spécialement évolué. Les stations principales sont situées près des aéroports dans des lieux non efficandi. Et puis ne prenez pas les météorologues pour des idiotsEtes-vous sûr d'avoir compris ce que j'ai posté ?

J'ai travaillé dans une spécialité proche de la météorologie. L'un de mes collègues dirigeait un service de mesures climatiques (réseau national extérieur à la Météorologie nationale). Il a propagé les stations automatiques. Les données qu'il a collectées n'ont pas un siècle ! Alors, où ont été collectées les plus longues séries de données, celles qui partent des années 1900 ?

8)

tout ce laïus pour faire de la météo locale :
Ma chère, vous ne savez donc pas que le climat global est étudié à partir de mesures météorologiques locales, et où mesure-t-on en général ? Dans un parc météorologique ! Sinon, comment saurait-on les variations de température ! Mon laïus est tout-à-fait pertinent ! On ne peut vraiment comparer que si les sites de mesure sont restés stables, or ils ont été urbanisés ! Claro ?

On parle de réchauffement climatique à l'échelle de la planète et c'est la somme de milliards de mesures locales pour en faire une seule globale ..... je me fiche de la météo à Perpette-les-Oies, c'est pas là que c'est intéressant, ce n'est même pas un indicateur du réchauffement climatique, c'est juste une indication parmi des milliards diamétralement opposées

Claro ?

J'ai travaillé dans une spécialité proche de la météorologie. L'un de mes collègues dirigeait un service de mesures climatiques (réseau national extérieur à la Météorologie nationale). Il a propagé les stations automatiques. Les données qu'il a collectées n'ont pas un siècle ! Alors, où ont été collectées les plus longues séries de données, celles qui partent des années 1900 ?

8)

Certaines en ville, mais aussi certaines dans des points remarquables qui le sont encore...

L'effet d'urbanisme est pris en compte dans pas mal d'études...

Le sujet est difficile, mais quand même, beaucoup d'études convergent vers un réchauffement d'origine humaine , hypiothèse qu'il me semble cavalier d'évacuer précipitamment comme certains le font sur ce forum...

J'ai travaillé dans une spécialité proche de la météorologie. L'un de mes collègues dirigeait un service de mesures climatiques (réseau national extérieur à la Météorologie nationale). Il a propagé les stations automatiques. Les données qu'il a collectées n'ont pas un siècle ! Alors, où ont été collectées les plus longues séries de données, celles qui partent des années 1900 ?

8)

je partage totalement votre point de vue. en outre, qu'est-ce qui permet d'affirmer qu'une variation de température moyenne planétaire est anormale ?

cela voudrait dire qu'il y a une norme de référence. or, ce n'est absolument pas le cas. c'est tout juste si l'on peut extrapoler une courbe, mais sans être certain de son aspect. Un peu comme une variation du CAC 40 pour les 6 prochains mois.

Et puis ne prenez pas les météorologues pour des idiots!

ils sont comme la majorité des experts: faillibles. d'ailleurs les météorologues ne s'en cachent pas: leur science est encore jeune et ils ont encore énormément à apprendre. en fait c'est un peu comme de chercher le loto gagnant. donc ils sont pas encore au bout de leur peine. Curieusement, les animaux semblent bien plus doués pour donner la météo, de même que certains paysans avec leurs dictons.

On parle de réchauffement climatique à l'échelle de la planète et c'est la somme de milliards de mesures locales pour en faire une seule globale ..... je me fiche de la météo à Perpette-les-Oies, c'est pas là que c'est intéressant, ce n'est même pas un indicateur du réchauffement climatique, c'est juste une indication parmi des milliards diamétralement opposées Claro ?
Il n'y a pas un climat global, ni une mesure globale, il n'y a que des moyennes ! Lisez bien ce que j'ai posté sur l'homogénéisation des données et réfléchissez !

