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marcopolo J'ai déjà présenté mon plan de paix et un dialogue avait été engagé avec Jiimmy.
J'y reviendrai peut-être en le reprenant à zéro mais dans l'immédiat, je pose comme désormais une évidence que le point le plus critique - celui sur lequel le dialogue avait coincé - est celui de l'amnistie finale.
Et c'est par les contours de cette amnistie qu'il est impératif de commencer. En énonçant ensuite les étapes à reculons.
C'est tout l'inverse de ce qui qui a été tenté jusqu'à présent.
C'est très dur, une amnistie.
Mon repère historique est Mandela.
Mon contre-exemple est l'Algérie, où aussi bien la France que l'Algérie sont dans la dénégation de l'amnistie - la France par son ostentation de repentance, l'Algérie par ses exigences de réparations.