Jean-Pierre Décidément, vous ne reculez devant rien, vous.
L'empêchement d'informer librement est contraire aux règles.
Ca vaut autant pour les Ukrainiens, pour Poutine et pour vous, la superbe démocratie du Proche orient.
On peut pas dire qu'on n'est pas informé de ce qui se passe à Gaza et au Liban, il suffit d'allumer la télé ou de chercher un peu sur internet pour trouver de l'info.
D'après ce que je sais, Israël pilonne énergiquement les infrastructures du hezbollah qui semble un peu dépassé.
On signale des pertes importantes dans le commandement du hezbollah dans des frappes ciblées.
Beaucoup d'observateurs spéculent sur la nature de la riposte israélienne sur l'Iran qui est attendue sous peu.
Certains se demandent si Netanyahou n'est pas en train de préparer une nuit spéciale Halloween à la sauce israélienne aux mollahs d'Iran ?
Nous le saurons le moment venu.
De plus, vous avez suffisamment contesté les infos divulguées par le Hamas pour éviter de nous parler des images réseaux sociaux.
Les infos données par le hamas valent ce que valent des infos données par une organisation terroriste islamique, chacun se les met où il veut.
Les théâtres de guerre ne sont pas des salles de spectacle, mais les journalistes demandent à ne pas être flinguées (comme ce fut le cas à Gaza, entre autre) et à pouvoir faire leur boulot librement, avec le plus de sécurité possible, sachant que les reporters de guerre prennent souvent de gros risques.
C'est un métier dangereux.
La guerre Bush contre Irak aura été un vrai cimetière pour les journalistes, en passant.
La guerre ça fait des victimes, la guerre c'est méchant.
Nous ne vivons pas dans un monde parfait, on fait avec ce qu'il y'a.