karim Assez bien vu, je partage. Toutefois ne pas perdre de vue que la majorité des marginaux plus ou moins détraqués, plus ou moins en rut ou en manque, viennent d'ailleurs. Si on en laissait moins entrer les femmes seraient certainement plus tranquilles dans les transports.
Dans les années 60 je travaillais parfois tard, je n'ai jamais été importunée dans les transports en commun. Dans les années 60 et même 70, il n'y avait pas cette folie migratoire, des frontières ouvertes aux 4 vents les plus mauvais !