« Bio » par-ci, « sans gluten » par-là, « décaféiné », « vin sans alcool », « lait sans lactose », « sans nitrites »… Notez que la boboïsation généralisée des bulots, notamment les wokistes, va curieusement crescendo de pair avec leur appétit sans borne à se faire « enrichir », puis grand-remplacer par l’Invasion hottentote déferlant de toutes parts, au rythme d’un demi-million d’individus désormais par an, le pire pour le pays n’étant pas les hordes de clandestins (encore que ce soit une calamité en soi, une plaie d’Égypte comme celle des sauterelles), mais les autres hordes __ explosives dans tous les sens du terme en ce qui concerne le sombre futur, à moyen ou long terme __ celles, veux-je dire, des « régularisés », des « naturalisés », des « français » (sic) de papier.
Vous aurez remarqué, Hubert, ma fort longue phrase ci-dessus, qui vous rappelle peut-être le style de quelqu’un…
Bref ! En un mot comme en cent, boboïsation et invasion riment assez bien et sont étrangement bien faites pour que la seconde, un jour qui accourt, avale et phagocyte lentement et irrémédiablement la première comme le boa le mouton.
hubert-de-montcalm Pour en revenir à l'Ukraine, je n'espère pas grand chose de la prochaine rencontre de nos deux pointures !
Je la vois sous un autre aspect que je vais résumer ainsi :
Finalement, de quoi a accouché la grosse (et ridicule) montagne de prétendus « ultimatums », de « 50 jours » puis de « 10 jours », qui ont été, ces deux dernières semaines, haineusement tambourinés par les médias du Système que vous savez, comme quoi ce bon Trump soi-disant menacerait… la Russie (!) et qu’à l’expiration des « 10 jours », ce vendredi, « on va voir ce qu’on va voir » ?
Eh bien, cette idiote montagne médiatique, dernière en date __ tant nos médias tiennent fantasmatiquement à imaginer Trump se confronter, enfin ! avec Poutine (en réalité, sachez que dans leur wokisme ils haïssent autant Trump que Poutine) __ cette mons pestifer (comme dit le prophète Jérémie, je ne vais pas mettre la graphie de la Torah) a finalement accouché de la plus désolante souris pour eux : la nouvelle que les deux présidents vont se rencontrer au sommet et s’entendre très certainement en tête-à-tête la semaine prochaine.
Pour ma part, je ne doute pas que le président russe, avec bonhomme bonté et finesse, va mettre en douceur les points sur les « i » à son confrère au sujet de l’Ukraine (qui est, rappelons-le, historiquement rien d’autre que russophone), et ce bon Trump, j’en suis sûre, en sera ravi et enchanté.