//ramm -neodadais//

J'attends toujours votre preuve concernant le fait que LES arabes israéliens Musulmans se sont rangés du côté de l'entité sioniste plutôt que du côté que leurs frères Palestiniens. En l'état votre affirmation gratuite est nulle et non avenue (comme dirait James, direction poubelle).

L'armée d'Israël intègre des arabes israéliens qui participent ainsi à l'effort de guerre contre les terroristes islamiques palestiniens du hamas.

Tu as toutes les preuves, ton déni est ridicule.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/grand-angle/ils-sont-arabes-dans-l-armee-israelienne-7895243

Jiimmy Il est triste que vous fassiez le déni des batailles héroïques des bedouins de Tsahal le 7 octobre, comme des sauvetages de juifs par des israéliens (musulmans civils) eux aussi.

Vous faites le déni de la voie du vivre-ensemble, coincé dans une haine délétère.

Neodadais
Il n'y a pas eu des batailles de bédouins israéliens contre le Hamas.
Il y a eu des arabes israéliens, qui sur les lieux des combats le 7 octobre ont défendu les agressés, avec qui ils avaient des contacts quotidiens, contre les agresseurs du Hamas. Les mêmes arabes pourraient très bien défendre les palestiniens de Cisjordanie contre les ratonnades et les agressions des colons juifs.
Selon la doctrine Sanson, il y a eu ordre de l'armée israélienne de tuer les juifs qui risquaient d être emmenés comme otage à Gaza. Ordre à été donné aux miltaires de tirer dans le tas, quitte à tuer otages et preneurs d'otages.
Sur les 1200 morts israéliens du 7 octobre, on estime que plusieurs centaines ont été tuées par l'armée israélienne.....et la source vient des médias israéliens, avant que la censure ne soit imposée .

Pourquoi des millions de chrétiens soutiennent Israël ?

Parce que ces chrétiens ont la foi dans la Bible et notre Messie que les Juifs nous ont donné. Parmi tous les peuples du monde, Dieu a choisi les Juifs pour être le peuple élu. Et ce n'est pas un hasard que le peuple le plus détesté au monde, est celui qui est le plus proche de Dieu.

marcopolo J'ai déjà présenté mon plan de paix et un dialogue avait été engagé avec Jiimmy.
J'y reviendrai peut-être en le reprenant à zéro mais dans l'immédiat, je pose comme désormais une évidence que le point le plus critique - celui sur lequel le dialogue avait coincé - est celui de l'amnistie finale.

Et c'est par les contours de cette amnistie qu'il est impératif de commencer. En énonçant ensuite les étapes à reculons.
C'est tout l'inverse de ce qui qui a été tenté jusqu'à présent.

C'est très dur, une amnistie.
Mon repère historique est Mandela.
Mon contre-exemple est l'Algérie, où aussi bien la France que l'Algérie sont dans la dénégation de l'amnistie - la France par son ostentation de repentance, l'Algérie par ses exigences de réparations.