On est d'accord sur la définition de racaille (on garde l'étymologie du mot quoi).
Elle se forme par manque d'éducation, pauvreté, frustration etc...
Si ces gens qui veulent s'adapter (les parents) sont montrés du doigt malgré leurs efforts cela engendre de la frustration (chez les enfants). Et pousser quelqu'un à l’effort en lui disant qu'il n'en fait pas, est beaucoup moins efficace que de le féliciter sur ceux qu'il a déjà accomplis, mais là je ne vous apprend rien...
L'islam c'est pas grave, l'islamisme beaucoup plus. Le fait de dire qu'on est islamophobe revient à dire aux musulmans qu'ils nous font peur. Et ils n'égorgent pas tous des moutons dans des baignoires, et se sont encore moins tous réjouis du 11 septembre.
Et puis faut pas tout mélanger... une racaille, même si elle jure "sur le coran de la mecque", n'est pas musulman pratiquant, surement pas islamiste, mais complètement perdu et plus en mal de dialogue que d'injonctions.
D'ailleurs, un jeune perdu qui se converti à l'islam n'est plus une racaille, puisqu'il s'est converti, il étudie et devient sage. Par contre si on dit que sa religion est le mal, => repli identitaire...
faudrait apprendre à se parler.
Ça c'est le discours qu'on veut nous faire avaler.
Si on vous écoute c'est de notre faute si les individus issus de l'immigration ne s'intègrent pas et deviennent des racailles. C'est trop facile comme excuse.
Les parents de ces individus ne parlent pas un brin français pour la plupart et vous me dite qu'ils font des efforts d'adaptation? Ah ok j'avais pas compris: ils touchent toutes les allocs comme les "natifs". C'est beau comme effort d'intégration.
Les seuls étrangers qui ont reussi à s'intégrer et se faire accepter sont ceux qui sont les parents ont appris la langue et ont fait l'effort d'éduquer leurs enfants aux valeurs de la république.
C'est ce que je vous reproches. Vous pensez comme des enfants. Qui a besoins de désigner un coupable? a part le peuple qu'il faut calmer en lui faisant voir un bucher? Ya pas des bons et des méchants qui veulent venir voler les bons. Comme vous l'avez souligné, ya des enfoirés partout, ya des bons partout. C'est pas l'origine géographique qui te place d'un côté ou de l'autre de échiquier.
Mais on dirait que ya vraiment trop de saloperies à enlever de votre tête pour vous le faire entendre.
En gros, au même titre que tu ne sais pas réfléchir, ils ne savent pas bien s'intégrer. Torts partagés, des efforts pour tout le monde.
Mais dans votre discours, ya le bon français qu'était déjà là qui fait tout comme il faut, et l'autre qui arrive et ne s'adapte pas bien. Ya des efforts à faire des deux côtés. Du côté des institutions, pour le côté économique. Et pour le côté humain, bon dieu faut arrêter d'être aussi con et de désigner des pauvres comme coupables. Vous vous êtes juste donné la peine d'être né un jvous rappelle.
Vous parlez d'histoire, ouvrez des bouquins putain, et pas que celui qui parlent des juifs en allemagne.
attardés
Ce que vous appelez "saloperies" ce sont simplement mes idées lesquelles sont différentes des vôtres.
Je fais l'effort de les accepter dans mon pays, de cotiser pour qu'ils aient droit à des aides auxquelles je n'ai pas droit. Vous voulez aussi que je leur file des cours de français, que je leur apprenne un travail et que je le leur trouve?
Dans mon discours, il y a d'un côté des français (des bons et des moins bons), qui étaient là avant, et de l'autre des étrangers qui arrivent (toujours des bons et des moins bons). Tout comme lorsqu'on arrive dans une entreprise on se doit de s'adapter à son fonctionnement, quand on arrive dans un pays, on doit se plier aux règles qui étaient là avant.
La pauvreté n'excuse pas tout, quand est ce que vous allez ouvrir les yeux?!!! Dans la vie on fait des choix. On a toujours le choix. Et tomber dans la délinquance, c'est un choix que l'on fait. Votre idéologie de merde me débecte.
Et pour ce qui est de l'histoire, ce qui s'est passé en 1409, c'est intéressant, mais ce qui m'intéresse encore plus c'est AUJOURD'HUI et encore plus demain et le monde dans lequel vont vivre mes enfants.