filochard Pour fonctionner le totalitarisme progressiste doux doit être total.
La moindre voix discordante ébranle leur bel édifice, les gens comprennent que l'unanimité des médias n'est pas un consensus mais seulement une unanimité, comprennent qu'ils ne sont pas seuls à penser ce qu'ils pensent et se remettent à oser penser ce qu'ils pensent.
Leur bel édifice progressiste, immigrationniste, francophobe a infiltré toutes les élites et tous les lieu d'influence et de pouvoir mais est très fragile en fait.
D’où le harcèlement judiciaire afin de préparer les esprits à la fermeture de CNews.
Il y a vraiment intérêt à ce que les progressistes perdent les prochaines élections, la Liberté et tout simplement la survie de la France en dépendent. Après ce sera trop tard.
S'agit vraiment pas de s'abstenir cette fois.
Qu'il en faut des efforts pour tenter de tordre la réalité afin de la modeler dans un sens qui nous conviendrait mieux.
La réalité est pourtant simple. Les chaines d'info disposant d'un canal tnt ne peuvent être engagées politiquement. Il ne s'agit pas de presse écrite ou de télés payantes. Les conditions sont claires. Les canaux appartiennent au peuple Français et sont donnés gratuitement en contre-partie d'un pluralisme et d'une neutralité politique, afin que tout le monde puisse notamment y trouver son compte.
En se muant en chaine d'extrême-droite (chaine la + condamnée pour ces dérapages), cnews a rompu le pacte et porte atteinte aux intérêts d'une partie des Français qui n'est pas désireuse de voir SES canaux utilisés à des fins de propagande par un parti politique.
Tout ce débat autour du totalitarisme, de la liberté d'expression ou de je ne sais quoi, tombe totalement à l'eau car la question n'a rien à voir avec cela. Le droit est exigeant. Si l'on sort du sentier dans lequel l'on s'engage volontairement, alors l'on est rappelé à l'ordre et si besoin sanctionné. Lorsque les règles de justice sont claires et que l'on y consent, alors l'on accepte la sentence et l'on évite d'associer cette justice au totalitarisme au risque de passer pour quelqu'un de mauvaise foi (au minimum).