[supprimé] Exact. Pensez que je suis bien heureux que l'aval m'en débarrasse.
Que d'eau, que d'eau ! C'était pas du côté de chez vous à l'époque ?
C'est aussi une raison pour laquelle je suis sérieux, contrairement au Gouvernement. Et que les techniciens de l'eau ont des raisons de se demander ce qu'on attend d'eux face à toutes les injonctions contradictoires.
Vous n'êtes certainement pas le dernier à savoir que le dossier de l'eau est l'objet d'attentions médiatico-politiques régulières et cycliques, un grand plan chassant l'autre.
Naguère c'était les inondations. Gemapi, sa taxe pour l'entretien des cours d'eau que désormais tous les propriétaires fonciers encourent, c'est passé nickel et ça monte en puissance, c'est une mine d'or souterraine pour toutes les collectivités territoriales.
On a eu aussi, pour rigoler, Ségolène et son dernier raffut sur l'inventaire des cours d'eau qui a mobilisé les DDT et les inventaires de terrain pendant des mois dans une hystérie que le public aurait quand même du mal à imaginer, pour étudier le chevelu dans le moindre détail. C'était urgentissime. Aucune idée de ce que c'est devenu, ça a dû tomber à l'eau en attendant que ça refasse surface.
Mais vous savez tout ça.
Macron et ses 10 % c'est le dernier dada.
Il y aura forcément une nouvelle taxe.
Dans l'attente des prochaines catastrophes hydrologiques avec ce foutu bouleversement climatique qu'on nous annonce à tout propos, en omettant d'insister aujourd'hui (contrairement à hier et à demain) sur le risque de regroupement des précipitations et d'afflux immodérés d'eaux en ville, emportant tout sur son passage.
Ha Paris sous les eaux... Quelles belles images. On nagerait dedans.
Ni trop ni trop peu et inversement : trop et trop peu et réciproquement. En même temps en des temps différents.
C'est l'eau qui veut ça. Vous remettrez bien 10 % ?