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La nouvelle Censure

Rosssel

Autrefois les censeurs de l'Etat s'en prenaient à la littérature, censuraient la presse ,au nom de la morale.
Aujourd'hui ,toujours au nom de la morale,ce sont les prétendus "progressistes" des groupes privés woke qui expurgent les romans,nettoient les oeuvres du passé persécutent les auteurs ,tout cela au nom du Bien.

Max12

Rosssel
Ça va se calmer tout ça à mon avis, les Français sont gavés de tout ça.

James

Oui, la censure, c'est toujours au nom de la morale, ordre public etc.
Après, la morale change, et ne convient pas à tous.

La presse est aujourd'hui censurée, au nom du centrisme, du progressisme, du politiquement correct.
Et à chaque fois qu'elle est censurée, c'est "contre l'extrême droite".

[supprimé]

James La presse est aujourd'hui censurée, au nom du centrisme, du progressisme, du politiquement correct.
Et à chaque fois qu'elle est censurée, c'est "contre l'extrême droite".

Une triste vie vraiment. J'en pisse de désespoir.

katou

James La presse est aujourd'hui censurée, au nom du centrisme, du progressisme, du politiquement correct.
Et à chaque fois qu'elle est censurée, c'est "contre l'extrême droite".

Oui et un large éventail de la presse est complice de cette censure par idéologie.

[supprimé]

Selon moi ce n'est pas tout à fait ça. Le presse est politiquement correcte et pratique l'auto-censure, quand ce n'est pas carrément du mensonge par omission, ou des réalités adaptées : la guerre en Ukraine, l'opération à Gaza et le meurtre de Thomas en sont de parfaites illustrations.

L'Ukraine : désinformation générale et propagande.
Gaza : voir le rouleau compresseur autour des otages soi-disant français, et pas un mot sur les otages thaïlandais jusqu'à leur libération.
Crépol : silence gêné sur l'identité des racailles...

Et je pense qu'en fouillant bien c'est dix exemples de plus qu'on pourrait trouver. Rien que la couverture des manifs des Gilets Jaunes et la position de certains journalistes, Bruno Jeudy pour ne pas le nommer...

france2100

[supprimé]
Les journalistes défendent leur vision du monde, leurs croyances, leurs convictions. Historiquement la presse est née militante : elle n'a prétendu à informer que tardivement.

Toutefois, les journalistes ont eu au cours du XIXè-XXè un plus grand souci d'impartialité qu'aujourd'hui. J'attribue principalement ce recul à leur conviction d'incarner le bien : au nom du bien on a tous les droits.

[supprimé]

france2100 J'attribue principalement ce recul à leur conviction d'incarner le bien : au nom du bien on a tous les droits.

Plutôt d'accord avec ça.

Je me rappelle Anne Niva, une journaliste d'investigation, présente dans C dans l'air souvent, qui avait répondu à un autre intervenant qui s'inquiétait du retournement de l'opinion publique sur la guerre en Ukraine, sous-entendu un éventuel lâchage, que c'était leur devoir d'informer l'opinion publique..., Elle avait tout dit.

stm

france2100 au nom du bien on a tous les droits.

C'est la nouvelle version de "Dieu est avec nous"

Mon-gros-doigt

france2100 J'attribue principalement ce recul à leur conviction d'incarner le bien : au nom du bien on a tous les droits.

Je ne crois pas.
Si on parle bien du mainstream le journaliste illuminé par le saint esprit du "bien" ça représente 5 à 2%.
Le pigiste payé à coup de trique ou le nababe médiatisé, écrivent ce qu'on leur dit de dire sans faire de vague, l'un pour pas crever de faim, l'autre pour maintenir son train de vie et ses maitresses.
Pour 1 de viré, 10 attendent à la porte, c'est facile de mettre ses convictions sous une bâche à ce prix là.
Pour le journalisme open-source, entre la pute à clique et le commentateur de chien écrasé, il faut faire du trie.

[supprimé]

[supprimé] Oui, vraiment , de quoi émigrer en Chine communiste.

france2100

Mon-gros-doigt
Mais les journalistes sont endoctrinés au point de ne pas savoir faire autre chose.

Demandez à un journaliste de vous pondre un article sur l'immigration, et il prendra spontanément la défense des colons. Demandez-lui de trouver un sujet, et il jugera naturellement plus important l'histoire de l'Arabe insulté que celle du Français tué.

Les médias reflètent principalement les idées du groupe social des créateurs de contenu. Bolloré et Niel ne s'occupent que de leurs marottes et de leurs intérêts personnels.