Mon-gros-doigt Déjà, commençons par énoncer des évidences: ignorer complètement la question de la crédibilité, de l'honnêteté, des compétences de ce pauvre clown d'Aberkane.
Et on comprend bien pourquoi: quand on gobe les productions du dit Aberkane, cela risquerait de remettre en cause ses propres capacités.
Enfin: ai-je un seul instant placer Pfizer ou une autre compagnie pesant des milliards sur un piédestal?
Non.
D'ailleurs, que l'on me trouve une seule grosse entreprise n'ayant pas une charette de condamnations derrière elle.
Google, Apple, Total, etc.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce n'est pas parce qu'elles ont été condamné que j'ai arrêté de me servir de leur service.
Et pour une raison d'ailleurs fort simple: une entreprise, ce n'est pas UNE personne. Ce sont des dizaines, des centaines, des milliers et plus de personnes. Il n'y a pas un gus sur un fauteuil rotatif avec un chat sur les genoux qui décident des méfaits futurs de sa multinationale du crime.
En opposition, par exemple, à un charlatan, un arnaqueur, qui décide tout seul et est seul responsable de ce qu'il fait.
Et toujours aussi incroyable, ce n'est pas parce qu'une multinationale est prête à tout pour faire du fric (P'taing: la surprise!) que ses services ne marchent pas: l'essence des stations Total marche aussi bien que de l'essence pas de chez eux.
Mais comme précisé initialement, tout cela n'est évidemment qu'un gigantesque détournement pour éviter de parler du simple fait qu'Aberkane n'a J-A-M-A-I-S rien produit de valeur.
Ce type est un glandu de première catégorie, qui il y a 20 ans aurait dû se contenter de petites arnaques sur des mamies en leur vendant des aspirateurs ou des encyclopédies.
De nos jours, les fumistes disposent d'un gigantesque filet pour attraper leurs victimes: le web, et spécialement les réseaux sociaux.