Je me mets à la place des Français, qui ont voté massivement (super taux de participation) aux législatives.
C'était quand? Ah oui, second tour le 7 juillet, juste avant les JO.
Et nous sommes?
Fin septembre.
Tergiversations toujours en cours, bugs énormes, dans les choix proposés, énormes chances de décevoir le plus grand monde, et d'énerver les déjà hyper énervés de l'assemblée.
Oui, aller à Matignon, ou n'importe quel autre ministère, s'apparente à une démarche suicidaire, qui ne serait valable que pour les très très masochistes.
Etre nommé, installé, pile entre un marteau (marteau faucille du pseudo marxiste Mélenchon) et une enclume lepéniste, avec une Assemblée nationale à l'ambiance pire que celle d'un octogone de MMA, et des électeurs plus qu'ulcérés et saoulés par leurs politiciens et leurs élus... et tout ça, sous la coupe d'un pseudo Jupiter honni, haï et quasi fini.
Mais quel spectacle!
Je ne sais pas pour ceux qui regardent ça, avec des yeux objectifs, mais on est en plein dans l'extra ordinaire, c'est inédit tout ce foutoir, non?