marcopolo Non le texte est très bien et m'intéresse d'abord sur le plan sémantique et onomasiologique.
À supposer que le mot français "herbivore" soit la meilleure traduction du terme japonais dégotté par mademoiselle Maki et confirmé par un philosophe nippon averti, il reste maintenant à s'interroger sur son succès et son avenir.
Ce qu'il m'évoque dans un premier tourbillon de pensées, c'est le mouvement compulsif de brouter le gazon. En français ça n'a rien de gastronomique c'est sexuel version hystérique.
Associé à une petite connotation japonaise, c'est un avatar du cannibalisme.
Dans notre contexte végano-climatique, ça sent évidemment la zade et la bouse.
Gréta et Sandrine seraient-elles tout bêtement herbivores ? Ça expliquerait tout.