De nombreux responsables politiques, sociaux démocrates, libéraux, ou ecologistes avouent et admettent leur volonté de supprimer l'Etat nation, comme échelon administratif, ils assument le fait de vouloir poursuivre dans l'intégration européenne demain, et mondiale après demain, avec les conséquences qu'ils sont incapables de prévoir et de se prémunir, sur les entreprises, le tissu économique, sociale et la cohésion dont notre pays a fait preuve jusqu'ici, malgré les difficultés et les souffrances que le peuple endure.
Le centrisme, qui se veut un équilibre entre la social démocratie et le libéralisme le plus débridée reste inscrit dans cette option idéologique et donc il n'incarne, en aucune manière l'alternative qu'il prétend être, il s'agit juste d'un positionnement différent pour diffuser la même idéologie. Depuis son application, les faits tendent à invalider les tenants de cette thèse mais s'ils restent majoritaires, il faut bien reconnaître que c'est en raison de la faiblesse et du manque de persuasion et de clarté des explications de celles et ceux qui se posent en autre voie mais qui n'offrent pas une structure et un projet suffisant convaincant, pour l'instant.