Bard
Praud, en professeur installé dans la vérité publique, claironne qu’il est pour le pluralisme en matière de concurrence journalistique...Mais pas pour tout le monde. A l’évidence.
Et lorsque ses invités habituels, osent le contredire brusquement, ce qui a le don de le désarçonner un chouilla, il bafouille et termine en lâchant un « me semble-t-il », pour mieux cibler une tête de turc, en l’occurrence Fenech, dans le but de marteler les propres évidences d’un chef de table à qui revient le dernier mot ...
Cnews représenté par un cravaté qui se vante de jouer savamment de la trompette médiatique, et comme ses confrères qu’il cantonne peu flatteusement dans un service dit de prêche, étale aussi une propagande de la morale
dont lui, l’ancien communicant en marketing, se dit être l’arbitre, alors qu’il se révèle en petit autocrate du propos subjectif...
Et ici, certains répètent, mot pour mot, les lubies jargonnées par ce type....🙃