Et pourquoi pas une version woke ? Je vois bien dans le rôle de Jésus sur la paille un nain noir trans et trisomique .
Dans le rôle de Joseph l'incontournable Omar Sy , Christine and the queen dans le rôle de Marie .
Les rois mages seraient joués par trois migrants qui débarqueraient en Zodiac sur les côte de Judée .
Les moutons seraient remplacés par des rats prêtés par la ville de Paris , l'âne et le boeuf seraient par un abattoir halal avant d'être saignés .
Le tout arrosé de subventions , et projeté en avant première au festival de Cannes sous les applaudissements et les évanouissements devant tant de bonheur et de génie ,des critiques de télérama et de libération !

la dernière tentation du Christ de Scorcese, c'était déja une approche un peu woke

white-widow-power Oui, la discipline qui régnait dans les légions romaines excluait la fantaisie. On attachait et clouait, on cassait les tibias et on redressait la croix. Ensuite on balançait le corps au charnier. La Sainte Lance et la Résurrection sont de la SF.

    Just
    pas d'accord...la fin c'est la croix.
    sinon pourquoi les chretiens la porterais autour du cou ?
    si la fin serait la ressurection...les chretiens porteraient des auréoles..des cercles

      Chaque étape du Récit est truffée d'incohérences grossières.
      Les petites vieilles qui, voulant embaumer JC découvrent le tombeau vide. Dans la vraie vie on embaume, et seulement après on enterre.

        white-widow-power Les petites vieilles qui, voulant embaumer JC découvrent le tombeau vide. Dans la vraie vie on embaume, et seulement après on enterre.

        elles étaient de la génération de Jesus, tes petites vieilles donc avaient entre 30 et 40 ans Avec l'interdiction du Shabbat, l'embaumement ne faisait que de commencer le dimanche matin .De plus il y a des techniques ancestrales , où l'on embaume plusieurs jours de suites .........et ce sont les grands prêtres juifs, qui voulaient que le corps de Jesus soit enfermé dans un tombeau et sous garde romaine

        minautore

        ce que j'ai lu de cette étude médicale démontre au contraire le réalisme de la cruxifiction de Jésus et pourquoi, il a trés vite succombé à la mort , sans qu'on soit obligé de lui casser les tibias .

        white-widow-power On ne s'embarrassait pas de clous (trop chers).
        Du simple cordage.

        les avis sont partagés. Le supplice est plus spectaculaire et la mort est plus rapide avec les clous, qui peuvent être réutilisés . Mais le patibulum était attaché sur le dos du condamné avec des cordes ,pour aller jusqu"au lieu du calvaire .
        la plupart de l'iconographie et des chemins de croix, montrant une croix complète sur le dos de Jesus se trompent.

        minautore sinon pourquoi les chretiens la porterais autour du cou ?

        de ce que j'ai lu, le symbole de la Croix, ne serait venu qu'au 3ème siècle . Avant le symbole chrétien aurait été le chrisme, la lettre grecque ressemblant à un p avec un x sur la barre du p ( symbole que l'empereur Constantin aurait vu dans le ciel, la veille d'une bataille victorieuse)

        J'aime beaucoup le concept marcopolitain de cruxifiction.

          minautore La croix est un symbole important, mais la résurrection l'est plus encore, sans quoi il n'y aurait plus l'espoir d'une vie éternelle dans les cieux pour les personnes s'étant bien conduites durant leur passage sur Terre. Jésus a démontré la réalité de cette autre vie en revenant de parmi les morts.

          candidus J'aime beaucoup le concept marcopolitain de cruxifiction.

          c'est pour voir si je suis lu

          Si nous reprenons le personnage, sa sensibilité est d'être dieu fait homme. Ce qui n'est pas le cas de l'empereur de Rome qui se dénommait dominus et deus.
          Il a vécu sa passion avec courage, comme les premiers chrétiens torturés par des bêtes féroces dans les arènes. Nous ne pouvons pas accepter des tortures au simple motif d'être chrétien, car les personnes ne peuvent l'endurer.
          Ensuite les empereurs se sont convertis. C'est aussi la traîtrise, subie par Jeanne d'Arc qui pourtant n'a pas démérité, agressée par l'abbé Cauchon. Et celle du grand maître du Temple.