Nymo Rumsfeld a engagé des avocats, juristes, etc, pour essayer aussi de trouver de belles parades, pour rendre légales toutes les tortures légitimées par l'administration Bush.
Rumsfeld, cherchait à tout prix, comment passer outre les préceptes de la convention de Genève.
C'est exacte !
Les hauts responsables de Bush comme Rumsfeld et Cheney ont exagéré leur certitude quant au danger posé par les détenus de Guantanamo. Rumsfeld disait << Ce sont tous des terroristes capturés sur un champ de bataille. >> Il ne voulait pas laisser partir les détenus sur lesquels il n'y avait aucune charge du fait du manque de preuves, prétextant que s'ils étaient vraiment des terroristes, une fois libérés, ils retourneraient à la guerre contre les Etats-Unis. Il a préféré les laisser languir en prison pendant des annéees sans avocat pour les défendre.
Un grand nombre de prisonniers détenus a Guantanamo avaient été arrêtés sans se soucier de savoir s'ils étaient vraiment des combattants ennemis, ou en fait si beaucoup d'entre eux étaient des ennemis du tout. Les forces spéciales américaines n'avaient pas la main-d'oieuvre nécessaire, la formation ni l'envie de faire face au problème d'évaluer si les captifs étaient des combattants ennemis ou simplement des civils malchanceux, tombés entre les mains d'alliés américains locaux.
Cheney en particulier a poursuivi une stratégie cynique à l'égard des détenus dans laquelle la fin justifiait les moyens et supposait que des personnes innocentes languissant dans ce camp de torture qu'est Guantanamo pendant des années était justifié par la guerre contre le terrorisme.
Bush était impliqué dans toutes les prises de décision de Guantanamo tandis que son administration, malgré les incertitudes entourant les captures, considérait les détenus non seulement comme des sources potentielles d'informations sur Al-Qaida mais aussi comme des preuves sur les contacts entre Al-Qaida et les services de renseignement et de police secrète de Saddam Hussein en Irak.