il n'y a que des moyennes

Pour faire LA moyenne globale de 2012 .. il faudra mouliner toutes les météos locales du monde entier sur un an

C'est quand même pas difficile à comprendre

il n'y a que des moyennes
Pour faire LA moyenne globale de 2012 .. il faudra mouliner toutes les météos locales du monde entier sur un an C'est quand même pas difficile à comprendreEt ça ne voudra rien dire. On n'additionne pas des poules et des lapins !

il n'y a que des moyennes

Pour faire LA moyenne globale de 2012 .. il faudra mouliner toutes les météos locales du monde entier sur un an

C'est quand même pas difficile à comprendre

ce qui n'a jamais été fait auparavant.

alors comment comparer des données incomparables dans le temps ?

c'est simple à comprendre, non ?

Carottes dans les glaces et coupes transversales des arbres renseignent sur le climat... sinon vous avez les archives nationales qui renseignent très bien

"Variations de la température moyenne de la Terre au cours des millénaires.".

La caractéristique majeure du climat moyen est qu'il a fluctué très fortement depuis que la Terre existe, la température moyenne du globe en est la manifestation la plus évidente.

On distingue évidemment des variations des climats régionaux (régions, continents , hémisphères, etc.),

il est beaucoup plus difficile de définir un climat global de la terre qui serait une somme de ces climats régionaux

. Les climatologues se refusent à faire cette somme mathématique impossible bien qu'ils admettent l'évidence de phases alternatives de réchauffement et de refroidissement planétaire. Devant cette difficulté, chiffrer correctement la valeur d'un réchauffement global moyen ou même d'un refroidissement global moyen, reste un exercice périlleux.

Soyons aussi plus précis : Il ne faut pas confondre météo et climatologie:

La météo prévoit et nous pouvons ensuite constater des variations importantes du temps à courte échéance (quelques jours, quelques semaines) dans une région donnée. Il est évident que la météo régionale varie considérablement entre des régions situées sous les tropiques et celles sous les cercles polaires.

La climatologie étudie les variations des climats régionaux en relevant des moyennes de paramètres régionaux (températures moyennes, précipitations moyennes, ensoleillement, etc...) sur des dizaines d'années, voire des siècles.

Beaucoup de climatologues affirment que calculer une moyenne globale des températures locales de la Terre à partir des moyennes régionales n'a pas de signification scientifique. En effet que signifie une moyenne climatique entre, par exemple, le Sahel et le Groenland ???

Variations de température:

1. Il faut se rappeler que la teneur en CO2 de l'atmosphère ainsi que la moyenne des températures du globe ont toujours varié, ce qui est par exemple illustré par des analyses portant sur les quelques dernières centaines de milliers d'années. (voir oscillations ci-dessous).

http://s1.e-monsite.com/2009/06/05/07/8 ... re-jpg.jpg

2. Les époques plus récentes ont connu des variations climatiques régionales notoires (voir graphiques ci-dessous pour l'Europe et ensuite Groenland).

http://s1.e-monsite.com/2008/11/13/09/6 ... ss-jpg.jpg

3. On voit que notre époque se situe en phase avancée d'un réchauffement climatique, comme il y en a eu d'autres depuis la dernière période glaciaire du Würm.

Les changement climatiques récents:

Le changement climatique est permanent sur la planète Terre qui n'a jamais été en équilibre, le climat a toujours varié!

Rappelons nous que par exemple:

Au 13ème siècle le Groenland permettait à une colonie de Vikings de vivre de culture et d'élevage, aujourd'hui c'est impossible car il est essentiellement couvert de glaces. (La vigne était cultivée à Amiens et en Angleterre, à la même époque.)

