En France c'est tous les jours.
On a déjà eu des cas dans plusieurs pays d'Europe
On devrait les recenser tellement il y en a aussi dans tous les autres pays de l'UERSS
Aujourd'hui la république tchèque

«Faire venir des “chirurgiens” ne résoudra pas les problèmes du secteur de la santé», pouvait-on lire sur le poster représentant un homme noir brandissant un couteau ensanglanté.
Le chef de "l'extrême droite" tchèque Tomio Okamura a été inculpé jeudi à Prague pour «incitation à la haine raciale», après la diffusion l'an dernier d'affiches électorales anti-migrants.

Favorable à la sortie de l'UE et de l'Otan, le parti a défendu ses affiches, pointant les attaques récentes perpétrées par des réfugiés en Allemagne et Autriche voisines. «Les pays de l'ouest, du sud et du nord de l'Europe ne peuvent plus être considérés comme sûrs», a déclaré le SPD sur son site, disant soutenir «pleinement» son chef. «Nous ne céderons pas, ils ne nous feront pas taire!», a-t-il écrit. Tomio Okamura, qui s'était présenté à la présidentielle tchèque en 2013, risque jusqu'à trois ans de prison.

La même idéologie dominante favorable à l'immigration sévit dans tous les pays d'Europe de l'Ouest.

    lugrin
    C'est toujours comme ça quand ils sentent que le pouvoir leur échappe ils se radicalisent et c'est l' escalade de la censure par tous les moyens.

    Ceux qui dérogent à l'idéologie dominante et qui osent critiquer l'immigration peuvent être sévèrement punis .

    C'est ainsi en Angleterre où une personne a fait de la prison pour des propos anti immigration, en Belgique en Allemagne et aussi en France où Zemmour a été de nombreuses fois condamnés pour des propos qualifiés de haineux alors qu'il ne faisait que constater des faits.

    Personne doit échapper à la propagande subventionnée obligatoire, même pas 1% de privilégiés
    Google va t-il se soumettre à l'interdiction de la censure ?

    Ce jeudi 20 février 2025, le tribunal de commerce de Paris a rendu sa décision dans l’affaire opposant Google au Syndicat des éditeurs de la presse magazine (SEPM). Le moteur de recherche avait annoncé vouloir mener un “test” en retirant les contenus de médias accessibles sur ses produits Google Search, Google News et Discover, auprès d’un pour cent de ses utilisateurs.