N'ayons pas d'illusion, la disparition des paysans tels que nous les connaissons, est politiquement programmée. Car pour les grands pouvoirs d'argent qui favorisent le mondialisme, le paysan est à l'opposé de leur rêve d'hégémonie.
En fait, il représente le désordre, car il se situe en dehors des normes du monde capitaliste qui le perçoit comme perturbateur. En tant que machine totalitaire, le mondialisme fera tout pour réduire cet obnstacle à l'impuissance et à la docilité.
Curieusement, en Union Soviétique, le paysan constituait aussi un obstacle essentiel à la mondialisation économique et technoscientifique et à la production. L'élimination des paysans et l'organisation collectiviste de l'agriculture industrielle fut actuellement alimentée par le même emportement, la même fascination pour la production.