Les données scientifiques fournies par le National Climatic Data Center-noaa, résultant des différents sondages GISP de la glace au sommet du Groenland, décrivent les variations de la température moyenne au centre du Groenland par la mesure de la variation de concentration d'un isotope de l'oxygène. La reconstitution donnée sur la figure ci-dessous montre les variations de température au Groenland durant les 4000 dernières années.

http://s1.e-monsite.com/2009/06/03/07/1 ... es-jpg.jpg

Le "petit âge glaciaire" des 16 et 17ème siècle ainsi que l'optimum climatique de l'an mille (Vikings au Groenland) sont ici bien visibles ainsi que d'autres optima encore plus chauds.

Cette courbe montre surtout que la température moyenne actuelle au centre du Groenland est particulièrement froide ! La température moyenne a été dans les 4000 dernières années, en général, plus élevée qu'aujourd'hui et jusqu'à environ 3°C !

On constate aussi les valeurs importantes des vitesses de variation de la température moyenne qui impactent le climat du Groenland mais aussi certainement le climat de l'hémisphère nord.

Ces vitesses de variation ancestrales sont pour la plupart SUPERIEURES à celles observées au 20ème siècle, qui est d'environ 0,7°C par siècle.

... Les reconstitutions des températures moyennes annuelles étendues dans le passé jusqu'au delà de 15 000 ans, montrent que :

- Le climat a été, bien entendu, beaucoup plus froid qu'aujourd'hui notamment pendant la dernière période glaciaire, il y a 10 000 ans.

- Cependant

depuis plus de 3000 ans la température moyenne a été sensiblement supérieure à celle de notre époque

! (voir graphique ci-dessus)

- Des fluctuations naturelles de température se produisent sans cesse.

-

La période actuelle est donc comparativement une période plutôt froide

.

(voir graphique ci-dessus. Source : GISP2 Temperature)

http://s2.e-monsite.com/2009/12/16/11/r ... gent-1.jpg

Glacier d'Argentière début du 18ème siècle, fin du petit âge glaciaire.

http://s1.e-monsite.com/2009/06/03/09/3 ... 66-jpg.jpg

Le glacier des Bossons en 1866 en cours de décrue, après le petit âge glaciaire.

En 1866 le glacier des Bossons était déjà bien remonté dans sa vallée,

sans l'aide du réchauffement anthropique

.

... Le glacier des Bossons avait retrouvé en 1980 la taille qu'il avait en 1940 ! (...)

Aujourd'hui que constate t-on?:

1. Depuis 1860 la moyenne globale des températures de la basse atmosphère s'est élevée de 0,8°C.

2. Qu'une baisse des températures de 0,4°C est cependant notée pendant 30 ans, entre 1880 et 1910.

3. Qu'un palier est noté pendant 25 ans, entre 1950 et 1975.

4. Que la moyenne des températures de la basse atmosphère depuis 2003, marque un palier, si ce n'est une baisse.

5. Que la chaleur contenue dans les océans tend à baisser depuis 2003 ! (...)

Conclusion :

La moyenne des températures de la basse atmosphère varie, certes et depuis fort longtemps, mais SANS corrélation détectable avec la variation de la teneur en CO2 de l'atmosphère. (...)

Lire le texte intégral sur :

http://co2climate.e-monsite.com/pages/v ... aires.html

"Variations de la température moyenne de la Terre au cours des millénaires.".

La caractéristique majeure du climat moyen est qu'il a fluctué très fortement depuis que la Terre existe, la température moyenne du globe en est la manifestation la plus évidente.

On distingue évidemment des variations des climats régionaux (régions, continents , hémisphères, etc.), il est beaucoup plus difficile de définir un climat global de la terre qui serait une somme de ces climats régionaux. Les climatologues se refusent à faire cette somme mathématique impossible bien qu'ils admettent l'évidence de phases alternatives de réchauffement et de refroidissement planétaire. Devant cette difficulté, chiffrer correctement la valeur d'un réchauffement global moyen ou même d'un refroidissement global moyen, reste un exercice périlleux.

