Sans nier les problèmes des agriculteurs français, leur métier est, pour la plupart, une sorte de vocation qu'ils choisissent généralement en connaissance de cause ou par tradition familiale. Ils mènent une vie souvent dure, certes, mais saine et beaucoup d'entr'eux qui ne pratiquent pas l'élevage ont la possibilité de prendre des vacances; les éleveurs aussi d'ailleurs s'ils s'organisent entre eux.
En ce qui concerne les subsides européens, les agriculteurs français sont ceux qui recoivent, et de loin, la plus grande part.
Ceci dit il est très possible que ces subsides n'aillent pas toujours chez ceux qui y ont droit ou qui en ont vraiment besoin. Les agriculteurs ont des représentants pour repérer les anomalies et les corriger.