Jusqu’où peut tenir la négation de la relation délinquance-immigration, tant l’évidence de la chose est mesurable au quotidien.
Les faits divers graves portant sur la violence faites aux femmes, les violences au couteau, les trafics en tout genre, letc. sont, par l’identité des responsables, les témoignages de faits de société qui impliquent de façon incontestable l’immigration.
Alors pourquoi ce déni absurde qui est contreproductif car il attise les extrêmes.
Si de tels faits délinquants devaient être rapportés à la communauté arménienne, polonaise, nul doute que ces communautés seraient montrées du doigts comme le furent en d’autres temps les italiens, dont les crimes mafieux faisaient les choux gras des médias, qui ne gênaient pas pour stigmatiser les « Ritals ».
Stigmatisation dont on voit aujourd’hui les effets bénéfiques par l’intégration réussie de cette communauté, tant vilipendée.
Il est proprement affligeant de tenir pour responsables à même hauteur les Matéo, Daniel et autres porteurs de prénoms familiers, dont tout laisse penser qu’ils sont portés par des Français bon teint, pour dédouaner les Oumar, Hassan et les Karim. Tout cela parce que la gauche voit dans la nouvelle immigration une réserve de votants, qu' elle protège de toute attaque en utilisant l' argument : vous êtes racistes.