Soyons aussi plus précis : Il ne faut pas confondre météo et climatologie:

La météo prévoit et nous pouvons ensuite constater des variations importantes du temps à courte échéance (quelques jours, quelques semaines) dans une région donnée. Il est évident que la météo régionale varie considérablement entre des régions situées sous les tropiques et celles sous les cercles polaires.

La climatologie étudie les variations des climats régionaux en relevant des moyennes de paramètres régionaux (températures moyennes, précipitations moyennes, ensoleillement, etc...) sur des dizaines d'années, voire des siècles.

Beaucoup de climatologues affirment que calculer une moyenne globale des températures locales de la Terre à partir des moyennes régionales n'a pas de signification scientifique. En effet que signifie une moyenne climatique entre, par exemple, le Sahel et le Groenland ???

Variations de température:

1. Il faut se rappeler que la teneur en CO2 de l'atmosphère ainsi que la moyenne des températures du globe ont toujours varié, ce qui est par exemple illustré par des analyses portant sur les quelques dernières centaines de milliers d'années. (voir oscillations ci-dessous).

http://s1.e-monsite.com/2009/06/05/07/8 ... re-jpg.jpg

2. Les époques plus récentes ont connu des variations climatiques régionales notoires (voir graphiques ci-dessous pour l'Europe et ensuite Groenland).

http://s1.e-monsite.com/2008/11/13/09/6 ... ss-jpg.jpg

3. On voit que notre époque se situe en phase avancée d'un réchauffement climatique, comme il y en a eu d'autres depuis la dernière période glaciaire du Würm.

Les changement climatiques récents:

Le changement climatique est permanent sur la planète Terre qui n'a jamais été en équilibre, le climat a toujours varié!

Rappelons nous que par exemple:

Au 13ème siècle le Groenland permettait à une colonie de Vikings de vivre de culture et d'élevage, aujourd'hui c'est impossible car il est essentiellement couvert de glaces. (La vigne était cultivée à Amiens et en Angleterre, à la même époque.)

Les données scientifiques fournies par le National Climatic Data Center-noaa, résultant des différents sondages GISP de la glace au sommet du Groenland, décrivent les variations de la température moyenne au centre du Groenland par la mesure de la variation de concentration d'un isotope de l'oxygène. La reconstitution donnée sur la figure ci-dessous montre les variations de température au Groenland durant les 4000 dernières années.

http://s1.e-monsite.com/2009/06/03/07/1 ... es-jpg.jpg

Le "petit âge glaciaire" des 16 et 17ème siècle ainsi que l'optimum climatique de l'an mille (Vikings au Groenland) sont ici bien visibles ainsi que d'autres optima encore plus chauds.

Cette courbe montre surtout que la température moyenne actuelle au centre du Groenland est particulièrement froide ! La température moyenne a été dans les 4000 dernières années, en général, plus élevée qu'aujourd'hui et jusqu'à environ 3°C !

On constate aussi les valeurs importantes des vitesses de variation de la température moyenne qui impactent le climat du Groenland mais aussi certainement le climat de l'hémisphère nord.

Ces vitesses de variation ancestrales sont pour la plupart SUPERIEURES à celles observées au 20ème siècle, qui est d'environ 0,7°C par siècle.

... Les reconstitutions des températures moyennes annuelles étendues dans le passé jusqu'au delà de 15 000 ans, montrent que :

- Le climat a été, bien entendu, beaucoup plus froid qu'aujourd'hui notamment pendant la dernière période glaciaire, il y a 10 000 ans.

- Cependant depuis plus de 3000 ans la température moyenne a été sensiblement supérieure à celle de notre époque ! (voir graphique ci-dessus)

- Des fluctuations naturelles de température se produisent sans cesse.

- La période actuelle est donc comparativement une période plutôt froide.

(voir graphique ci-dessus. Source : GISP2 Temperature)

http://s2.e-monsite.com/2009/12/16/11/r ... gent-1.jpg

Glacier d'Argentière début du 18ème siècle, fin du petit âge glaciaire.

http://s1.e-monsite.com/2009/06/03/09/3 ... 66-jpg.jpg

Le glacier des Bossons en 1866 en cours de décrue, après le petit âge glaciaire.

