C'est la démocratie, on sait ce qu'on quitte, pas ce qu'on gagne
ils savent
ils sont lucides sur ce point aussi
et comme ils le disent,
en comparaison de ce qu'ils quittent, c'est le paradis.
c'est aussi une bouffée d'oxygène pour nos démocraties encrassées.
L'échelle n'est pas de quelques jours.. quand les barbudos ont collé le shah dehors, qui prévoyait le retour de la corde et du fouet dans la rue pour un pantalon ou une oeillade appuyée ? Fameuse bouffée d'oxygène en effet
certes et les tunisiens en ont conscience aussi
C'est la démocratie, on sait ce qu'on quitte, pas ce qu'on gagne
ils savent
ils sont lucides sur ce point aussi
et comme ils le disent,
en comparaison de ce qu'ils quittent, c'est le paradis.
c'est aussi une bouffée d'oxygène pour nos démocraties encrassées.
Il serait temps qu'on en fasse quelque chose hein...
si c'est le cas, plus tard, pour l'instant le retour de baton paralyse.
il y a une émulation entre les arabophones du pourtour méditerranéenne, ils ne cessent de se chamailler pour savoir qui réussira mieux que les algériens, ces chamailleries continuelles les pousseront peut être à se dépasser.
Quand on voit sur quoi se tripotent les révolutionnaires en herbe, ça ne donne pas envie de participer au gros délire.
ils tiennent bon, suis ce qui se passe.
Ils savent très bien ce que c'est qu'un malade, ils savent très bien que pour arrêter un excité islamiste, il faut se lever de bonne heure.
Même les amerloques s'en rendent compte.
peur de tout non ; mais aveugle non plus, surtout avec une démocratie tunisienne, genre comme la voisine algérienne : bouclage en catastrophe des bureaux passke résultats inattendus 8)
ils vont hélas être les premiers surpris de regretter Ben Ali
ils savent justement et tu le dis très bien, ils savent et c'est sans doute pour cela qu'ils ne lachent pas prise.
pour typhée, les campagnards montent en ville, le souffle n'a pas fini de se répandre sur le pays, ce n'est que le début. c'est le bon signe pour ne plus parler d'insurrection mais bel et bien de révolution.
les projets de constitutions avancent rapidement, la société se réinvente tout en s'épurant, difficilement mais en ne lachant pas prise.
d'où la ferveur qui monte chez leurs freres arabophones et d'où ma crainte d'interventions extérieures pour arrêter le phénomène bien qu'il me semble qu'une telle démarche ne ferait que renforcer leur ténacité.
lors du conseil des ministre suivi en direct grace à @slim404, l'un des premiers points abordés était de s'assurer des mouvements inexistants aux frontières.