france2100 a) Le capitalisme n'est pas le fascisme. Que Macron serve le capitalisme ne fait pas de lui un fasciste.
Mais le fascisme c'est le capitalisme en tant de crise qui se montre impitoyable pour écraser les salaires.
L'un des rescapé d’Auschwitz, dont j’ai oublié le nom, disait que le mépris humains dans les entreprise presse citron, c'était ce qu'il a vécu à Auschwitz en moins intense.
Donc Amazone est une sorte d’Auschwitz.
Et macron fait de Bezos mmebre de la légion d’honneur.
Sa manière de gouverner par décret pour museler le parlement... Il y a beaucoup de choses à dire sur le sujet.
Ensuite je pourrais parler de l'€urope dans sa structure qui correspond parfaitement aux besoin d'une société capitaliste en crise, parlement factice, fusion des corporations et de l'état grâce à la table ronde €uropéenne etc etc etc...
france2100 La normativité de la société de consommation découle de la production de masse et des médias de masse, or vous souhaitez préserver ceci.
Alors de un mettez des Guillemets à "société de consommation" car contrairement à paoslini nous savons qu'elle n'est qu'un mythe.
Je souhaite la transcender sans forcément faire table rase, arriver à un équilibre entre la normativité des petits hameaux (que j’ai connu) et la liberté des villes usines à Hikimori.
france2100 Vous ne voulez pas de jeux vidéos produits localement
Sisisis, ho que si. Mais regardez le gratin des production locales, Dhsonnored, un jeu au titre très Français n'est-ce pas? En faîte c'est un triple A à l'américaine. j'appelle pas ça une production "Française."
Bon je suis mauvaise langue on a quelques perles... Hades, mais je en sais spas si ça compte comme Français ou canadien..
Et un petit jeu de propagande sur la première guerre mondiale, un jeu éducatif pour les gosses en gros.
Le truque c'est qu'on en a pas vraiment. On pourrait devenir des champions du RTS historique, à côté de Creative Assembly, Petro-Glyhe et plein d'autres.
Mais non on ne fait pas car on est en retard sur ce domaine.
Donc avant de se lancer va falloir se "cultiver", c'est à dire sortri de sa cultrue, étudier le game design et tout un ats de disciplines...
Vous trouvez Requiem Chevaleir Vampire génial vous? Bon oui ça l'est un peu, mais c'est un production franco-Américaine, et franchement... NON. C'est certes génial mais j’aimerai pas que ce genre d'horreur deviennent "main stream" comme on dit.
france2100 Vous voulez consommer du Star Wars et du Zelda, et répandre votre parole dans le monde.
Vous ne pourriez pas être plus condescendant? Non mais là vous auriez pu me dire que je suis comme MJ.
Non mais parce-que je sui un peu sûr que vous le pensez.
france2100 c) La normativité de la société de consommation était un argument très à la mode dans l'après-guerre : on le retrouve déjà en 1944 dans la Dialectique de la Raison, de Horkheimer et Adorno, puis chez les antimodernes tels que Grothendieck et André Gorz. On trouve même une idée similaire chez Ortega y Gasset (la masse porteuse d'idées normales) au tournant du XIXè - XXè.
Je ne suis pas là pour flinguer les petit intello péteux qui se masturbait avec ce mot qui était un faux concept placé sur une véritable réalité complètement nouvelle liée au développement du secteur tertiaire voire quaternaire.
Alors oui, dans la veille société pré-révolutionnaire on était tous machin de "Nom de lieu" et il y avait une certaine habitude communautariste, de se mêler des affaire de son voisin et ainsi de suite.
Et oui dans des petites communauté certains de réflexes ont survécu et.....
Attendez 30s, je dois relire vos autres messages....
J'avais prévu de pour montrer ce schéma :
Je voulais vous montrer que je savais ce qu'était la culture de masse, mais à la place de ça, ça va m'aider à arriver au vif du sujet.
Voyez ça? Avant les années 30 ça n'existait presque pas. Il y avait une presse jaune.
Mais pas ça.
c'est de ça dont parle Pasolini.
Voici que pasolini sur l'église qui se compromet après Vatican 2 avec la démocratie chrétienne :
Du point de vu de l'église, le fascisme en tant que moment régressif du capitalisme (il parle du vieux fascisme 20/30/40) était objectivement moins diabolique que le régime démocratique, le fascisme était un blasphème, mais il ne minaient pas l'église par l'intérieur. Parce-qu'il représentait une fausse nouvelle idéologie. Le concordat 'na pas été un sacrilège dans les années 30, mais ça en est un aujourd'hui, si le fascisme n'a pas égratigné l'église, à présent le néo-capitalisme la détruit.
L'acceptation du fascisme a été quelque-chose d'atroce, mais l’acceptation de la civilisation bourgeoise capitaliste est un fait définitif, dont le cynisme n'est pas seulement une faute, la énième dans l'histoire de l'église, mais une erreur historique, que l’église paiera probablement de son déclin.
Car elle n'a pas présenti, dans son aveux de stabilisation et de fixité éternelle, que la bourgeoisie représentait un nouvel esprit qui n'était pas celui du fascisme, un nouvel esprit. Un nouvel esprit qui s'est d’abord révélé concurrent de l'esprit religieux (Dont il ne conserve que le cléricalisme) et qui finira par prendre sa place pour fournir aux hommes une vision totale et unique de la vie sans plus avoir besoin du cléricalisme comme instrument de pouvoir.
Voyez?
//Non, "on" n'emmerde pas la modération -Neodadais//
Il faut une normativité qui respecte ces règles : base solide pour la civilisation, permet à l'humanité d'avancer, permet la contestation et a subversion.
La normativité actuelle ne permet par les 2 premier points et limite grandement le 3° point en l'encadrant fortement.
france2100 Il me semble donc beaucoup plus pertinent de s'interroger sur qui doit fabriquer la norme, ou sous quel contrôle.
Peut-être, mais en attendant vous êtes sous cette norme nocive qui rend les gens infertiles. Et qui inverse les valeur et mène contre l'humanité une guerre de transgression. On a pas le temps de trop tergiversser même si c’est important. Il faut analyser les faiblesses de cette normativité là et réunir des gens qui en sont sortis, ou en sortir. Quand tu réunis des gens déjà sortis, on peut avoir des désaccord sur le monde de demain, mais on fini rapidement d'accord sur les points essentiels d’une société saine. Je pense que c'est, de toute manière, au collectif de décider ça, pas à l'individu.