En 1866 le glacier des Bossons était déjà bien remonté dans sa vallée, sans l'aide du réchauffement anthropique.

... Le glacier des Bossons avait retrouvé en 1980 la taille qu'il avait en 1940 ! (...)

Aujourd'hui que constate t-on?:

1. Depuis 1860 la moyenne globale des températures de la basse atmosphère s'est élevée de 0,8°C.

2. Qu'une baisse des températures de 0,4°C est cependant notée pendant 30 ans, entre 1880 et 1910.

3. Qu'un palier est noté pendant 25 ans, entre 1950 et 1975.

4. Que la moyenne des températures de la basse atmosphère depuis 2003, marque un palier, si ce n'est une baisse.

5. Que la chaleur contenue dans les océans tend à baisser depuis 2003 ! (...)

Conclusion :

La moyenne des températures de la basse atmosphère varie, certes et depuis fort longtemps, mais SANS corrélation détectable avec la variation de la teneur en CO2 de l'atmosphère. (...)

Lire le texte intégral sur :

http://co2climate.e-monsite.com/pages/v ... aires.html

La conclusion me semble bien hâtive!!!!!!

Elle est même hasardeuse. Ce que vous prouvez, c'est qu'il peut y avoir d'autres facteurs qui peuvent influer le climat et en cela vous rejoignez beaucoup de travaux climatologiques réalisés dans le cadre du GIEC. C'est même une des difficultés de ces travaux de pouvoir mettre en évidence l'influence spécifique des activités humaines.

La corrélation avec le CO2 de la haute atmosphère ne peut être faite que sur la période récente, à la fois pour des raisons de disponibilités de mesures et aussi parce que les activités humaines n'avaient pas d'importance pour avoir une quelconque influence avant 1950.

La corrélation avec le CO2 de la haute atmosphère ne peut être faite que sur la période récente, à la fois pour des raisons de disponibilités de mesures et aussi parce que les activités humaines n'avaient pas d'importance pour avoir une quelconque influence avant 1950.
C'est bien ce que je dis, on ne dispose de données de températures sur un siècle que sur un petit nombre de sites qui ont été, en outre, fortement urbanisés.

Je crois davantage aux fluctuations qu'à la grimpette continue, et je pense aussi que c'est le soleil qui en est le facteur déterminant. Cela n'empêche pas de lutter contre les pollutions atmosphériques.

La corrélation avec le CO2 de la haute atmosphère ne peut être faite que sur la période récente, à la fois pour des raisons de disponibilités de mesures et aussi parce que les activités humaines n'avaient pas d'importance pour avoir une quelconque influence avant 1950.
C'est bien ce que je dis, on ne dispose de données de températures sur un siècle que sur un petit nombre de sites qui ont été, en outre, fortement urbanisés.

Cela dépend ce que vous cherchez! Sur une courte période et en sélectionnant les stations non impactées par l'urbanisation, vous pouvez avoir des résultats convenables. Et il est tout à fait possible de corriger les températures en tenant compte de l'urbanisation dont on connait assez bien les effets

Je crois davantage aux fluctuations qu'à la grimpette continue, et je pense aussi que c'est le soleil qui en est le facteur déterminant. Cela n'empêche pas de lutter contre les pollutions atmosphériques.

Vous êtes effectivement dans le domaine de la croyance. Et les approches données par les laboratoires travaillant pour le GIEC sont également à regarder.

Carottes dans les glaces et coupes transversales des arbres renseignent sur le climat... sinon vous avez les archives nationales qui renseignent très bien

les carottes de glace renseignent surtout sur le climat polaire, et ne représentent pas forcément le climat global, si tant est qu'il y en ait un, car en fait ils sont multiples comme chacun sait, et ont chacun leur mécanique, avec un point commun: le soleil.

quant aux archives nationales, depuis quand existent elles ? et pour quels pays ? une poignée.

