dites-le aux élites françaises.
Parce que si un ou deux types qui poignardent des gens au hasard pour telle ou telle cause, Palestine ou Islam, ce n'est pas chouette, avoir son excellence industrielle et commerciale rackettée et refourgée pour des plats de lentilles par des Judas fat et ne voyant pas plus loin que leur porte-monnaie, de même que sa propre souveraineté sur ses propres affaires commerciales mise sous contrôle d'un état tiers (les Etats-Unis) c'est simplement devenir volontairement une petite pute.
Or les élites françaises successives, pour sûr depuis Sarkozy, n'ont fait que celà.
Les américains se bidonnent de voir les français piailler "souveraineté!" lorsque un excité poignarde un type en poussant un Tralala-Acquabar, alors que MacKinsey, Blackrock General Electrics et la Maison Blanche contrôlent tout le pays, et refilent parfois des miettes à Macron pour qu'il remue la queue.
Le chien bien en laisse, bien dressé.
Le chenil américain d'Europe possède plusieurs canidés: le berger allemand, le doberman polonais, le pitbull galicien, le caniche gileté, coiffé et pomponné français.
Interrogé sur divers pays européens, Poutine hier lors de la conférence de presse annuelle, expliquait que l'UE c'est les Etats-Unis, mais qu'il y a parfois des pro-nationaux: Fitzo en ce moment en Slovaquie, Orban en Hongrie. Il insistait que ces deux là ne sont pas pro-russes mais pro-nationaux. Tous les autres ne sont rien.
Pour les complotisses, l'immigration de masse, les vagues collatérales de régufiés lors de chaque guerre américaine chez les "bougnoules" c'est très pratique: celà permet justement de casser les tissus ethno-culturels locaux qui servent de fondement à une souveraineté nationale particulière.
Et donc celà arrange le boss.