ciceron8 La voix de son maître Vladimir.
En quoi des commentaires creux de ce genre font-ils avancer le schmilblick ?
C’est juste pour soulager votre bile de faire partie du camp perdant de cette guerre ?
Car vous savez parfaitement qu’il est impossible de battre militairement la Russie.
Nul ne bat une puissance de 18 millions de kilomètres carrés. Nous n’avions tout simplement qu’à ne point la provoquer, elle qui ne convoitait rien. Pas même sa Crimée pourtant historique, pensant pouvoir la laisser tranquillement dans l’Ukraine nouvellement indépendante, bien sûr à condition que sa russéité soit a minima respectée.
La preuve : 25 ans durant la Russie a tout fait pour y croire et jouer loyalement le jeu.
Seulement, animés de mauvaise intention, il a fallu que nous provoquions de A à Z le sinistre coup d’État de 2014 à Kiev. Objectif : au final, TUER la Russie. Oui, la tuer. Ni plus ni moins. La tuer économiquement pour la tuer militairement, et l’éliminer, une fois pour toutes, dans l’humiliation, en tant que puissance militaire mondiale.
Car n’est-ce pas, nous sommes les Maîtres du monde, nous autres… Car nous, les dégénérés du LGBTQXYZ par ailleurs, entendons rester sans fin les seuls Maîtres d’un monde monopolaire. Un monde triplement soumis à notre diktat économique, à notre diktat militaire, et surtout ! à notre diktat idéologique. Du moins, nous voulons que s’y soumette l’ensemble du monde dit « occidental ». Or, qu’on le veuille ou non, la Russie fait bien partie, et a toujours fait partie historiquement du monde occidental. Donc la Russie doit se soumettre à notre triple diktat, à commencer par l’économique, car c’est la faillite et la dépendance économiques qui conditionneraient ensuite, évidemment, l’abaissement militaire de la Russie et son asservissement, puis, sur un autre plan, l’imposition progressive de « lois » touchant les mœurs de la société.
Voilà au fond la seule véritable raison, profonde et structurelle, des paquets démentiels de soi-disant « sanctions » économiques, inouïes jusqu’ici, que nous avons décrétés en rafale contre la Russie. Objectif à court et moyen terme : lui briser les reins économiquement pour pouvoir l’abattre militairement, et enfin la conformer, si possible, selon nos « normes » occidentales des vingt dernières années, c’est-à-dire tombées de la dernière pluie, « normes » qu’auraient naturellement vomies nos propres ancêtres, comme les vomissent d’ailleurs aujourd’hui plus des trois-quarts de l’humanité.
Il fallait donc que la Russie nous soit d’abord soumise économiquement et qu’elle mange dans notre main, ce qui nous aurait progressivement permis d’accaparer en douce son inépuisable potentiel de matières premières et de sources d’énergie (décidément, nous n’avons pas compris la leçon-avertissement de « Youkos »).
Comment concrétiser ce plan ?
Justement, par notre OPA hostile sur l’Ukraine.
D’abord par un coup d’État (Maïdan 2014), puis le coup assuré, par un grenouillage sournois en vue d’y provoquer la Russie en nous servant d’un régime qui allait nécessairement s’en prendre à la population russophone du pays, ce que la Russie n’allait jamais permettre, bien qu’elle ait patienté encore près de huit ans (2015-2022).
Tout a été organisé pour forcer la Russie à l’intervention de manière à la piéger (pensions-nous) et ainsi pouvoir enfin l’« approcher » de près pour lui porter nos coups. Comment ? au moyen du bras mécanique que nous nous sommes astucieusement fabriqué sur place : le régime de « Kiiv » haineusement anti russe, et de nous précipiter aussitôt pour crier hypocritement à l’« invasion ». Alors que nous sommes bien à la source de toute la machination initiale.
Eh bien, vu notre échec d’« effondrer l’économie de la Russie en trois jours », et vu qu’un homme d’État russe, de stature réellement historique, l’a au contraire consolidée et fortifiée à proportion, nous avons d’ores et déjà perdu cette guerre qui aura des conséquences irréversibles.
Prenez-en acte, mon cher, avec honnêteté intellectuelle.