Je crois davantage aux fluctuations qu'à la grimpette continue, et je pense aussi que c'est le soleil qui en est le facteur déterminant. Cela n'empêche pas de lutter contre les pollutions atmosphériques.

idem. et plus qu'une croyance, c'est un constat scientifique réel établit depuis bien longtemps déjà.

et ce n'est pas demain qu'on verra la fonte totale des pôles et de l'eau jusqu'au menton de la Liberté.

quant aux archives nationales, depuis quand existent elles ? et pour quels pays ? une poignée

Vous devriez rendre visite à celles de votre département déjà pour commencer, étant donné que les monarques d'Europe étaient en relation les uns avec les autres, vous connaîtrez le climat des différents pays, les archives en parlent non sous forme de "météo" mais en inscrivant dans des livres ou des courriers le temps qu'il fait ... certains tenaient un journal pour y relater des faits personnels ou l'Histoire dans l'ère du temps

La plupart des bouquins sérieux qui abordent des récits historiques, parlent du climat à l'instant T où se déroulent des évènements historiques

La corrélation avec le CO2 de la haute atmosphère ne peut être faite que sur la période récente, à la fois pour des raisons de disponibilités de mesures et aussi parce que les activités humaines n'avaient pas d'importance pour avoir une quelconque influence avant 1950.
C'est bien ce que je dis, on ne dispose de données de températures sur un siècle que sur un petit nombre de sites qui ont été, en outre, fortement urbanisés. Cela dépend ce que vous cherchez! Sur une courte période et en sélectionnant les stations non impactées par l'urbanisation, vous pouvez avoir des résultats convenables. Sur une courte période, on a constaté des fluctuations et, si ce que j'ai cité est vrai, il y aurait une stabilité, voire un refroidissement depuis 2003. Pour ma part, j'ai vu le glacier de la Mer de Glace assez haut (1974) puis plus bas (vers 1985). Crues et décrues alternent, réchauffement et refroidissement aussi.

Et il est tout à fait possible de corriger les températures en tenant compte de l'urbanisation dont on connait assez bien les effets
Quand on veut, on peut prouver ce que l'on veut voir.

Je crois davantage aux fluctuations qu'à la grimpette continue, et je pense aussi que c'est le soleil qui en est le facteur déterminant. Cela n'empêche pas de lutter contre les pollutions atmosphériques.
Vous êtes effectivement dans le domaine de la croyance. J'ai écrit "je crois" (et aussi "je pense") car je ne suis pas chercheur en climatologie.

Et les approches données par les laboratoires travaillant pour le GIEC sont également à regarder.
J'ai connu de près 2 chercheurs qui font partie de ceux qui ont été associés au prix Nobel de Al Gore, mais ils n'ont jamais étudié eux-mêmes le changement climatique. Leurs rapports remis au GIEC étaient du genre :

- "il est bien connu que la température a augmenté, on peut s'attendre à ce que..." pour l'un,

- "si la température a augmenté et continue de le faire, on peut s'attendre à ce que..." pour l'autre".

J'y croirais quand des champs d'oliviers recouvriront la Beauce !

8)

le Giec, Al Gore... il en manque onze pour faire la cène, non ?

Attendez donc la compile des températures 2012 .... ainsi vous saurez

J'ai connu de près 2 chercheurs qui font partie de ceux qui ont été associés au prix Nobel de Al Gore, mais ils n'ont jamais étudié eux-mêmes le changement climatique. Leurs rapports remis au GIEC étaient du genre :

- "il est bien connu que la température a augmenté, on peut s'attendre à ce que..." pour l'un,

- "si la température a augmenté et continue de le faire, on peut s'attendre à ce que..." pour l'autre".

J'y croirais quand des champs d'oliviers recouvriront la Beauce !

8)

Question: avez vous lu les rapports du GIEC?