paulau
Je l'entends, mais c'est la difficulté : être capable de penser à autre chose. Le chômage ? La faute à l'immigration. Les déficits publics ? L'immigration. L'insécurité ? L'immigration. L'état de l'Education, de la Sécu, l'écologie, la drogue, etc. tout à l'avenant.
Faut même plus parler d'extrême-droite. Ce n'est plus de l'extrèmisme, c'est de la monomanie. L'idée, elle n'est plus extrême, elle est unique.